Les changements d'attitude L.1-13
>>L.1-4:Mise en abyme, Iphicrate hypocrite > didascalie + formule affable «mon cher Arlequin» (cherche à le flatter), mais Arlequin n’est pas dupe et répond avec ironie: reprise «mon cher patron» en évoquant les compliment qui sont en réalité des coups de son maître. Arlequin lui précise qu’il a perdu son instrument = son pouvoir >le gourdin (L.3-4)
L.5: nouvelle tentative d’amadouement d’Arlequin par Iphicrate>l’interrogation+ négation total = il attend un «oui»en réponse.
>>Ici encore Arlequin fait preuve d’ironie (coup) dont il est victime comme signe
d’attachement >adverbe «toujours» montre la fréquence.(L.6-7)
Parallélisme de construction «s’il sont mort»/ «s’il sont en vie» + langage familier>Arlequin montre son indifférence face au reste de l’équipage.
>>L.10-13: Iphicrate est égocentrique > didascalie + locution verbale «avoir besoin» + «je» détachée. Arlequin proclame son indépendance sur un ton provocateur, il ne veut pas être dérangée mais Iphicrate se laisse emporter et montre son vrai visage > «esclave insolent».
L'affranchissement d'Arlequin L.14-fin
??>>L.14-16: Le rire d’Arlequin sonne comme un défi puis qualifie péjorativement la langue d’Athènes pour montrer qu’elle n’a plus d’impact sur lui (entendre = écouter). Iphicrate pose une question pour remettre Arlequin a sa place > déterminant possessif
>> L.17-25: Longue tirade construit et argumenter, Arlequin se montre distant> didascalie.
-Il marque la fin de son statut d’esclave > passé composé/imparfait,
-Ensuite il y a une formule paradoxale qui montre que la responsabilité retombe au maître> «confesse à ta honte»
Mais Arlequin se montre magnanime(L.18): présent de vérité générale pour montrer qu’Iphicrate n’est pas pire que les autres.
-il rappelle à Iphicrate la manière inhumaine dont il le traitait > comparaison + «pauvre» pour montrer l’esclave qu’il était,
-Il évoque aussi la loi du + fort > abus de pouvoir,
- Arlequin énumère ce qui attend Iphicrate > futur+présent à valeur de futur proche (nécessaire pour lui apprendre l’empathie = séjour curatif),
-Arlequin conclue en exprimant au conditionnel présent le souhait que tous les maîtres vivent cette aventure puis le salut de manière bienveillante «Adieu mon ami»
>>L.26-30: Iphicrate insulte et pourchassent Arlequin en le menaçant >didascalie + adjectif «malheureux» et «outragé» dans un comparatif de supériorité + interjection ou il prend Dieu a témoin.
Dernière réplique (L,29-30) Arlequin n’est pas impressionné et met en garde Iphicrate à l’impératif présent.
Conclusion:
Cette scène d'ouverture répond aux impératifs de l'exposition théâtrale et elle préfigure le renversement des rôles entre Iphicrate et Arlequin.
Les changements d'attitude L.1-13
>>L.1-4:Mise en abyme, Iphicrate hypocrite > didascalie + formule affable «mon cher Arlequin» (cherche à le flatter), mais Arlequin n’est pas dupe et répond avec ironie: reprise «mon cher patron» en évoquant les compliment qui sont en réalité des coups de son maître. Arlequin lui précise qu’il a perdu son instrument = son pouvoir >le gourdin (L.3-4)
L.5: nouvelle tentative d’amadouement d’Arlequin par Iphicrate>l’interrogation+ négation total = il attend un «oui»en réponse.
>>Ici encore Arlequin fait preuve d’ironie (coup) dont il est victime comme signe
d’attachement >adverbe «toujours» montre la fréquence.(L.6-7)
Parallélisme de construction «s’il sont mort»/ «s’il sont en vie» + langage familier>Arlequin montre son indifférence face au reste de l’équipage.
>>L.10-13: Iphicrate est égocentrique > didascalie + locution verbale «avoir besoin» + «je» détachée. Arlequin proclame son indépendance sur un ton provocateur, il ne veut pas être dérangée mais Iphicrate se laisse emporter et montre son vrai visage > «esclave insolent».
L'affranchissement d'Arlequin L.14-fin
??>>L.14-16: Le rire d’Arlequin sonne comme un défi puis qualifie péjorativement la langue d’Athènes pour montrer qu’elle n’a plus d’impact sur lui (entendre = écouter). Iphicrate pose une question pour remettre Arlequin a sa place > déterminant possessif
>> L.17-25: Longue tirade construit et argumenter, Arlequin se montre distant> didascalie.
-Il marque la fin de son statut d’esclave > passé composé/imparfait,
-Ensuite il y a une formule paradoxale qui montre que la responsabilité retombe au maître> «confesse à ta honte»
Mais Arlequin se montre magnanime(L.18): présent de vérité générale pour montrer qu’Iphicrate n’est pas pire que les autres.
-il rappelle à Iphicrate la manière inhumaine dont il le traitait > comparaison + «pauvre» pour montrer l’esclave qu’il était,
-Il évoque aussi la loi du + fort > abus de pouvoir,
- Arlequin énumère ce qui attend Iphicrate > futur+présent à valeur de futur proche (nécessaire pour lui apprendre l’empathie = séjour curatif),
-Arlequin conclue en exprimant au conditionnel présent le souhait que tous les maîtres vivent cette aventure puis le salut de manière bienveillante «Adieu mon ami»
>>L.26-30: Iphicrate insulte et pourchassent Arlequin en le menaçant >didascalie + adjectif «malheureux» et «outragé» dans un comparatif de supériorité + interjection ou il prend Dieu a témoin.
Dernière réplique (L,29-30) Arlequin n’est pas impressionné et met en garde Iphicrate à l’impératif présent.
Conclusion:
Cette scène d'ouverture répond aux impératifs de l'exposition théâtrale et elle préfigure le renversement des rôles entre Iphicrate et Arlequin.