Le bonheur ne doit pas être confondu avec le plaisir. Peut- on l'atteindre par la volonté et la sagesse, ou bien dépend il de la chance et de la bonne fortune?
1) Bonheur et vertu
A. Les plaisirs et les biens.
le bonheur ne dépend pas du nombre de biens que nous possédons, puisque la richesse ou la gloire sont illusoire, et souvent source de malheurs. comme l'enseigne Epicure il faut mettre de l'ordre dans nos désirs. les hiérarchiser, pour ne pas confondre ceux qui nous mènent au bonheur et ceux qui ne mène qu'au plaisir.
B. Le bonheur résulte de la vertu.
Le bonheur est la satisfaction que nous tirons de nous même. on n'accède à celui ci qu'en échappant à l'illusion des biens qui n'y contribuent pas. Aristote montre, ainsi que le bonheur résulte dans la vertu, dont la pratique nous permet d'accomplir nos véritables aspirations.
2) Notre destin est- il d'être heureux?
A. La félicité éternelle.
Si il faut atteindre la sagesse pour atteindre le bonheur, notre désir d'être heureux risque, cependant, de rester insatisfait. La religion chrétienne enseigne que le bonheur n'est pas de ce monde car notre désir ne saurait être comblé que dans la communion avec Dieu et la félicité qu'elle procure à ceux dont l'âme sera sauvé
B . Le devoir s'oppose t'il au bonheur.
La morale n'est pas la recherche du bonheur, qui est égoïste. Elle s'impose à nous par des devoirs. Impératif catégorique auquel nous ne pouvons pas nous soustraire. Néanmoins, le fait d'accomplir notre devoir devoir et d'être vertueux nous rend dignes d'être heureux d'après Kant.
3) Le bonheur est- il une illusion?
A. Une recherche vaine et incertaine.
Celui qui considère qu'il faut rechercher le confort matériel ou encore la richesse et les honneurs pour atteindre le bonheur, se condamne nécessairement à l'insatisfaction. Ainsi, pour être un homme véritablement heureux, il ne suffit pas d'aspirer à ces satisfactions dérisoires, car seule la recherche de la vérité ou de la sagesse nous procurera une véritable satisfaction.
B. Le bonheur matériel est illusoire.
A lors que le christianisme promettait le bonheur dans une autre vie, les sociétés modernes prétendent offrir un bonheur matériel à la portée de tous, exposée dans les catalogues et les vitrines des magasins. Mais cette mise en scène montre le caractère futile d'un bonheur matériel collectif, puisque s'en trouvent exclus les pauvres ainsi que les malchanceux.
C. Le bonheur est fade.
Enfin, le désir du bonheur est fade. En recherchant le bonheur, nous refusons de faire notre vie une mise à l'épreuve qui, seule, nous permet de trouver la vérité. Le désir d'un bonheur sans histoires, à l'abri de tout risque, est une forme de renoncement, un refus d'affronter ce que l'on craint le plus, à savoir la mort et notre propre destin selon Nietzsche.
Le bonheur ne doit pas être confondu avec le plaisir. Peut- on l'atteindre par la volonté et la sagesse, ou bien dépend il de la chance et de la bonne fortune?
1) Bonheur et vertu
A. Les plaisirs et les biens.
le bonheur ne dépend pas du nombre de biens que nous possédons, puisque la richesse ou la gloire sont illusoire, et souvent source de malheurs. comme l'enseigne Epicure il faut mettre de l'ordre dans nos désirs. les hiérarchiser, pour ne pas confondre ceux qui nous mènent au bonheur et ceux qui ne mène qu'au plaisir.
B. Le bonheur résulte de la vertu.
Le bonheur est la satisfaction que nous tirons de nous même. on n'accède à celui ci qu'en échappant à l'illusion des biens qui n'y contribuent pas. Aristote montre, ainsi que le bonheur résulte dans la vertu, dont la pratique nous permet d'accomplir nos véritables aspirations.
2) Notre destin est- il d'être heureux?
A. La félicité éternelle.
Si il faut atteindre la sagesse pour atteindre le bonheur, notre désir d'être heureux risque, cependant, de rester insatisfait. La religion chrétienne enseigne que le bonheur n'est pas de ce monde car notre désir ne saurait être comblé que dans la communion avec Dieu et la félicité qu'elle procure à ceux dont l'âme sera sauvé
B . Le devoir s'oppose t'il au bonheur.
La morale n'est pas la recherche du bonheur, qui est égoïste. Elle s'impose à nous par des devoirs. Impératif catégorique auquel nous ne pouvons pas nous soustraire. Néanmoins, le fait d'accomplir notre devoir devoir et d'être vertueux nous rend dignes d'être heureux d'après Kant.
3) Le bonheur est- il une illusion?
A. Une recherche vaine et incertaine.
Celui qui considère qu'il faut rechercher le confort matériel ou encore la richesse et les honneurs pour atteindre le bonheur, se condamne nécessairement à l'insatisfaction. Ainsi, pour être un homme véritablement heureux, il ne suffit pas d'aspirer à ces satisfactions dérisoires, car seule la recherche de la vérité ou de la sagesse nous procurera une véritable satisfaction.
B. Le bonheur matériel est illusoire.
A lors que le christianisme promettait le bonheur dans une autre vie, les sociétés modernes prétendent offrir un bonheur matériel à la portée de tous, exposée dans les catalogues et les vitrines des magasins. Mais cette mise en scène montre le caractère futile d'un bonheur matériel collectif, puisque s'en trouvent exclus les pauvres ainsi que les malchanceux.
C. Le bonheur est fade.
Enfin, le désir du bonheur est fade. En recherchant le bonheur, nous refusons de faire notre vie une mise à l'épreuve qui, seule, nous permet de trouver la vérité. Le désir d'un bonheur sans histoires, à l'abri de tout risque, est une forme de renoncement, un refus d'affronter ce que l'on craint le plus, à savoir la mort et notre propre destin selon Nietzsche.