Introduction :
I. Une institution civique à préserver
À Rome, la monnaie est une institutition civique à part entière. La monnaie a un carctère assez ambyvalent : elle est parfois perçu comme la corruption des mœurs. Cette image négative elle existe. Le principe c’est qu’il s’agit de circoncir l’usage de la monnaie pour prévenir les vols. Dans ce cadre, elle peut présenter un caractère vertueux : une chose qu’on doit préserver au nom du mos maiorum.
Les tribuns de la plèbe sont méfiants vis-à-vis de la création de l’impot dans la mesure… ils montrent l’exemple. Cet épisode n’est pas forcément historique, la solde n’est qu’un dédomagement, ce n’est donc que justice que de les dédomager. Cet aspect, Claude Nicolet, l’avait bien perçu : deux composantes parmi d’autres. Elle ne veut pas dvpler les échanges comemrciaux,
Parcours : Sénat > Trésor > Atelier.
L'époque impériale.: Auguste va restaurer tout ça avec la mer du fisc (la corbeille du prince) : ad° à part entière. Le Trésort de Saturne est contrôlé par le Sénat
Sous Aug, à partir d’Augs, le x2 de la frappe romaine reprend avec le paiement des taxes provinciales, ses recettes sont majoritairement dirigés vers le fisc. C’est une insitution à préserver. C’est aussi un objet de mémoire : un monumentum. (qui le relie à son passé) : Junon Moneta > déesse de la cité.
II. Les dieux et la monnaie
- Saturne
- Junon Moneta
Pour autant, elles sont rarement représentés sur les monnaies. En revanche, on revoit les divinités les plus fréquentes avec Roma, Janus, Dioscures, Genius populi romani.
Comment on les reconnait ?
- Jupiter : en portrait, en pied, masculin, barbu, qui tient le foudre, un spetre, sur un quadrige ou il trône.
- La victoire : elle porte des ailes, très récurrente en portrait, en pied, couronné, conduire des chars, comme un atribut aussi.
- Mars : nu, casqué et armé, portrait et pied,
- Vénus : elle va souvent avec mars, portrait ou pied, jeune, belle, coiffée et apprété avec soin, cupidon, nue ou non
- Diane : adolescente, nature, son carquois et son arc, avec des cerfs, porte des torches (Diana Lucifera
- Apollon : il présente souvent un visage assez androgyne, masculine, pomme d’adam, traits fin, cheveux longs (chignon, tresses, à la grecque)
- Hercule : pas de légence, mais représenté assez jeune et imberbe comme plus vieux et barbu, physique imposant, massue, peau du lion de Némée
Les allégories divinisées :
La pensée religieuse romaine (souple) est propice à des conceptis abstraits et trouvent leurs places sur la monnaie. Ce ne sont pas de simples allégories : ce sont des divinités, ce sont des divinités honorées. À l’ep.rep, elles sont assez rare : contexte assez spécifique : lorsque rome sort d’une période de trouble, Cicéron promeut le thème de la concorde (concordia)
- Concordia :
- Libertas
- Tout un tas d’autres…
III. Les portraits monétaires
On a beaucoup de divinités et les portraits.
Sous la Rep, les portraits humains sont pas là au départ. Il commence à se x dans les tournants du I ou du IIème siècle de notre ère. On voit apparaitre des ancetres mythiques : rois de rome, premier consul de la république,
On se rapproche de portrait réalise et le cas.. elles sont conservées dans.. le cortège funéraire : on voit plusieurs personnages, avec des acteurs, qui portent ses masques mortuaires, qui donne à voir l’his.. Dès la mort de César, ils vont adopter ça.
Sous le principat, on peut voir un langage iconographique :
- Rapport buste/protrait et titulature impériale
- Buste =/= tête : épaule.
- Le visage peut-être nu, lauréé, parfois voilé
- Buste ; drapé, cuirassé,
Introduction :
I. Une institution civique à préserver
À Rome, la monnaie est une institutition civique à part entière. La monnaie a un carctère assez ambyvalent : elle est parfois perçu comme la corruption des mœurs. Cette image négative elle existe. Le principe c’est qu’il s’agit de circoncir l’usage de la monnaie pour prévenir les vols. Dans ce cadre, elle peut présenter un caractère vertueux : une chose qu’on doit préserver au nom du mos maiorum.
Les tribuns de la plèbe sont méfiants vis-à-vis de la création de l’impot dans la mesure… ils montrent l’exemple. Cet épisode n’est pas forcément historique, la solde n’est qu’un dédomagement, ce n’est donc que justice que de les dédomager. Cet aspect, Claude Nicolet, l’avait bien perçu : deux composantes parmi d’autres. Elle ne veut pas dvpler les échanges comemrciaux,
Parcours : Sénat > Trésor > Atelier.
L'époque impériale.: Auguste va restaurer tout ça avec la mer du fisc (la corbeille du prince) : ad° à part entière. Le Trésort de Saturne est contrôlé par le Sénat
Sous Aug, à partir d’Augs, le x2 de la frappe romaine reprend avec le paiement des taxes provinciales, ses recettes sont majoritairement dirigés vers le fisc. C’est une insitution à préserver. C’est aussi un objet de mémoire : un monumentum. (qui le relie à son passé) : Junon Moneta > déesse de la cité.
II. Les dieux et la monnaie
- Saturne
- Junon Moneta
Pour autant, elles sont rarement représentés sur les monnaies. En revanche, on revoit les divinités les plus fréquentes avec Roma, Janus, Dioscures, Genius populi romani.
Comment on les reconnait ?
- Jupiter : en portrait, en pied, masculin, barbu, qui tient le foudre, un spetre, sur un quadrige ou il trône.
- La victoire : elle porte des ailes, très récurrente en portrait, en pied, couronné, conduire des chars, comme un atribut aussi.
- Mars : nu, casqué et armé, portrait et pied,
- Vénus : elle va souvent avec mars, portrait ou pied, jeune, belle, coiffée et apprété avec soin, cupidon, nue ou non
- Diane : adolescente, nature, son carquois et son arc, avec des cerfs, porte des torches (Diana Lucifera
- Apollon : il présente souvent un visage assez androgyne, masculine, pomme d’adam, traits fin, cheveux longs (chignon, tresses, à la grecque)
- Hercule : pas de légence, mais représenté assez jeune et imberbe comme plus vieux et barbu, physique imposant, massue, peau du lion de Némée
Les allégories divinisées :
La pensée religieuse romaine (souple) est propice à des conceptis abstraits et trouvent leurs places sur la monnaie. Ce ne sont pas de simples allégories : ce sont des divinités, ce sont des divinités honorées. À l’ep.rep, elles sont assez rare : contexte assez spécifique : lorsque rome sort d’une période de trouble, Cicéron promeut le thème de la concorde (concordia)
- Concordia :
- Libertas
- Tout un tas d’autres…
III. Les portraits monétaires
On a beaucoup de divinités et les portraits.
Sous la Rep, les portraits humains sont pas là au départ. Il commence à se x dans les tournants du I ou du IIème siècle de notre ère. On voit apparaitre des ancetres mythiques : rois de rome, premier consul de la république,
On se rapproche de portrait réalise et le cas.. elles sont conservées dans.. le cortège funéraire : on voit plusieurs personnages, avec des acteurs, qui portent ses masques mortuaires, qui donne à voir l’his.. Dès la mort de César, ils vont adopter ça.
Sous le principat, on peut voir un langage iconographique :
- Rapport buste/protrait et titulature impériale
- Buste =/= tête : épaule.
- Le visage peut-être nu, lauréé, parfois voilé
- Buste ; drapé, cuirassé,