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BAC PRO
1ère année

l'enfant

ESF

Definition

j
s

Introduction: dès la naissance de nombreux examens vent permettre d’apprécier le niveau d’adaptation des différents organes de la vie extra-utérine


I.les examens de l’enfant à la naissance


1. Le score d’Apgar


Cet examen se pratique aux première 5ème et 10èmeminutes de vie. Chaque paramètre sont notés de 0 à 2, les points totalisés donnent le score d’Apgar. Le score maximum est 10:

- score compris entre 7et 10 : bonne adaptation de l’enfant à la vie extra-utérine

- score compris entre 3 et 6 : traitement immédiat de l’enfant

- score inférieur à 3 : réanimation d’urgence


2. Le contrôle des réflexes


Se sont des mouvements involontaires présent à la naissance jusqu’au 2ème mois de vie


Le réflexe de succion: lorsque l’on effleure les lèvres du nouveau-né, il se met à téter

Le grasping: lorsque l’on effleure la paume de la main du nouveau-né il la ressert rapidement

Le réflexe de Moro: lorsqu’il entend un bruit violent le nouveau-né écarte les bras en croix et puis les ramène rapidement sur la poitrine c’est un réflexe de défense

Le réflexe de la marche: lorsque l’on maintient le nouveau-né debout il fait quelques pas

Le réflexe des points cardinaux: la stimulation des commissures des lèvres entraînent un mouvement de la tête du bébé en direction de la stimulation


Les réflexes archaïques sont des signes de bonne santé neurologique du nouveau-né


3. Le test de Guthrie


Ce test est un examen de laboratoire effectué sur quelques gouttes de sang prélevé au talon, le 4ème jour de la vie


II. le développement somatique, sensoriel, moteur


1. Les capacités sensorielles et émotionnelles du nouveau-né


Introduction : le nouveau-né montre des capacités remarquables d’assimilations et de réponse au monde environnent. Ces 5 sens sont déjà en action pour capter tous ce qu’il l’entoure


1.1 la vision: le regard du nouveau-né


A la naissance le bébé possède la capacité de traiter des informations visuelles et on peut dire qu’il est programmé pour rechercher le visage humain et pour y répondre avec enthousiasme. Quand il voit un visage humain, l’enfant semble attendre une interaction ou une réponse en retour.il peut le fixer intensément de façon soutenue, presque interrogative. Ce regard provoque chez l’adulte, une émotion intense.


1.2 l’audition


Le comportement réactif du nouveau-né aux signaux auditifs et toute aussi riche que dans le cas des signaux visuels. Le nouveau-né entend bien, ses réactions comportementales le confirme. L’audition évolue considérablement de sa naissance à ses 3 mois.


1.3 l’odorat


Il s’agit d’un sens très développé. Après la naissance le personnel de santé place le nouveau-né sur le ventre de sa mère et celui-ci presque immédiatement recherche le sein. Il est attiré par l’odeur du lait autant que par l’odeur de sa maman.


1.4 le goût


Le bébé sait différencier le sucré, salé, amer, et acide. Il les connaît car elle passe dans le liquide amniotique puis le lait maternel. Le sucré est la saveur préférée du bébé


1.5 le toucher


Le sens du toucher est très aiguisé chez le bébé et c’est celui qu’il sollicite le plus pour découvrir le monde.


2. Les anomalies du développement sensoriel


Certaine anomalie du développement sensoriel peut être dépister au cours des 4 premier mois de vie grâce à un test auditif ou à un test visuel.


3. L’évolution des capacités posturales et motrices de 0 à 3 ans


3.1 les différents aspects de la motricité


• Posture : on entend par posture le maintien de la tête et du tronc. Le jeune enfant va passer de la position allonger à la position assise puis debout.

• Préhension: on entend par préhension la prise des objets en main. Elle permet à l’enfant de découvrir son environnement

• Locomotion : c’est l’acquisition de la marche. L’équilibre s’acquière progressivement.

• La latéralisation : c’est la dominance de certaine fonction à un coté du corps humain, le plus souvent c’est le coté droit qui domine


3.2 les différents stades de l’évolution motrice


le tableau 6-7


3.3 progression de la motricité


4. Les stades de l’acquisition de la préhension manuelle




5. Les facteurs d’acquisition de la propreté


Le contrôle des sphincters aboutit à l’acquisition de la propreté. C’est une étape essentielle de l’autonomie de l’enfant : l’acquisition est naturelle, spontané. Elle ne nécessite pas d’apprentissage


5.1 facteurs d’acquisition du contrôle des sphincters


trois impératifs sont essentielles à l’acquisition de la propreté:

- une maturation physiologique: lui permettant le contrôle volontaire des sphincters, maturation des nerfs moteurs, maturation des nerfs sensitifs lui permettant de ressentir que sa vessie est pleine ou que sont intestin contient des selles.

- une maturation intellectuelle: l’enfant doit être capable de prendre conscience de son besoin et de faire le lien entre se qu’il ressent et le fait d’aller sur le pot.

- une maturation affective : l’enfant doit avoir envie de faire comme les grands et de faire plaisir à l’adulte. L’acquisition de la propreté se fait progressivement avec parfois des retours en arrière.


5.2 progression de la propreté


l’acquisition de la propreté est très progressive:


- vers 18 à 21 mois l’enfant peut maîtriser le sphincter anal, c’est aussi un oint de repère de l’acquisition par l’enfant de la préhension manuel fine est précise.

- vers 2 ans l’enfant peut maîtriser le sphincter vésicale qui est beaucoup plus fragile à cette âge. La propreté sera d’abord diurne et deviendra progressivement nocturne.le sommeil est très profond chez le jeune enfant ce qui l’empêche de prendre conscience de son besoin.

- vers 3 ans l’enfant acquière la propreté complète, c’est une condition de l’entrée à l’école maternelle.


5.3 facteurs de régressions du contrôle des sphincters


la maîtrise des sphincters peut momentanément se perdre lorsque l’enfant vie des situations difficiles

exemple:

- naissance d’un frère ou d’une sœur

- divorce des parents

- hospitalisation

-l’entrée à l’école maternelle


6. les troubles de l’acquisition de propreté


6.1 l’énurésie

Elle se définie comme une mixtion (pipi) normal et complète, involontaire et inconsciente, généralement nocturne pendant le sommeil chez un enfant en âge d’être propre (3 ans); l’enfant mouille son lit la nuit alors qu’il ne souffre d’aucune lésion organique. L’énurésie est dite primaire quand l’enfant n’a jamais acquis la propreté, secondaire quand l’enfant a été propre plusieurs mois ou plusieurs années puis recommence à mouiller sont lit généralement à la suite d’un évènement traumatisant


6.2 l’encoprésie


C’est le fait pour un enfant ayant dépassé l’âge habituelle d’acquisition de la propreté de déféquer dans sa culotte ou dans toute autre endroit inhabituelle en l’absence de toute atteinte organique. Le symptôme encoprétique est toujours pathologique après 4 ans l’encoprésie est diurne ou nocturne régulière ou épisodique, l’enfant pouvant être propre pendant plusieurs semaines. Les accidents surviennent une ou plusieurs fois par jours souvent dans les mêmes lieux, à la maison, à l’école, ou sur le trajet.

L’encoprésie s’accompagne ou non de constipation et peut se présenter sous forme:

- d’une émission de sels chez l’enfant qui s’isole et défèque dans sa culotte.

-d’une rétention de sels avec une tendance à constipation des le plus jeune âge.


III. le développement intellectuel de l’enfant


Le développement intellectuelle de l’enfant est programmé: elle dépend prioritairement de la maturation neurologique mais il est étroitement liée au contexte affectif et environnementale de l’enfant. Comme toute acquisition l’évolution se fait part étape: des tranches âge indiqués dans les tableaux sont des moyennes reconnu par les psychologue. Elles sont considéré comme des points de repères que les professionnels doivent connaître toute en sachant que chaque enfant a sont propre rythme de développement.


1. Le développement intellectuelle de 0 à 1 an


C’est l’intelligence sensorimotrice qui caractérise la période s’étendant de 1 à 18 mois, selon la théorie de Piaget ( psychologue Suisse 1896 – 1980 ) c’est une intelligence sans pensées. Elle est uniquement pratique et se développe grâce à des expériences concrète. L’enfant fait des découvertes au hasard des ses expériences mais il est incapable de représenter les diverses situations de la vie.


2. Développement intellectuel de 1 à 2 ans


Cette période correspond à la transition entre l’intelligence sensorimotrice et les premières images mentales. L’enfant élabore progressivement des modes d’action pour atteindre son but.


3. Développement intellectuel de 2 à 3 ans


C’est le stade de l’intelligence symbolique. Elle est abstraite et s’appuie sur le pensée. On appelle fonction symbolique la capacité d’évoquer des objets ou des situations passées ou imaginaires.


4. Développement intellectuel de 3 à 6 ans


La pensé intuitive apparaît: c’est une pensée très logique.


IV. Le comportement social de l’enfant


1. Les étapes de la socialisation de l’enfant


Le développement psycho-affectif correspond aux sentiments et aux émotions éprouvé par l’enfant. Il dépend à la fois de l’enfant et des relations avec l’entourage familiale. Le découpage par tranche d’âge respecte les moyennes de référence du développement donné par les psychologue de la petite enfance. Toute fois il ne s’agit que de moyennes statistiques, il ne faut jamais oublier que chaque enfant a son propre rythme de développement qu’il convient de respecter.


1.1 l’enfant de 1 à 6 mois


Le holding est la façon dont le nourrisson est porté physiquement et psychiquement par la mère ou l’entourage humain qui favorisent le sentiment d’exister dur bébé et sa sécurité. Les psychologues disent que l’enveloppe corporelle que forme les bras de l’adulte qui porte le bébé le protège de la sensation de «partir en morceau».


1.2 l’enfant de 7 à 12 mois


Le désire de l’enfant de toucher devient très présent lorsqu’il acquiert l’appréhension volontaire. Couché sur le tapis de sol ou porté sur les genoux il manifeste son excitation psycho-motrice. Quand on met un objet a sa porté, ses épaules se tendent, ses bras et ses mains entrent en actions. Il s’empare de l’objet avec vigueur, l’explore sous toute ses facettes, attiré par la forme et les couleurs puis il termine oralement son exploration de l’objet.


1.3 l’enfant de 1 à 2 ans


1.3.1 la prise d’autonomie de l’enfant


Vers la fin de la première année l’enfant éloigne du regard de sa mère. Cette prise d’autonomie relative de l’enfant génère des dangers et suscite la mise en place d’interdit parentaux. De ce fait:

- l’enfant est pris dans un conflit entre son attachement affectif a sa mère, la crainte de lui déplaire, de la perdre s’il transgresse ses interdits. C’est un période d’opposition avec l’adulte. Il faut trouver des compromis. Il vérifie la fiabilité de l’adulte en testant si les interdits ou les limites sont toujours présentes.

- l’enfant peut être observé entrain de reproduire les gestes de l’adule, cela montre qu’il est entrain d’acquérir la notion d’interdit.

- l’enfant peut traverser des phases d’agressivités que l’adulte devra gérer au mieux surtout en structure d’accueil de l’enfant


1.3.2 la capacité d’être seul


pouvoir rester seul en présence de quelqu’un d’autre, c’est faire l’expérience d’une solitude positive et apaisante. Par exemple un enfant de 18 mois peut manipuler un très long moment son jouet assis tranquillement sur un tapis sachant que sa mère est tout près de lui il est concentré et rassurer par cette présence alors qu’elle n’intervient pas même pour un temps limiter. Elle offre à l’enfant une sécurité psychologique car celui-ci a intégré que l’adulte peut répondre à ses besoins et ses appels. Ceci favorise le début de l’indépendance de l’enfant en vers sa mère.


2. l’enfant de 2 à 3 ans


l’enfant de 2 à 3 ans commence à bien se différencier des autres et à prendre position par rapport à eux dans ses relations avec autrui: il est tantôt acteur tantôt spectateur. Cette prise de conscience en de sois se traduit par la crise d’opposition dite crise de la personnalité: l’enfant s’oppose sans cesse à l’autre lui dit non s’entête, n’obéis pas et refuse d’être aider. Il veut tout faire seul. L’adulte devra l’aider à s’affirmer en favorisant sa sociabilité, son ouverture à autrui.


V. le développement intellectuel de l’enfant


1. les étapes de l’évolution du langage oral


1.1 la première année


Des vagissements de la naissance aux syllabes dès 12 mois en passant par des vocalises et lallations, l’enfant fait des progrès considérable dans le domaine du langage au cours de la première année


1.2 la deuxième année


Du mot-phrase au langage globale de ses 18 mois, l’enfant fait un grand pas vers la maîtrise du langage au cours de la deuxième année


1.3 la troisième année


c’est l’âge clef de l’acquisition du langage dans la mesure ou l’enfant utilise tous les outils pour construire une phrase mais rappelons qu’à cet âge, le langage reste toute fois très enfantin.



2. les étapes de l’évolution du graphisme


dessiner est un moyen d’expression privilégié de l’enfant, c’est un langage pour laisser un trace écrite, l’enfant doit être prêt sur le plan moteur et sur le plan intellectuel. Il est capable de:

- d’une maîtrise du tonus musculaire de la main lui permettant de contrôler son geste

- d’action intentionnel

- de préhension fine pour tenir son crayon


3. les troubles du langage chez l’enfant


3.1 la dyslexie


la dyslexie est une difficulté spécifique d’apprentissage de la lecture chez les enfants d’intelligence normal. Elle est caractérisé par la difficulté à identifier, décoder, comprendre les mots imprimés et les rapprocher. De ce fait, la lecture est pénible et dénuée de sens.


Les causes: - des facteurs de désorganisation cérébrale: retard de langage, de latéralisation

- des troubles affectifs et des conséquence d’éventements familiaux

- pédagogie inadapté


les conséquences: - acquisition de l’orthographe est retardé, la dysorthographie s’y associe

elle a donc des répercutions sur: - le développement de l’intelligence

- les acquisition scolaire avec le risque de difficulté ou de retard scolaire

3.2 le bégaiement


c’est un troubles de l’élocution qui peut faire suite à un retard de langage.


3.3 la dysphasie


la dysphasie désigne l’absence total de langage. C’est un trouble plus grave que les précédent dont l’origine est souvent neurologique


3.4 le zézaiement


il correspond à la déformation des mots, l’enfant parle en «zozotant»


3.5 le langage puéril


certain enfant prononce mal les mots et ne construise pas de phrase. Ce comportement régressif témoigne d’un refus de grandir.

BAC PRO
1ère année

l'enfant

ESF

Definition

j
s

Introduction: dès la naissance de nombreux examens vent permettre d’apprécier le niveau d’adaptation des différents organes de la vie extra-utérine


I.les examens de l’enfant à la naissance


1. Le score d’Apgar


Cet examen se pratique aux première 5ème et 10èmeminutes de vie. Chaque paramètre sont notés de 0 à 2, les points totalisés donnent le score d’Apgar. Le score maximum est 10:

- score compris entre 7et 10 : bonne adaptation de l’enfant à la vie extra-utérine

- score compris entre 3 et 6 : traitement immédiat de l’enfant

- score inférieur à 3 : réanimation d’urgence


2. Le contrôle des réflexes


Se sont des mouvements involontaires présent à la naissance jusqu’au 2ème mois de vie


Le réflexe de succion: lorsque l’on effleure les lèvres du nouveau-né, il se met à téter

Le grasping: lorsque l’on effleure la paume de la main du nouveau-né il la ressert rapidement

Le réflexe de Moro: lorsqu’il entend un bruit violent le nouveau-né écarte les bras en croix et puis les ramène rapidement sur la poitrine c’est un réflexe de défense

Le réflexe de la marche: lorsque l’on maintient le nouveau-né debout il fait quelques pas

Le réflexe des points cardinaux: la stimulation des commissures des lèvres entraînent un mouvement de la tête du bébé en direction de la stimulation


Les réflexes archaïques sont des signes de bonne santé neurologique du nouveau-né


3. Le test de Guthrie


Ce test est un examen de laboratoire effectué sur quelques gouttes de sang prélevé au talon, le 4ème jour de la vie


II. le développement somatique, sensoriel, moteur


1. Les capacités sensorielles et émotionnelles du nouveau-né


Introduction : le nouveau-né montre des capacités remarquables d’assimilations et de réponse au monde environnent. Ces 5 sens sont déjà en action pour capter tous ce qu’il l’entoure


1.1 la vision: le regard du nouveau-né


A la naissance le bébé possède la capacité de traiter des informations visuelles et on peut dire qu’il est programmé pour rechercher le visage humain et pour y répondre avec enthousiasme. Quand il voit un visage humain, l’enfant semble attendre une interaction ou une réponse en retour.il peut le fixer intensément de façon soutenue, presque interrogative. Ce regard provoque chez l’adulte, une émotion intense.


1.2 l’audition


Le comportement réactif du nouveau-né aux signaux auditifs et toute aussi riche que dans le cas des signaux visuels. Le nouveau-né entend bien, ses réactions comportementales le confirme. L’audition évolue considérablement de sa naissance à ses 3 mois.


1.3 l’odorat


Il s’agit d’un sens très développé. Après la naissance le personnel de santé place le nouveau-né sur le ventre de sa mère et celui-ci presque immédiatement recherche le sein. Il est attiré par l’odeur du lait autant que par l’odeur de sa maman.


1.4 le goût


Le bébé sait différencier le sucré, salé, amer, et acide. Il les connaît car elle passe dans le liquide amniotique puis le lait maternel. Le sucré est la saveur préférée du bébé


1.5 le toucher


Le sens du toucher est très aiguisé chez le bébé et c’est celui qu’il sollicite le plus pour découvrir le monde.


2. Les anomalies du développement sensoriel


Certaine anomalie du développement sensoriel peut être dépister au cours des 4 premier mois de vie grâce à un test auditif ou à un test visuel.


3. L’évolution des capacités posturales et motrices de 0 à 3 ans


3.1 les différents aspects de la motricité


• Posture : on entend par posture le maintien de la tête et du tronc. Le jeune enfant va passer de la position allonger à la position assise puis debout.

• Préhension: on entend par préhension la prise des objets en main. Elle permet à l’enfant de découvrir son environnement

• Locomotion : c’est l’acquisition de la marche. L’équilibre s’acquière progressivement.

• La latéralisation : c’est la dominance de certaine fonction à un coté du corps humain, le plus souvent c’est le coté droit qui domine


3.2 les différents stades de l’évolution motrice


le tableau 6-7


3.3 progression de la motricité


4. Les stades de l’acquisition de la préhension manuelle




5. Les facteurs d’acquisition de la propreté


Le contrôle des sphincters aboutit à l’acquisition de la propreté. C’est une étape essentielle de l’autonomie de l’enfant : l’acquisition est naturelle, spontané. Elle ne nécessite pas d’apprentissage


5.1 facteurs d’acquisition du contrôle des sphincters


trois impératifs sont essentielles à l’acquisition de la propreté:

- une maturation physiologique: lui permettant le contrôle volontaire des sphincters, maturation des nerfs moteurs, maturation des nerfs sensitifs lui permettant de ressentir que sa vessie est pleine ou que sont intestin contient des selles.

- une maturation intellectuelle: l’enfant doit être capable de prendre conscience de son besoin et de faire le lien entre se qu’il ressent et le fait d’aller sur le pot.

- une maturation affective : l’enfant doit avoir envie de faire comme les grands et de faire plaisir à l’adulte. L’acquisition de la propreté se fait progressivement avec parfois des retours en arrière.


5.2 progression de la propreté


l’acquisition de la propreté est très progressive:


- vers 18 à 21 mois l’enfant peut maîtriser le sphincter anal, c’est aussi un oint de repère de l’acquisition par l’enfant de la préhension manuel fine est précise.

- vers 2 ans l’enfant peut maîtriser le sphincter vésicale qui est beaucoup plus fragile à cette âge. La propreté sera d’abord diurne et deviendra progressivement nocturne.le sommeil est très profond chez le jeune enfant ce qui l’empêche de prendre conscience de son besoin.

- vers 3 ans l’enfant acquière la propreté complète, c’est une condition de l’entrée à l’école maternelle.


5.3 facteurs de régressions du contrôle des sphincters


la maîtrise des sphincters peut momentanément se perdre lorsque l’enfant vie des situations difficiles

exemple:

- naissance d’un frère ou d’une sœur

- divorce des parents

- hospitalisation

-l’entrée à l’école maternelle


6. les troubles de l’acquisition de propreté


6.1 l’énurésie

Elle se définie comme une mixtion (pipi) normal et complète, involontaire et inconsciente, généralement nocturne pendant le sommeil chez un enfant en âge d’être propre (3 ans); l’enfant mouille son lit la nuit alors qu’il ne souffre d’aucune lésion organique. L’énurésie est dite primaire quand l’enfant n’a jamais acquis la propreté, secondaire quand l’enfant a été propre plusieurs mois ou plusieurs années puis recommence à mouiller sont lit généralement à la suite d’un évènement traumatisant


6.2 l’encoprésie


C’est le fait pour un enfant ayant dépassé l’âge habituelle d’acquisition de la propreté de déféquer dans sa culotte ou dans toute autre endroit inhabituelle en l’absence de toute atteinte organique. Le symptôme encoprétique est toujours pathologique après 4 ans l’encoprésie est diurne ou nocturne régulière ou épisodique, l’enfant pouvant être propre pendant plusieurs semaines. Les accidents surviennent une ou plusieurs fois par jours souvent dans les mêmes lieux, à la maison, à l’école, ou sur le trajet.

L’encoprésie s’accompagne ou non de constipation et peut se présenter sous forme:

- d’une émission de sels chez l’enfant qui s’isole et défèque dans sa culotte.

-d’une rétention de sels avec une tendance à constipation des le plus jeune âge.


III. le développement intellectuel de l’enfant


Le développement intellectuelle de l’enfant est programmé: elle dépend prioritairement de la maturation neurologique mais il est étroitement liée au contexte affectif et environnementale de l’enfant. Comme toute acquisition l’évolution se fait part étape: des tranches âge indiqués dans les tableaux sont des moyennes reconnu par les psychologue. Elles sont considéré comme des points de repères que les professionnels doivent connaître toute en sachant que chaque enfant a sont propre rythme de développement.


1. Le développement intellectuelle de 0 à 1 an


C’est l’intelligence sensorimotrice qui caractérise la période s’étendant de 1 à 18 mois, selon la théorie de Piaget ( psychologue Suisse 1896 – 1980 ) c’est une intelligence sans pensées. Elle est uniquement pratique et se développe grâce à des expériences concrète. L’enfant fait des découvertes au hasard des ses expériences mais il est incapable de représenter les diverses situations de la vie.


2. Développement intellectuel de 1 à 2 ans


Cette période correspond à la transition entre l’intelligence sensorimotrice et les premières images mentales. L’enfant élabore progressivement des modes d’action pour atteindre son but.


3. Développement intellectuel de 2 à 3 ans


C’est le stade de l’intelligence symbolique. Elle est abstraite et s’appuie sur le pensée. On appelle fonction symbolique la capacité d’évoquer des objets ou des situations passées ou imaginaires.


4. Développement intellectuel de 3 à 6 ans


La pensé intuitive apparaît: c’est une pensée très logique.


IV. Le comportement social de l’enfant


1. Les étapes de la socialisation de l’enfant


Le développement psycho-affectif correspond aux sentiments et aux émotions éprouvé par l’enfant. Il dépend à la fois de l’enfant et des relations avec l’entourage familiale. Le découpage par tranche d’âge respecte les moyennes de référence du développement donné par les psychologue de la petite enfance. Toute fois il ne s’agit que de moyennes statistiques, il ne faut jamais oublier que chaque enfant a son propre rythme de développement qu’il convient de respecter.


1.1 l’enfant de 1 à 6 mois


Le holding est la façon dont le nourrisson est porté physiquement et psychiquement par la mère ou l’entourage humain qui favorisent le sentiment d’exister dur bébé et sa sécurité. Les psychologues disent que l’enveloppe corporelle que forme les bras de l’adulte qui porte le bébé le protège de la sensation de «partir en morceau».


1.2 l’enfant de 7 à 12 mois


Le désire de l’enfant de toucher devient très présent lorsqu’il acquiert l’appréhension volontaire. Couché sur le tapis de sol ou porté sur les genoux il manifeste son excitation psycho-motrice. Quand on met un objet a sa porté, ses épaules se tendent, ses bras et ses mains entrent en actions. Il s’empare de l’objet avec vigueur, l’explore sous toute ses facettes, attiré par la forme et les couleurs puis il termine oralement son exploration de l’objet.


1.3 l’enfant de 1 à 2 ans


1.3.1 la prise d’autonomie de l’enfant


Vers la fin de la première année l’enfant éloigne du regard de sa mère. Cette prise d’autonomie relative de l’enfant génère des dangers et suscite la mise en place d’interdit parentaux. De ce fait:

- l’enfant est pris dans un conflit entre son attachement affectif a sa mère, la crainte de lui déplaire, de la perdre s’il transgresse ses interdits. C’est un période d’opposition avec l’adulte. Il faut trouver des compromis. Il vérifie la fiabilité de l’adulte en testant si les interdits ou les limites sont toujours présentes.

- l’enfant peut être observé entrain de reproduire les gestes de l’adule, cela montre qu’il est entrain d’acquérir la notion d’interdit.

- l’enfant peut traverser des phases d’agressivités que l’adulte devra gérer au mieux surtout en structure d’accueil de l’enfant


1.3.2 la capacité d’être seul


pouvoir rester seul en présence de quelqu’un d’autre, c’est faire l’expérience d’une solitude positive et apaisante. Par exemple un enfant de 18 mois peut manipuler un très long moment son jouet assis tranquillement sur un tapis sachant que sa mère est tout près de lui il est concentré et rassurer par cette présence alors qu’elle n’intervient pas même pour un temps limiter. Elle offre à l’enfant une sécurité psychologique car celui-ci a intégré que l’adulte peut répondre à ses besoins et ses appels. Ceci favorise le début de l’indépendance de l’enfant en vers sa mère.


2. l’enfant de 2 à 3 ans


l’enfant de 2 à 3 ans commence à bien se différencier des autres et à prendre position par rapport à eux dans ses relations avec autrui: il est tantôt acteur tantôt spectateur. Cette prise de conscience en de sois se traduit par la crise d’opposition dite crise de la personnalité: l’enfant s’oppose sans cesse à l’autre lui dit non s’entête, n’obéis pas et refuse d’être aider. Il veut tout faire seul. L’adulte devra l’aider à s’affirmer en favorisant sa sociabilité, son ouverture à autrui.


V. le développement intellectuel de l’enfant


1. les étapes de l’évolution du langage oral


1.1 la première année


Des vagissements de la naissance aux syllabes dès 12 mois en passant par des vocalises et lallations, l’enfant fait des progrès considérable dans le domaine du langage au cours de la première année


1.2 la deuxième année


Du mot-phrase au langage globale de ses 18 mois, l’enfant fait un grand pas vers la maîtrise du langage au cours de la deuxième année


1.3 la troisième année


c’est l’âge clef de l’acquisition du langage dans la mesure ou l’enfant utilise tous les outils pour construire une phrase mais rappelons qu’à cet âge, le langage reste toute fois très enfantin.



2. les étapes de l’évolution du graphisme


dessiner est un moyen d’expression privilégié de l’enfant, c’est un langage pour laisser un trace écrite, l’enfant doit être prêt sur le plan moteur et sur le plan intellectuel. Il est capable de:

- d’une maîtrise du tonus musculaire de la main lui permettant de contrôler son geste

- d’action intentionnel

- de préhension fine pour tenir son crayon


3. les troubles du langage chez l’enfant


3.1 la dyslexie


la dyslexie est une difficulté spécifique d’apprentissage de la lecture chez les enfants d’intelligence normal. Elle est caractérisé par la difficulté à identifier, décoder, comprendre les mots imprimés et les rapprocher. De ce fait, la lecture est pénible et dénuée de sens.


Les causes: - des facteurs de désorganisation cérébrale: retard de langage, de latéralisation

- des troubles affectifs et des conséquence d’éventements familiaux

- pédagogie inadapté


les conséquences: - acquisition de l’orthographe est retardé, la dysorthographie s’y associe

elle a donc des répercutions sur: - le développement de l’intelligence

- les acquisition scolaire avec le risque de difficulté ou de retard scolaire

3.2 le bégaiement


c’est un troubles de l’élocution qui peut faire suite à un retard de langage.


3.3 la dysphasie


la dysphasie désigne l’absence total de langage. C’est un trouble plus grave que les précédent dont l’origine est souvent neurologique


3.4 le zézaiement


il correspond à la déformation des mots, l’enfant parle en «zozotant»


3.5 le langage puéril


certain enfant prononce mal les mots et ne construise pas de phrase. Ce comportement régressif témoigne d’un refus de grandir.