D'un point de vue cognitif et neuropsychologique, il y a une diminution de la capacité à se contrôler et une perte du contrôle de la consommation :
D'un point de vue neurophysiologique et neurobiologique, on va s'intéresser au système dopaminergique méso-cortico-limbique (circuit de la récompense). Toutes les drogues ne provoquent pas de la même façon l’élévation du taux de dopamine dans le cerveau. Certaines substances :
Cannabis Use Disorder (CUD) :
(Critères, intoxication, sevrage : Se référer à la fiche des critères du DSM)
Épidémiologie :
En 2017, 45% des adultes entre 18 et 64 ans déclarent avoir déjà expérimenté ce produit au cours de leur vie et 11 % sont des usagers actuels.
Chez les adolescents de 17 ans, près de 4 sur 10 (48%) ont déjà fumé du cannabis au moins une fois ; l’usage régulier, au moins dix fois durant le mois, concerne 7% d’entre eux.
Il y a un usage problématique ou une dépendance pour 2% des 18-64 ans et 8% des jeunes de 17 ans.
Le cannabis peut se consommer de différentes manières : Blunt, bong, dabbing, g-pen, chicha, joint, pipe, vaporizer.
Le cannabis possède des effets :
Il n'y a pas de traitement pharmacologique validé.
Aspects cliniques: les risques avec le CUD :
La consommation régulière de cannabis peut entrainer des conséquences négatives sur le plan neurologique, neuropsychologique et biologique. Il peut plus précisément entrainer :
Cannabis thérapeutique :
Le Sativex® (autant THC/CBD) est utilisé dans la SEP notamment, pour les douleurs neuropathiques ou chroniques. Le Marinol® est lui utilisé pour les anorexies liées au sida ou les nausées et vomissements liés à une chimiothérapie. Le cannabis thérapeutique est très encadré.
CBD (cannabidiol) :
Il est issu du cannabis à proprement parler ou du chanvre. Il soulagerai les convulsions, l'inflammation, l'anxiété et les nausées.
L'huile de CBD n'est pas considérée par la Cour de Justice UE comme un produit stupéfiant. Il y a donc une libre circulation de cette marchandise. Cependant, il ne faut pas entretenir la confusion entre cannabis et CBD.
Il existe des cannabinoides de synthèse (spice) accessible sur Internet. Le plus souvent, elles sont sous forme d’un mélange de plantes séchées sur lesquelles une solution de cannabinoïdes de synthèse a été pulvérisée. Elles ont des effets proches du cannabis.
On peut évaluer le CUD grâce à un dépistage du risque de dépendance par rapport à la consommation de cannabis. On utilise pour ça le questionnaire CAST (échelle de Likert).
Aspects cliniques: Comorbidités avec le CUD :
Cannabis et autres substances :
CUD et Trouble anxieux et Dépressifs :
CUD et Trouble de la personnalité :
CUD et PTSD :
Substances en général et dysrégulation émotionnelle.
THC RDR (tabac) :
RDRD (cannabis) :
Aspects psychothérapeutiques :
D'un point de vue cognitif et neuropsychologique, il y a une diminution de la capacité à se contrôler et une perte du contrôle de la consommation :
D'un point de vue neurophysiologique et neurobiologique, on va s'intéresser au système dopaminergique méso-cortico-limbique (circuit de la récompense). Toutes les drogues ne provoquent pas de la même façon l’élévation du taux de dopamine dans le cerveau. Certaines substances :
Cannabis Use Disorder (CUD) :
(Critères, intoxication, sevrage : Se référer à la fiche des critères du DSM)
Épidémiologie :
En 2017, 45% des adultes entre 18 et 64 ans déclarent avoir déjà expérimenté ce produit au cours de leur vie et 11 % sont des usagers actuels.
Chez les adolescents de 17 ans, près de 4 sur 10 (48%) ont déjà fumé du cannabis au moins une fois ; l’usage régulier, au moins dix fois durant le mois, concerne 7% d’entre eux.
Il y a un usage problématique ou une dépendance pour 2% des 18-64 ans et 8% des jeunes de 17 ans.
Le cannabis peut se consommer de différentes manières : Blunt, bong, dabbing, g-pen, chicha, joint, pipe, vaporizer.
Le cannabis possède des effets :
Il n'y a pas de traitement pharmacologique validé.
Aspects cliniques: les risques avec le CUD :
La consommation régulière de cannabis peut entrainer des conséquences négatives sur le plan neurologique, neuropsychologique et biologique. Il peut plus précisément entrainer :
Cannabis thérapeutique :
Le Sativex® (autant THC/CBD) est utilisé dans la SEP notamment, pour les douleurs neuropathiques ou chroniques. Le Marinol® est lui utilisé pour les anorexies liées au sida ou les nausées et vomissements liés à une chimiothérapie. Le cannabis thérapeutique est très encadré.
CBD (cannabidiol) :
Il est issu du cannabis à proprement parler ou du chanvre. Il soulagerai les convulsions, l'inflammation, l'anxiété et les nausées.
L'huile de CBD n'est pas considérée par la Cour de Justice UE comme un produit stupéfiant. Il y a donc une libre circulation de cette marchandise. Cependant, il ne faut pas entretenir la confusion entre cannabis et CBD.
Il existe des cannabinoides de synthèse (spice) accessible sur Internet. Le plus souvent, elles sont sous forme d’un mélange de plantes séchées sur lesquelles une solution de cannabinoïdes de synthèse a été pulvérisée. Elles ont des effets proches du cannabis.
On peut évaluer le CUD grâce à un dépistage du risque de dépendance par rapport à la consommation de cannabis. On utilise pour ça le questionnaire CAST (échelle de Likert).
Aspects cliniques: Comorbidités avec le CUD :
Cannabis et autres substances :
CUD et Trouble anxieux et Dépressifs :
CUD et Trouble de la personnalité :
CUD et PTSD :
Substances en général et dysrégulation émotionnelle.
THC RDR (tabac) :
RDRD (cannabis) :
Aspects psychothérapeutiques :