L’asthme va provoquer chez un sujet malade, une baisse du volume expiratoire maximal par seconde.
L’asthme aigu grave se définit par une crise inhabituelle motivant l’appel du médecin qui entraine l’arrêt de l’activité en cours (professionnelle ou scolaire).
Cet asthme se reconnait par une fréquence respiratoire supérieur ) 30/mi et une fréquence cardiaque supérieure à 120/mn.
Cet asthme peut provoquer éventuellement une hospitalise rapide surtout s’il. Y a des troubles de conscience avec cyanose et sueurs.
En cas d’hospitalisation, la gazométrie artérielle permet d’évaluer la gravité de l’asthme.
Une radio pulmonaire doit être rapidement demandée.
Chez l’enfant et l’adolescent, on ne parle pas de « bronchites asthmatiques » car ce diagnostic est trop rassurant. Le virus respiratoire syncytial est le plus souvent en cause après un épisode ORL.
ATTENTION, il faut se méfier du « happy wheezer » ou le nourrisson est trop calme.
Chez le grand enfant, l’asthme se rapproche de celui de l’adulte mais il faut retenir que la toux isolée constitue le seul symptôme
Certains facteurs peuvent entrainer chez un sujet de l’asthme.
Pour les facteurs prédisposants on retrouve l’atopie, qui est sous dépendance génétique, c’est l’aptitude à produire une quantité anormale d’immunoglobuline E.
Les facteurs favorisants doivent être recherchés par un interrogatoire minutieux qui doit être répété surtout si l’asthme est chronique. Les facteurs favorisants peuvent être :
Enfin, certains facteurs peuvent être considérée comme aggravant vis-à-vis de l’asthme, tels que les remontées gastro-oesophagiennes, l’influence hormonales (asthme péri-ménopausique), les facteurs psychologiques, la pollution atmosphérique ou encore le tabagisme actif et passif
La réaction allergique va provoquer un inflammation pouvant concerner un ou plusieurs organes :
Pour pouvoir traiter l’asthme de manière efficace, il faut savoir distinguer à quelle stade se situe l’asthme. On distingue 4 stades :
On adapte alors le traitement en fonction du stade du patient asthmatique :
Dans l’asthme d’origine allergique, on peut proposer une immunothérapie allergique (ITA) ou désensibilisation, qui neutralise les immunoglobulines E.
Cette immunothérapie allergique se fait par voie sublinguale ou par voie sous-cutanée.
Cependant, il y a un nouveau traitement dans l’asthme sévère allergique : Ac monoclonaux Xolair qui neutralisent les immunoglobulines E.
Dans le cas d’une hyperéosinophilie, les anti-interleukines (biothérapie) vont permettre d’épargner la corticothérapie per os.
Le SERA-CoV-2 aggrave l’asthme.
Il ne faut surtout pas arrêter le traitement de l’asthme chronique, en particulier les corticostéroïdes inhalés.
Le vaccin anti-covid est indispensable chez l’asthmatique car l’asthme est un facteur aggravant de la covid.
Le rôle infirmier est majeur dans le diagnostic, la prise en charge thérapeutique (car seulement 1/5 des asthmatiques prend correctement son traitement) et dans l’éducation thérapeutique.
L’asthme va provoquer chez un sujet malade, une baisse du volume expiratoire maximal par seconde.
L’asthme aigu grave se définit par une crise inhabituelle motivant l’appel du médecin qui entraine l’arrêt de l’activité en cours (professionnelle ou scolaire).
Cet asthme se reconnait par une fréquence respiratoire supérieur ) 30/mi et une fréquence cardiaque supérieure à 120/mn.
Cet asthme peut provoquer éventuellement une hospitalise rapide surtout s’il. Y a des troubles de conscience avec cyanose et sueurs.
En cas d’hospitalisation, la gazométrie artérielle permet d’évaluer la gravité de l’asthme.
Une radio pulmonaire doit être rapidement demandée.
Chez l’enfant et l’adolescent, on ne parle pas de « bronchites asthmatiques » car ce diagnostic est trop rassurant. Le virus respiratoire syncytial est le plus souvent en cause après un épisode ORL.
ATTENTION, il faut se méfier du « happy wheezer » ou le nourrisson est trop calme.
Chez le grand enfant, l’asthme se rapproche de celui de l’adulte mais il faut retenir que la toux isolée constitue le seul symptôme
Certains facteurs peuvent entrainer chez un sujet de l’asthme.
Pour les facteurs prédisposants on retrouve l’atopie, qui est sous dépendance génétique, c’est l’aptitude à produire une quantité anormale d’immunoglobuline E.
Les facteurs favorisants doivent être recherchés par un interrogatoire minutieux qui doit être répété surtout si l’asthme est chronique. Les facteurs favorisants peuvent être :
Enfin, certains facteurs peuvent être considérée comme aggravant vis-à-vis de l’asthme, tels que les remontées gastro-oesophagiennes, l’influence hormonales (asthme péri-ménopausique), les facteurs psychologiques, la pollution atmosphérique ou encore le tabagisme actif et passif
La réaction allergique va provoquer un inflammation pouvant concerner un ou plusieurs organes :
Pour pouvoir traiter l’asthme de manière efficace, il faut savoir distinguer à quelle stade se situe l’asthme. On distingue 4 stades :
On adapte alors le traitement en fonction du stade du patient asthmatique :
Dans l’asthme d’origine allergique, on peut proposer une immunothérapie allergique (ITA) ou désensibilisation, qui neutralise les immunoglobulines E.
Cette immunothérapie allergique se fait par voie sublinguale ou par voie sous-cutanée.
Cependant, il y a un nouveau traitement dans l’asthme sévère allergique : Ac monoclonaux Xolair qui neutralisent les immunoglobulines E.
Dans le cas d’une hyperéosinophilie, les anti-interleukines (biothérapie) vont permettre d’épargner la corticothérapie per os.
Le SERA-CoV-2 aggrave l’asthme.
Il ne faut surtout pas arrêter le traitement de l’asthme chronique, en particulier les corticostéroïdes inhalés.
Le vaccin anti-covid est indispensable chez l’asthmatique car l’asthme est un facteur aggravant de la covid.
Le rôle infirmier est majeur dans le diagnostic, la prise en charge thérapeutique (car seulement 1/5 des asthmatiques prend correctement son traitement) et dans l’éducation thérapeutique.