Le phénomène d'étalement urbain
En 2020, 93 % de la population française vit dans une aire urbaine. Les aires urbaines se caractérisent par leur étalement au détriment de l’espace rural et par les fortes mobilités des habitants. Avec la mondialisation, les grandes aires urbaines concentrent les emplois et les fonctions de commandement politique, culturelle, économique que l’on trouve dans les quartiers des affaires (La Défense à Paris ; La Part-Dieu à Lyon). Pour renforcer leur attractivité et étendre leur influence, les aires urbaines développent des aménagements pour les transports (ex : pôle multimodal de Lyon Saint Exupéry ; Roissy Charles de Gaulle), pour accueillir des entreprises et créer des emplois. Elles font alors du marketing territorial (affiche à montrer). L’aire urbaine parisienne est la plus importante en France avec plus de 13 millions d’habitants et bénéficie d’une influence mondiale : c’est une métropole mondiale.
Avec la périurbanisation, les paysages ont été modifiés : Les lotissements pavillonnaires s’étendent dans les communes de la couronne périurbaine. Les habitants y recherchent un cadre de vie plus agréable, de plus grandes surfaces habitables à un prix plus faible. Néanmoins, cela entraîne un accroissement des mobilités pendulaires (en moyenne 50 km/jour) entre le domicile et la ville-centre ou le pôle urbain où se concentrent les activités et les emplois. Ces mobilités du quotidien provoquent embouteillages, pollution, réduction des espaces naturels pour réaliser des aménagements (autoroute, gare TGV, zones commerciales etc.) provoquant parfois des conflits d’usage avec les agriculteurs ou les populations locales (ex : ZAD de Notre Dame des Landes) Face à ce changement dans les modes d’habiter la ville, de nouveaux projets d’aménagements se développent répondant aux principes du développement durable : transports collectifs, incitation au co-voiturage, parking-relais etc.
Le phénomène d'étalement urbain
En 2020, 93 % de la population française vit dans une aire urbaine. Les aires urbaines se caractérisent par leur étalement au détriment de l’espace rural et par les fortes mobilités des habitants. Avec la mondialisation, les grandes aires urbaines concentrent les emplois et les fonctions de commandement politique, culturelle, économique que l’on trouve dans les quartiers des affaires (La Défense à Paris ; La Part-Dieu à Lyon). Pour renforcer leur attractivité et étendre leur influence, les aires urbaines développent des aménagements pour les transports (ex : pôle multimodal de Lyon Saint Exupéry ; Roissy Charles de Gaulle), pour accueillir des entreprises et créer des emplois. Elles font alors du marketing territorial (affiche à montrer). L’aire urbaine parisienne est la plus importante en France avec plus de 13 millions d’habitants et bénéficie d’une influence mondiale : c’est une métropole mondiale.
Avec la périurbanisation, les paysages ont été modifiés : Les lotissements pavillonnaires s’étendent dans les communes de la couronne périurbaine. Les habitants y recherchent un cadre de vie plus agréable, de plus grandes surfaces habitables à un prix plus faible. Néanmoins, cela entraîne un accroissement des mobilités pendulaires (en moyenne 50 km/jour) entre le domicile et la ville-centre ou le pôle urbain où se concentrent les activités et les emplois. Ces mobilités du quotidien provoquent embouteillages, pollution, réduction des espaces naturels pour réaliser des aménagements (autoroute, gare TGV, zones commerciales etc.) provoquant parfois des conflits d’usage avec les agriculteurs ou les populations locales (ex : ZAD de Notre Dame des Landes) Face à ce changement dans les modes d’habiter la ville, de nouveaux projets d’aménagements se développent répondant aux principes du développement durable : transports collectifs, incitation au co-voiturage, parking-relais etc.