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Post-Bac
2

La création d'entreprise

Économie politique

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Les étapes de la création d’une entreprise :

Il y a de nombreuses étapes à respecter pour créer son entreprise.

Le point de départ consiste à trouver une idée de projet de création d’entreprise : il peut s’agir d’une activité déjà existante ou d’un concept totalement innovant.

L’étude de marché est une étape déterminante. En effet, pour vendre un bien ou un service, il est nécessaire de cerner le marché sur lequel il sera positionné (les tendances du marché, la concurrence dans le secteur d’activité…) ; elle permet donc de déterminer si le projet est viable. Le business plan permet, quant à lui, d’évaluer la clientèle potentielle, le futur chiffre d’affaires. Le financement du projet peut résulter de la combinaison de plusieurs sources de financement, l’apport personnel, le love money (investissement des proches dans le projet), un prêt d’honneur, le recours au financement participatif (crowfunding), ou encore un prêt bancaire pouvant être assorti d’un dispositif de garantie.

Le projet nécessitera peut-être d’être protégé par le dépôt d’un brevet (pour une fabrication, un procédé) ou d’une protection (marque, slogan, logo) auprès de l’institut national de la propriété intellectuelle (INPI)

Tout au long du projet, la motivation, le degré d’investissement du créateur d’entreprise dans son projet sont des facteurs déterminants pour réussir.


Les avantages de l’entreprise individuelle :

L’entreprise individuelle présente plusieurs avantages :

-         Sa création est simple et peu coûteuse : l’entrepreneur individuel peut créer son entreprise rapidement sans devoir constituer un capital minimum.

-         Il n’est pas nécessaire de définir des statuts

-         La procédure de déclaration est très simple : il suffit de se rapprocher de centre des formalités des entreprises (CFE) compétent, qui se chargera de transmettre les informations nécessaires aux organismes concernés.

-         L’entrepreneur individuel peut embaucher des salariés.

Création d’une EI : Formulaire de demande d’immatriculation complété et signé -> Dépôt de formulaire au CFE compétent (selon la nature de l’activité) -> Immatriculation de l’entreprise au registre du commerce et des sociétés (RCS)

Ensuite, l’entreprise 


Le régime de la microentreprise :

L’entrepreneur doit choisir le statut et la forme juridique de l’entreprise qu’il souhaite créer. Il doit aussi opter pour un régime fiscal, notamment la microentreprise. Il ne s’agit pas d’un statut mais d’un régime fiscal.

La microentreprise  est un régime d’activité qui, sous réserve d’observer un certain nombre d’obligations, est exempté de certaines contraintes administratives et bénéficie d’une régime fiscal approprié. En effet, la microentreprise ne peut pratiquer une activité  comme la location d’immeubles ou la location de matériels et de biens de consommation durable. D’une façon générale, les activités qui touchent à la financer lui sont interdites. Il ne doit pas dépasser un niveau de chiffre d’affaires annuel fixé par voie réglementaire, qui varie en fonction du type d’activité à laquelle il se livre.

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La création d'entreprise

Économie politique

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Les étapes de la création d’une entreprise :

Il y a de nombreuses étapes à respecter pour créer son entreprise.

Le point de départ consiste à trouver une idée de projet de création d’entreprise : il peut s’agir d’une activité déjà existante ou d’un concept totalement innovant.

L’étude de marché est une étape déterminante. En effet, pour vendre un bien ou un service, il est nécessaire de cerner le marché sur lequel il sera positionné (les tendances du marché, la concurrence dans le secteur d’activité…) ; elle permet donc de déterminer si le projet est viable. Le business plan permet, quant à lui, d’évaluer la clientèle potentielle, le futur chiffre d’affaires. Le financement du projet peut résulter de la combinaison de plusieurs sources de financement, l’apport personnel, le love money (investissement des proches dans le projet), un prêt d’honneur, le recours au financement participatif (crowfunding), ou encore un prêt bancaire pouvant être assorti d’un dispositif de garantie.

Le projet nécessitera peut-être d’être protégé par le dépôt d’un brevet (pour une fabrication, un procédé) ou d’une protection (marque, slogan, logo) auprès de l’institut national de la propriété intellectuelle (INPI)

Tout au long du projet, la motivation, le degré d’investissement du créateur d’entreprise dans son projet sont des facteurs déterminants pour réussir.


Les avantages de l’entreprise individuelle :

L’entreprise individuelle présente plusieurs avantages :

-         Sa création est simple et peu coûteuse : l’entrepreneur individuel peut créer son entreprise rapidement sans devoir constituer un capital minimum.

-         Il n’est pas nécessaire de définir des statuts

-         La procédure de déclaration est très simple : il suffit de se rapprocher de centre des formalités des entreprises (CFE) compétent, qui se chargera de transmettre les informations nécessaires aux organismes concernés.

-         L’entrepreneur individuel peut embaucher des salariés.

Création d’une EI : Formulaire de demande d’immatriculation complété et signé -> Dépôt de formulaire au CFE compétent (selon la nature de l’activité) -> Immatriculation de l’entreprise au registre du commerce et des sociétés (RCS)

Ensuite, l’entreprise 


Le régime de la microentreprise :

L’entrepreneur doit choisir le statut et la forme juridique de l’entreprise qu’il souhaite créer. Il doit aussi opter pour un régime fiscal, notamment la microentreprise. Il ne s’agit pas d’un statut mais d’un régime fiscal.

La microentreprise  est un régime d’activité qui, sous réserve d’observer un certain nombre d’obligations, est exempté de certaines contraintes administratives et bénéficie d’une régime fiscal approprié. En effet, la microentreprise ne peut pratiquer une activité  comme la location d’immeubles ou la location de matériels et de biens de consommation durable. D’une façon générale, les activités qui touchent à la financer lui sont interdites. Il ne doit pas dépasser un niveau de chiffre d’affaires annuel fixé par voie réglementaire, qui varie en fonction du type d’activité à laquelle il se livre.