1) Expériences : l’ADN est le support de l’information génétique
a) Expérience de Griffith 1928
Une souche R non pathogène devient virulente grâce au transfert d'information de la souche S anciennement pathogène et inactivée.
Mort de la souris.
b) Astbury 1937
Identification aux RX des bases puriques et pyrimidiques.
Hypothèse : homopolymère ATCG (Faux !)
interbases : 0,34 nm
c) Avery 1944 confirme l’expérience de Griffith
Reprend l'expérience de Griffith.
+ protéases : mort souris : pouvoir transformant actif
+ ADNases : survie souris : pouvoir transformant inactif
=> L'info provient de l'ADN
d) Herschey et Chase 1952
En parallèle de l'expérience d'Avery.
Virus Bactériophage
+ radio marquage 35S -> protéines
+ radio marquage 32P -> ADN
=> L'info provient de l'ADN
2) Expériences : un gène code une protéine
a) Quelques contributions
b) Beadle et Tatum 1941
Champignon "neurospora" en milieu complet (avec tout les AA).
On traite les souches au RX. Mutations aléatoires. On recherche des mutants auxotrophes.
On remet en milieu complet.
On met en milieu minimum :
Les champignons qui se sont développés donc qui ont synthétisé l'AA ne sont pas mutés.
A partir du milieu complet :
On met en milieu minimum avec lequel on a mis un AA.
Seule la souche avec le milieu en Arg s'est développée : mutée
3 Voie de synthèse de l'Arg :
Ornithine -> enz A -> Citruline -> enz B -> Arg
Mutant de classe 1 : ajout d'Ornithine : mutations enz/gène A
Mutant de classe 2 : ajout de Citruline : mutations enz/gène B
Mutant de classe 3 : ajout d'Arginine : mutations enz/gène C
c) Schrödinger 1944
Dans la fibre chromosomique : devenir d'un organe/développement/fonctionnement/"code"
On rejoint biochimie et génétique.
3) Structure de l’ADN et nature chimique du code génétique
a) Expliquer que des milliards de caractères différents sont basés sur un système simple de 4 bases
b) Vers le décryptage du code génétique
lien entre l’ADN et la protéine :
1) Expériences : l’ADN est le support de l’information génétique
a) Expérience de Griffith 1928
Une souche R non pathogène devient virulente grâce au transfert d'information de la souche S anciennement pathogène et inactivée.
Mort de la souris.
b) Astbury 1937
Identification aux RX des bases puriques et pyrimidiques.
Hypothèse : homopolymère ATCG (Faux !)
interbases : 0,34 nm
c) Avery 1944 confirme l’expérience de Griffith
Reprend l'expérience de Griffith.
+ protéases : mort souris : pouvoir transformant actif
+ ADNases : survie souris : pouvoir transformant inactif
=> L'info provient de l'ADN
d) Herschey et Chase 1952
En parallèle de l'expérience d'Avery.
Virus Bactériophage
+ radio marquage 35S -> protéines
+ radio marquage 32P -> ADN
=> L'info provient de l'ADN
2) Expériences : un gène code une protéine
a) Quelques contributions
b) Beadle et Tatum 1941
Champignon "neurospora" en milieu complet (avec tout les AA).
On traite les souches au RX. Mutations aléatoires. On recherche des mutants auxotrophes.
On remet en milieu complet.
On met en milieu minimum :
Les champignons qui se sont développés donc qui ont synthétisé l'AA ne sont pas mutés.
A partir du milieu complet :
On met en milieu minimum avec lequel on a mis un AA.
Seule la souche avec le milieu en Arg s'est développée : mutée
3 Voie de synthèse de l'Arg :
Ornithine -> enz A -> Citruline -> enz B -> Arg
Mutant de classe 1 : ajout d'Ornithine : mutations enz/gène A
Mutant de classe 2 : ajout de Citruline : mutations enz/gène B
Mutant de classe 3 : ajout d'Arginine : mutations enz/gène C
c) Schrödinger 1944
Dans la fibre chromosomique : devenir d'un organe/développement/fonctionnement/"code"
On rejoint biochimie et génétique.
3) Structure de l’ADN et nature chimique du code génétique
a) Expliquer que des milliards de caractères différents sont basés sur un système simple de 4 bases
b) Vers le décryptage du code génétique
lien entre l’ADN et la protéine :