Avant la révolution industrielle, il n'existe pas réellement de conscience environnementale.
La nature, souvent perçue comme hostile, est mise au services des besoins des sociétés humaines. Elle ne fait pas l'objet de mesures de protection, mais seulement des mesures de gestion par les pouvoir qui veulent en organisation l'exploitation. Avec les lumières au XVIIIe siècle, et le premier âge de l'industrialisation s'affirme même l'idée d'un nécessaire asservissement de la nature, au nom des intérêts de l'humanité.
Les premières prises de conscience environnementales s'affirment au XIXè siècle.
Certains, en réaction avec le progrès technique porté par la révolution industrielle, se mettent à penser la nature comme un refuge dont il convient de sanctuariser les espaces les plus remarquables. C'est l'origine des parcs naturels et des premières mesures de protection des espèces animales menacées. D'autres comme les hygiénistes, s'inquiètent des conséquences de l'industrialisation sur la santé humaine et conçoivent dans cette optique la nécessité d'une protection de l'environnement.
A la fin du XXe siècle, la protection de l'environnement prend une forme de développement durable.
Face à la crainte d'un épuisement des ressources naturelles, celui-ci vise à concilier la protection de l'environnement avec la nécessité du développement humain, la résorption des inégalités et les intérêts des générations futures. Plusieurs types d'acteurs sont impliqués. A l'échelle internationale, de grandes conférences sont organisées sous l'égide de l'ONU, afin de définir les grandes lignes des actions à mener. La mise en œuvre de ces actions relève de la compétence des Etats et d'autres acteurs sociaux, comme les grandes entreprises et les ONG.
Avant la révolution industrielle, il n'existe pas réellement de conscience environnementale.
La nature, souvent perçue comme hostile, est mise au services des besoins des sociétés humaines. Elle ne fait pas l'objet de mesures de protection, mais seulement des mesures de gestion par les pouvoir qui veulent en organisation l'exploitation. Avec les lumières au XVIIIe siècle, et le premier âge de l'industrialisation s'affirme même l'idée d'un nécessaire asservissement de la nature, au nom des intérêts de l'humanité.
Les premières prises de conscience environnementales s'affirment au XIXè siècle.
Certains, en réaction avec le progrès technique porté par la révolution industrielle, se mettent à penser la nature comme un refuge dont il convient de sanctuariser les espaces les plus remarquables. C'est l'origine des parcs naturels et des premières mesures de protection des espèces animales menacées. D'autres comme les hygiénistes, s'inquiètent des conséquences de l'industrialisation sur la santé humaine et conçoivent dans cette optique la nécessité d'une protection de l'environnement.
A la fin du XXe siècle, la protection de l'environnement prend une forme de développement durable.
Face à la crainte d'un épuisement des ressources naturelles, celui-ci vise à concilier la protection de l'environnement avec la nécessité du développement humain, la résorption des inégalités et les intérêts des générations futures. Plusieurs types d'acteurs sont impliqués. A l'échelle internationale, de grandes conférences sont organisées sous l'égide de l'ONU, afin de définir les grandes lignes des actions à mener. La mise en œuvre de ces actions relève de la compétence des Etats et d'autres acteurs sociaux, comme les grandes entreprises et les ONG.