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Lycée
Première

Le combat de Frère Jean

Français

Définition

Problématique
Comment ce récit parodique amène-t-il le lecteur sur les praatiques religieuses et les violences de la guerre ?
Mouvements
1: Frère Jean, personnage burlesque. 2: le combat de Frère Jean, parodie de récit épique. 3: la déroute des ennemis
Intro
présentation de l'oeuvre et de l'auteur. chap 25 à 50 qui raconte la guerre pricocholine déclenchée à la suite d'une querelle entre les fouaciers et les berges. le roi Picrochole envoie immédiatement ses troupes qui dévastent les terres. les moines de l'abbaye de Seuilly sont affolés par l'invasion des ennemis qui saccagent leurs vignes. tandis qu'ils prient, FJ des Entommeures, décidé de ne pas laisser détruire les vignes, intervient ds la mêlée

1:

un moine qui ressemble à un chevalier :

  • vb d'action --> préparation au combat
  • il endosse ses vêtements de guerrier tel un chevalier
  • son arme est une croix (critique de la religion, aucun objet ne devrait être sacré)
  • description du bâton de croix (fleur de lys) // codes des romans de chevalerie

un combat épique :

  • éléments qui constituent l'armée/vb d'action --> on est donc face à un combat
  • FJ est seul face aux ennemis
  • intensifs devant advb --> registre épique
  • violence du combat à travers des CC de manières

un combat parodique :

  • FJ considèrent ses ennemis cô des animaux
  • négation --> ennemis pas prêts au combat
  • ils ont détourné leurs objets (tambours...), on a affaire à des voleurs plus q des guerriers

--> il s'agit bien d'un récit épique qui reprend les codes des romans de chevalerie en les détournant pour susciter le comique =parodie

2:

FJ mène un combat sans pitié :

  • anaphore --> FJ s'attaque à tt le monde, ne fait pas de distinction, cô fou
  • pluriel vs singulier
  • multitude de vb d'action + préfixe --> violence du combat, destruction
  • hyperbole, accumulation --> violence exagérée qui devient comique

une violence burlesque :

  • énumération des parties du corps
  • voc scientifique vs langage familier --> décalage

les ennemis

  • lex de la fuite --> lâches, ils sont ridiculisés
  • prop. sub de condition anaphoriques --> FJ ss pitié, ils sont punis cô s'ils étaient punis par Dieu
  • "Croyez ..." intervention du narrateur (impératif, superlatif) --> cô dans les récits de chevalerie mais qui semble factice

--> la parodie du combat épique se poursuit, elle est doublée de comique de mots

3:

  • anaphore --> débandade des ennemis
  • invocation des sts, monuments, lieux --> décalage avec "Sainte Nitouche"
  • manière de critiquer la superstition présente dans la religion (hyperbole)
  • 2 chiasmes --> tt le monde meurt même s'ils ont invoqué ts les saints, satire religieuse à travers ce comique de mot
  • sub de conséquence --> lâcheté des moines
  • opposition entre l'attitude des moines peu charitable et l'état des ennemis mourants

--> satire religieuse, R. attaque les pratiques superstitieuses qui sont + proche du paganisme que de la foi et critique le clergé qui se comporte mal

A retenir :

Frère Jean est un héros épique d'un récit parodique mais le comique sert d'autres objectifs notamment la critique religieuse

la satire religieuse nous rappelle le manque des pèlerins que G mange en salade.

Lycée
Première

Le combat de Frère Jean

Français

Définition

Problématique
Comment ce récit parodique amène-t-il le lecteur sur les praatiques religieuses et les violences de la guerre ?
Mouvements
1: Frère Jean, personnage burlesque. 2: le combat de Frère Jean, parodie de récit épique. 3: la déroute des ennemis
Intro
présentation de l'oeuvre et de l'auteur. chap 25 à 50 qui raconte la guerre pricocholine déclenchée à la suite d'une querelle entre les fouaciers et les berges. le roi Picrochole envoie immédiatement ses troupes qui dévastent les terres. les moines de l'abbaye de Seuilly sont affolés par l'invasion des ennemis qui saccagent leurs vignes. tandis qu'ils prient, FJ des Entommeures, décidé de ne pas laisser détruire les vignes, intervient ds la mêlée

1:

un moine qui ressemble à un chevalier :

  • vb d'action --> préparation au combat
  • il endosse ses vêtements de guerrier tel un chevalier
  • son arme est une croix (critique de la religion, aucun objet ne devrait être sacré)
  • description du bâton de croix (fleur de lys) // codes des romans de chevalerie

un combat épique :

  • éléments qui constituent l'armée/vb d'action --> on est donc face à un combat
  • FJ est seul face aux ennemis
  • intensifs devant advb --> registre épique
  • violence du combat à travers des CC de manières

un combat parodique :

  • FJ considèrent ses ennemis cô des animaux
  • négation --> ennemis pas prêts au combat
  • ils ont détourné leurs objets (tambours...), on a affaire à des voleurs plus q des guerriers

--> il s'agit bien d'un récit épique qui reprend les codes des romans de chevalerie en les détournant pour susciter le comique =parodie

2:

FJ mène un combat sans pitié :

  • anaphore --> FJ s'attaque à tt le monde, ne fait pas de distinction, cô fou
  • pluriel vs singulier
  • multitude de vb d'action + préfixe --> violence du combat, destruction
  • hyperbole, accumulation --> violence exagérée qui devient comique

une violence burlesque :

  • énumération des parties du corps
  • voc scientifique vs langage familier --> décalage

les ennemis

  • lex de la fuite --> lâches, ils sont ridiculisés
  • prop. sub de condition anaphoriques --> FJ ss pitié, ils sont punis cô s'ils étaient punis par Dieu
  • "Croyez ..." intervention du narrateur (impératif, superlatif) --> cô dans les récits de chevalerie mais qui semble factice

--> la parodie du combat épique se poursuit, elle est doublée de comique de mots

3:

  • anaphore --> débandade des ennemis
  • invocation des sts, monuments, lieux --> décalage avec "Sainte Nitouche"
  • manière de critiquer la superstition présente dans la religion (hyperbole)
  • 2 chiasmes --> tt le monde meurt même s'ils ont invoqué ts les saints, satire religieuse à travers ce comique de mot
  • sub de conséquence --> lâcheté des moines
  • opposition entre l'attitude des moines peu charitable et l'état des ennemis mourants

--> satire religieuse, R. attaque les pratiques superstitieuses qui sont + proche du paganisme que de la foi et critique le clergé qui se comporte mal

A retenir :

Frère Jean est un héros épique d'un récit parodique mais le comique sert d'autres objectifs notamment la critique religieuse

la satire religieuse nous rappelle le manque des pèlerins que G mange en salade.