A la fin de la préhistoire, la révolution néolithique constitue une première rupture dans la relation des hommes à leur environnement.
Là où elle se produit, elle transforme les anciens chasseurs cueilleurs nomades du paléolithique, en agriculteurs sédentaires. Des progrès techniques comme l'invention de la pierre taillée et de la poterie, accompagnent la domestication de certaines espèces animales et la sélection de certaines espèces végétales. Ainsi naissent l'élevage et l'agriculture. Cela transforme profondément les sociétés humaines, produit une croissance démographiques tout en ayant des impacts très forts sur la biodiversité et les eco-systèmes.
L'économie de production née au Néolithique perdure jusqu'à la fin du XVIIIe siècle.
Ses effets sur l'environnement se renforcent progressivement à mesure que la croissance démographique s'affirme, nécessitant une extension permanente des cultures aux dépens de la forêt et un développement de l'artisanat. Le phénomène s'étend lorsqu'à partir du XVe siècle, les européens se lancent à la conquête du Nouveau Monde où ils mettent parfois en place des formes d'économies destructrices.
Les révolutions industrielles de la fin du XVIIIe siècle aux années 1960 constituent une première rupture dans la relation de l'Homme à son environnement.
Le progrès technique et le développement des activités de production imposent en effet un recours accru aux ressources énergétiques : Le charbon, tout d'abord, puis le pétrole et l'eau dans un second temps. Elles prennent également la forme d'une modernisation de l'agriculture qui fait reculer la nature sauvage. Elles génèrent enfin des pollutions diverses qui altèrent la qualité de l'environnement et affectent gravement la santé humaine.
-Vers 9000 avant notre ère : Début de la révolution néolithique au proche orient.
- Vers la fin du XVIIIème siècle, début de la révolution industrielle.
A la fin de la préhistoire, la révolution néolithique constitue une première rupture dans la relation des hommes à leur environnement.
Là où elle se produit, elle transforme les anciens chasseurs cueilleurs nomades du paléolithique, en agriculteurs sédentaires. Des progrès techniques comme l'invention de la pierre taillée et de la poterie, accompagnent la domestication de certaines espèces animales et la sélection de certaines espèces végétales. Ainsi naissent l'élevage et l'agriculture. Cela transforme profondément les sociétés humaines, produit une croissance démographiques tout en ayant des impacts très forts sur la biodiversité et les eco-systèmes.
L'économie de production née au Néolithique perdure jusqu'à la fin du XVIIIe siècle.
Ses effets sur l'environnement se renforcent progressivement à mesure que la croissance démographique s'affirme, nécessitant une extension permanente des cultures aux dépens de la forêt et un développement de l'artisanat. Le phénomène s'étend lorsqu'à partir du XVe siècle, les européens se lancent à la conquête du Nouveau Monde où ils mettent parfois en place des formes d'économies destructrices.
Les révolutions industrielles de la fin du XVIIIe siècle aux années 1960 constituent une première rupture dans la relation de l'Homme à son environnement.
Le progrès technique et le développement des activités de production imposent en effet un recours accru aux ressources énergétiques : Le charbon, tout d'abord, puis le pétrole et l'eau dans un second temps. Elles prennent également la forme d'une modernisation de l'agriculture qui fait reculer la nature sauvage. Elles génèrent enfin des pollutions diverses qui altèrent la qualité de l'environnement et affectent gravement la santé humaine.
-Vers 9000 avant notre ère : Début de la révolution néolithique au proche orient.
- Vers la fin du XVIIIème siècle, début de la révolution industrielle.