Le contrat
Le contrat permet de stabiliser les relations des entreprises avec les tiers. L’entreprise a besoin d’une stabilité pour mener à bien ses activité, compte tenu de la complexité de son environnement et la multiplicité des relations avec les différents agents économique.
Par l’intermédiaire du droit, via les contrats, l’entreprise sécurise ses relations, ils permet d’encadrer la relation commercial et d’anticiper le règlement d’un éventuel litige.
Au sein des relations inter-entreprises, la formation d’un contrat résulte d’un processus complet.
Un contrat est généralement précéder de pourparler, dans le cadre de la phase de négociation précontractuelle, qui précède l’accord définitif.
Les contractants sont libres de :
Le principe est donc que les parties sont libres de rompre les pourparlers librement dès lors qu’elles sont de bonnes foi. Mais, la rupture des pourparler peut être la cause de préjudice a l’entité qui veut poursuivre la négociation. La rupture brutale des pourparlers peut être sanctionnée.
L’article 1112 du Code civil (issu de l’ordonnance du 10 février 2016 ) prévoit que « L’initiative, le déroulement et la rupture des négociations précontractuelles sont libres. Ils doivent impérativement satisfaire aux exigences de la bonne foi ».
La négociation d’un contrat peut passer par la phase d’élaboration d’un avant-contrat. C’est l’engagement de l’une des deux parties ou des deux, de mener à terme le projet contractuel. Dans certains cas, les interlocuteurs souhaitent établir des documents précontractuel, qui seront au préalable un contrat définitif.
Mais, l’avant-contrat n’engage pas à la signature du contrat mais ne donnent que les informations partielles sur le futur contrat. Néanmoins, contrairement aux pourparlers, les avant-contrats sont de vrais contrats qui génèrent des obligations spécifique, dont celle de conclure le contrat définitif. Ils peuvent prendre deux formes :
L’article 1112-1 du Code civil prévoit que : « Celle des parties qui connaît une information dont l’importance est déterminante pour le consentement de l’autre doit l’en informer dès lors que, légitimement, cette dernière ignore cette information ou fait confiance à son cocontractant. »
Normalement, les conventions sont formées par la rencontre des volontés des parties, mais il arrive que l’un des contractant ne participe pas directement à la conclusion de l’accord. Il peut avoir recours à la représentation :
La représentation résulte la plupart du temps d’un mandat :
La représentation peut être imposée par la loi. Elle peut également être le résultat d’un accord entre le représentant et le représenté : le représenté détermine l’étendue des pouvoirs du représentant. Les tiers concluant le contrat sont informées que le représentant négocie au nom d’une personne qui est représentée.
Certaines conditions sont nécessaire à la validité du contrat :
consentement : rencontre entre une offre précise et une acceptation sans ambiguïté, dans le cadre de la conclusion d’un contrat de façon libre et engagé de la part des deux parties.
C’est dans l’autonomie de la volonté que les règles juridiques appliqués au contrat trouvent leurs origines. La volonté exprimée par les contractant doit être sans vice.
Il existe trois vices de consentement qui sont prévus par la loi et qui peuvent être sanctionnés, dans le cadre de la nullité du contrat.
Il est nécessaire de bénéficier de la capacité juridique pour pouvoir s’engager valablement dans un contrat.
De cela découle la possibilité de remettre en cause les contrats ayant été conclus par
Dans le cadre d’un consentement importent, l’élaboration de l’offre contractuelle permettra de clarifier et d’expliciter les intentions des deux parties, ainsi que les modalités de réalisation de la relation contractuelle. Le contenu du contrat doit donc être licite et certain :
Clause par laquelle les parties se prémunissent de la survenance d’un évènement imprévu qui viendrait rompre l’équilibre financier du contrat. Les co-contractant s’engagent à renégocier le contrat en cas d’évènement imprévisible.
En cas de refus ou d’échec des renégociations :
Clause qui permet à une entreprise de décaler la date de transfert des biens à la date de paiement de l’intégralité du prix.
Conditions de validité :
Clause qui fixe un montant au préalable de la réparation due pour le débiteur en cas d’inexécutions des obligations contractuelles.
Application :
Les parties s’engagent en cas de mal ou d’inexécution total du contrat à la résolution du contrat (annulation rétroactive) ou à la résiliation du contrat (annulation future), de plein droit et sans intervention du juge.
Clause qui fixe un plafond au montant des indemnités du créancier de l’obligation contractuelle mal ou pas exécutée.
Permet :
En cas de contrat en BtoB, la clause doit être encadrée, car elle ne doit pas aboutir à l’inexistence des obligations contractuelles des parties.
Le contrat
Le contrat permet de stabiliser les relations des entreprises avec les tiers. L’entreprise a besoin d’une stabilité pour mener à bien ses activité, compte tenu de la complexité de son environnement et la multiplicité des relations avec les différents agents économique.
Par l’intermédiaire du droit, via les contrats, l’entreprise sécurise ses relations, ils permet d’encadrer la relation commercial et d’anticiper le règlement d’un éventuel litige.
Au sein des relations inter-entreprises, la formation d’un contrat résulte d’un processus complet.
Un contrat est généralement précéder de pourparler, dans le cadre de la phase de négociation précontractuelle, qui précède l’accord définitif.
Les contractants sont libres de :
Le principe est donc que les parties sont libres de rompre les pourparlers librement dès lors qu’elles sont de bonnes foi. Mais, la rupture des pourparler peut être la cause de préjudice a l’entité qui veut poursuivre la négociation. La rupture brutale des pourparlers peut être sanctionnée.
L’article 1112 du Code civil (issu de l’ordonnance du 10 février 2016 ) prévoit que « L’initiative, le déroulement et la rupture des négociations précontractuelles sont libres. Ils doivent impérativement satisfaire aux exigences de la bonne foi ».
La négociation d’un contrat peut passer par la phase d’élaboration d’un avant-contrat. C’est l’engagement de l’une des deux parties ou des deux, de mener à terme le projet contractuel. Dans certains cas, les interlocuteurs souhaitent établir des documents précontractuel, qui seront au préalable un contrat définitif.
Mais, l’avant-contrat n’engage pas à la signature du contrat mais ne donnent que les informations partielles sur le futur contrat. Néanmoins, contrairement aux pourparlers, les avant-contrats sont de vrais contrats qui génèrent des obligations spécifique, dont celle de conclure le contrat définitif. Ils peuvent prendre deux formes :
L’article 1112-1 du Code civil prévoit que : « Celle des parties qui connaît une information dont l’importance est déterminante pour le consentement de l’autre doit l’en informer dès lors que, légitimement, cette dernière ignore cette information ou fait confiance à son cocontractant. »
Normalement, les conventions sont formées par la rencontre des volontés des parties, mais il arrive que l’un des contractant ne participe pas directement à la conclusion de l’accord. Il peut avoir recours à la représentation :
La représentation résulte la plupart du temps d’un mandat :
La représentation peut être imposée par la loi. Elle peut également être le résultat d’un accord entre le représentant et le représenté : le représenté détermine l’étendue des pouvoirs du représentant. Les tiers concluant le contrat sont informées que le représentant négocie au nom d’une personne qui est représentée.
Certaines conditions sont nécessaire à la validité du contrat :
consentement : rencontre entre une offre précise et une acceptation sans ambiguïté, dans le cadre de la conclusion d’un contrat de façon libre et engagé de la part des deux parties.
C’est dans l’autonomie de la volonté que les règles juridiques appliqués au contrat trouvent leurs origines. La volonté exprimée par les contractant doit être sans vice.
Il existe trois vices de consentement qui sont prévus par la loi et qui peuvent être sanctionnés, dans le cadre de la nullité du contrat.
Il est nécessaire de bénéficier de la capacité juridique pour pouvoir s’engager valablement dans un contrat.
De cela découle la possibilité de remettre en cause les contrats ayant été conclus par
Dans le cadre d’un consentement importent, l’élaboration de l’offre contractuelle permettra de clarifier et d’expliciter les intentions des deux parties, ainsi que les modalités de réalisation de la relation contractuelle. Le contenu du contrat doit donc être licite et certain :
Clause par laquelle les parties se prémunissent de la survenance d’un évènement imprévu qui viendrait rompre l’équilibre financier du contrat. Les co-contractant s’engagent à renégocier le contrat en cas d’évènement imprévisible.
En cas de refus ou d’échec des renégociations :
Clause qui permet à une entreprise de décaler la date de transfert des biens à la date de paiement de l’intégralité du prix.
Conditions de validité :
Clause qui fixe un montant au préalable de la réparation due pour le débiteur en cas d’inexécutions des obligations contractuelles.
Application :
Les parties s’engagent en cas de mal ou d’inexécution total du contrat à la résolution du contrat (annulation rétroactive) ou à la résiliation du contrat (annulation future), de plein droit et sans intervention du juge.
Clause qui fixe un plafond au montant des indemnités du créancier de l’obligation contractuelle mal ou pas exécutée.
Permet :
En cas de contrat en BtoB, la clause doit être encadrée, car elle ne doit pas aboutir à l’inexistence des obligations contractuelles des parties.