L'insuline
L’insuline endogène est une hormone produite par les cellules Beta des Ilots de Langerhans (qui se trouvent au niveau du pancréas). Elle va avoir une action de mise en réserve du glucose.
L’insuline peut être classée en fonctionne sa rapidité : l’insuline rapide, l’insuline intermédiaire, l’insuline lente et l’insuline mixte
On retrouve différentes formes galéniques pour l’insuline, elle peut être sous forme de flacons, de stylos à insuline rechargeables ou encore de stylos d’insuline pré remplis jetables.
Les stylos se conservent plusieurs mois au réfrigérateur lorsque ils ne sont pas entamés et entre 4 à 6 semaines lorsque ils sont entamés. Certains facteurs peuvent dénaturer les stylos tels que les températures trop élevées, la congélation ou encore la lumière.
L’insuline s’administre par une injection dans le tissus sous cutané comme l’abdomen, le bras, la cuisse ou encore les fesses. Il est important de varier régulièrement les lieux d’injections.
A savoir que, la quantité et la vitesse d’absorption de l’insuline varient en fonction du site d’injection (l’abdomen a une absorption plus rapide et plus régulière, il est donc recommandé de privilégier les injections dans l’abdomen avec une rotation des sites d’injections)
L’insuline peut aussi être administré via une pompe. Généralement ces pompes sont mises en place en cas de diabète instable ou de diabète gestationnel. Ces pompes vont permettre un meilleur équilibre.
L’insuline a quelques effets indésirables tels que :
Les antidiabètiques oraux
La diabète peut aussi être traité à l’aide d’anti-diabétiques oraux. On retrouve différents types d’anti-diabétiques oraux :
Effets indésirables : troubles digestifs, nausées, vomissements, diarrhées, anorexie
A prendre à la fin ou au cours du repas (en prévention des troubles digestifs), possibilité de prendre le traitement même si le patient a sauté un repas
Effets indésirables : risque hypoglycémie modérée favorisée par le saut de raps, l’activité physique inhabituelle, l’alcool, les associations médicamenteuses, l’insuffisance rénale et/ou hépatique
Effets indésirables : risque hypoglycémie modérée favorisée par le saut de raps, l’activité physique inhabituelle, l’alcool, les associations médicamenteuses, l’insuffisance rénale et/ou hépatique
Effets indésirables : troubles digestifs ++, flatulences, douleurs digestives, diarrhées
Effets indésirables : infections des voies respiratoires supérieures, arthroses, douleurs des extrémités, nausées, vomissements, risque de pancréatique
Effets indésirables : risque d’hypoglycémie (surtout si association avec sulfamide hypoglycémiant), troubles digestifs, diminution de l’appétit entrainant une perte de poids en début de traitement, céphalées, sensation vertigineuses, réactions au niveau du site d’injection
Les associations vont permettre une baisse du nombre de comprimés à prendre par jour et donc, une augmentation de l’observance du tacitement.
La metformine est le chef de file des anti-diabétiques oraux. Les autres médicaments sont des traitements de deuxième intention dans le diabète de type 2.
Dans le cas du diabète de type 2 des mesures hygiéno-diététiques doivent être mises en place à travers une éducation thérapeutique.
Ces mesures concernent :
En tant que diabétique, le patient doit mettre en place une auto-surveillance de la glycémie. Il s’agit de surveiller sa glycémie grâce une goutte de sang prélevée au bout du doigt (aussi appelé glycémie capillaire ou dextro).
La patient insulinotraité a entre 2 à 4 contrôles par jours avec des objectifs glycériques précis :
Cette auto-surveillance concerne :
L’autosurveillance glycérique se fait avec un stylo auto-piqueur, et des lancettes, petites aiguilles qui vont permettre de piquer la peau (elles sont introduites dans le stylo auto-piqueur).
La lecture des résultats se fait grâce à un lecteur de glycémie et des bandelettes sur lesquelles seront déposées les gouttes de sang.
Aujourd’hui, pour faciliter l’auto-surveillance de la glycémie des patients, une nouvelle technologie est apparue : il s’agit du capteur freestyle.
Le capteur freestyle est composé d’un capteur qui est posé a l’arrière du bras pendant 14 jours, ainsi que d’un lecteur qui va permettre de scanner le capteur
L'insuline
L’insuline endogène est une hormone produite par les cellules Beta des Ilots de Langerhans (qui se trouvent au niveau du pancréas). Elle va avoir une action de mise en réserve du glucose.
L’insuline peut être classée en fonctionne sa rapidité : l’insuline rapide, l’insuline intermédiaire, l’insuline lente et l’insuline mixte
On retrouve différentes formes galéniques pour l’insuline, elle peut être sous forme de flacons, de stylos à insuline rechargeables ou encore de stylos d’insuline pré remplis jetables.
Les stylos se conservent plusieurs mois au réfrigérateur lorsque ils ne sont pas entamés et entre 4 à 6 semaines lorsque ils sont entamés. Certains facteurs peuvent dénaturer les stylos tels que les températures trop élevées, la congélation ou encore la lumière.
L’insuline s’administre par une injection dans le tissus sous cutané comme l’abdomen, le bras, la cuisse ou encore les fesses. Il est important de varier régulièrement les lieux d’injections.
A savoir que, la quantité et la vitesse d’absorption de l’insuline varient en fonction du site d’injection (l’abdomen a une absorption plus rapide et plus régulière, il est donc recommandé de privilégier les injections dans l’abdomen avec une rotation des sites d’injections)
L’insuline peut aussi être administré via une pompe. Généralement ces pompes sont mises en place en cas de diabète instable ou de diabète gestationnel. Ces pompes vont permettre un meilleur équilibre.
L’insuline a quelques effets indésirables tels que :
Les antidiabètiques oraux
La diabète peut aussi être traité à l’aide d’anti-diabétiques oraux. On retrouve différents types d’anti-diabétiques oraux :
Effets indésirables : troubles digestifs, nausées, vomissements, diarrhées, anorexie
A prendre à la fin ou au cours du repas (en prévention des troubles digestifs), possibilité de prendre le traitement même si le patient a sauté un repas
Effets indésirables : risque hypoglycémie modérée favorisée par le saut de raps, l’activité physique inhabituelle, l’alcool, les associations médicamenteuses, l’insuffisance rénale et/ou hépatique
Effets indésirables : risque hypoglycémie modérée favorisée par le saut de raps, l’activité physique inhabituelle, l’alcool, les associations médicamenteuses, l’insuffisance rénale et/ou hépatique
Effets indésirables : troubles digestifs ++, flatulences, douleurs digestives, diarrhées
Effets indésirables : infections des voies respiratoires supérieures, arthroses, douleurs des extrémités, nausées, vomissements, risque de pancréatique
Effets indésirables : risque d’hypoglycémie (surtout si association avec sulfamide hypoglycémiant), troubles digestifs, diminution de l’appétit entrainant une perte de poids en début de traitement, céphalées, sensation vertigineuses, réactions au niveau du site d’injection
Les associations vont permettre une baisse du nombre de comprimés à prendre par jour et donc, une augmentation de l’observance du tacitement.
La metformine est le chef de file des anti-diabétiques oraux. Les autres médicaments sont des traitements de deuxième intention dans le diabète de type 2.
Dans le cas du diabète de type 2 des mesures hygiéno-diététiques doivent être mises en place à travers une éducation thérapeutique.
Ces mesures concernent :
En tant que diabétique, le patient doit mettre en place une auto-surveillance de la glycémie. Il s’agit de surveiller sa glycémie grâce une goutte de sang prélevée au bout du doigt (aussi appelé glycémie capillaire ou dextro).
La patient insulinotraité a entre 2 à 4 contrôles par jours avec des objectifs glycériques précis :
Cette auto-surveillance concerne :
L’autosurveillance glycérique se fait avec un stylo auto-piqueur, et des lancettes, petites aiguilles qui vont permettre de piquer la peau (elles sont introduites dans le stylo auto-piqueur).
La lecture des résultats se fait grâce à un lecteur de glycémie et des bandelettes sur lesquelles seront déposées les gouttes de sang.
Aujourd’hui, pour faciliter l’auto-surveillance de la glycémie des patients, une nouvelle technologie est apparue : il s’agit du capteur freestyle.
Le capteur freestyle est composé d’un capteur qui est posé a l’arrière du bras pendant 14 jours, ainsi que d’un lecteur qui va permettre de scanner le capteur