Le contexte de mondialisation invite à leur dépassement voire à leur suppression.
Pour certaines ONG militantes, la frontière est juste l’expression de survivances archaïques et barbares de
temps anciens et violents, car il faut des armées pour les défendre. Pour ces ONG, il convient de les dépasser
et de les supprimer même, pour consacrer un droit universel de circulation des hommes et des
marchandises : « Tous citoyens du monde ! » comme l’affirment les « No border ». Pour d’autres, comme
l’essayiste Jacques Attali, avec la mondialisation l’avenir est au nomadisme, et ce serait même la revanche du
nomade sur le sédentaire.
Il faut ajouter aussi la toile du cyberespace réputé lui aussi « sans frontière », illusion car le cyberespace est
un réseau qui repose sur une infrastructure physique que les Etats entendent contrôler au point que l’ère
numérique voit se reproduire et même se renforcer les frontières étatiques (politique chinoise de cybersouveraineté).
Derrière cette remise en cause de la frontière, se cache celle de l’Etat et plus spécialement de l’Etat-nation. Il
existe donc une dimension idéologique qui s’ajoute à la dimension technologique et économique qui pousse
à l’ouverture et à la mondialisation des échanges.
Le contexte de mondialisation invite à leur dépassement voire à leur suppression.
Pour certaines ONG militantes, la frontière est juste l’expression de survivances archaïques et barbares de
temps anciens et violents, car il faut des armées pour les défendre. Pour ces ONG, il convient de les dépasser
et de les supprimer même, pour consacrer un droit universel de circulation des hommes et des
marchandises : « Tous citoyens du monde ! » comme l’affirment les « No border ». Pour d’autres, comme
l’essayiste Jacques Attali, avec la mondialisation l’avenir est au nomadisme, et ce serait même la revanche du
nomade sur le sédentaire.
Il faut ajouter aussi la toile du cyberespace réputé lui aussi « sans frontière », illusion car le cyberespace est
un réseau qui repose sur une infrastructure physique que les Etats entendent contrôler au point que l’ère
numérique voit se reproduire et même se renforcer les frontières étatiques (politique chinoise de cybersouveraineté).
Derrière cette remise en cause de la frontière, se cache celle de l’Etat et plus spécialement de l’Etat-nation. Il
existe donc une dimension idéologique qui s’ajoute à la dimension technologique et économique qui pousse
à l’ouverture et à la mondialisation des échanges.
Le contexte de mondialisation invite à leur dépassement voire à leur suppression.
Pour certaines ONG militantes, la frontière est juste l’expression de survivances archaïques et barbares de
temps anciens et violents, car il faut des armées pour les défendre. Pour ces ONG, il convient de les dépasser
et de les supprimer même, pour consacrer un droit universel de circulation des hommes et des
marchandises : « Tous citoyens du monde ! » comme l’affirment les « No border ». Pour d’autres, comme
l’essayiste Jacques Attali, avec la mondialisation l’avenir est au nomadisme, et ce serait même la revanche du
nomade sur le sédentaire.
Il faut ajouter aussi la toile du cyberespace réputé lui aussi « sans frontière », illusion car le cyberespace est
un réseau qui repose sur une infrastructure physique que les Etats entendent contrôler au point que l’ère
numérique voit se reproduire et même se renforcer les frontières étatiques (politique chinoise de cybersouveraineté).
Derrière cette remise en cause de la frontière, se cache celle de l’Etat et plus spécialement de l’Etat-nation. Il
existe donc une dimension idéologique qui s’ajoute à la dimension technologique et économique qui pousse
à l’ouverture et à la mondialisation des échanges.
Le contexte de mondialisation invite à leur dépassement voire à leur suppression.
Pour certaines ONG militantes, la frontière est juste l’expression de survivances archaïques et barbares de
temps anciens et violents, car il faut des armées pour les défendre. Pour ces ONG, il convient de les dépasser
et de les supprimer même, pour consacrer un droit universel de circulation des hommes et des
marchandises : « Tous citoyens du monde ! » comme l’affirment les « No border ». Pour d’autres, comme
l’essayiste Jacques Attali, avec la mondialisation l’avenir est au nomadisme, et ce serait même la revanche du
nomade sur le sédentaire.
Il faut ajouter aussi la toile du cyberespace réputé lui aussi « sans frontière », illusion car le cyberespace est
un réseau qui repose sur une infrastructure physique que les Etats entendent contrôler au point que l’ère
numérique voit se reproduire et même se renforcer les frontières étatiques (politique chinoise de cybersouveraineté).
Derrière cette remise en cause de la frontière, se cache celle de l’Etat et plus spécialement de l’Etat-nation. Il
existe donc une dimension idéologique qui s’ajoute à la dimension technologique et économique qui pousse
à l’ouverture et à la mondialisation des échanges.