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Post-Bac
1

Deux représentations du sacrifice dans la littérature ancienne (livre 12 des Métamorphoses et passage de la Bible sur la sacrifice d'Isaac

Lettres

Définition

Légende de la guerre de Troie (et sacrifice d'Iphigénie
La ville de Troie se situe dans l'actuelle Turquie sur les bords de la mer Égée. Cette guerre a opposé Grecs (ensemble de cités) et Troyens et aurait existé dans l'antiquité. Cette guerre est causé pour un motif amoureux. Une reine tombe amoureuses d'un Troyens, son homme grec alors trahis déclare la guerre pour récupérer sa femme et conquérir d'autres cités. Cette guerre dure 10 ans, elle nous est racontée par plusieurs auteurs chez les grecs et chez les romains. L'Iliade d'Homer est le texte le plus anciens qui compté ce récit. D'autres auteurs adpatent aussi cette histoires au théâtre (Euripide...). Cette guerre implique d'autres grands héros de la mythologie : Ulysse et Achille pour les grecs et Hélène de Sparte, Priam, Hector ... pour les troyens. Les grecs gagnent la guerre avec le cheval de Troie. Conséquences de ce conflit : des victimes collatérales dont Iphigénie fille du roi Agamemnon sacrifié par son père pour les dieux. A la suite de la guerre quand les grecs détruisent trois et rentrent chez eux, Agamemnon connais aussi une fin tragique. Il est assassiné par sa femme et son amant, elle veut se venger de son marie qui a sacrifié sa fille. * La tragédie grecque : histoires avec des grandes familles (en opposition à la comédie où l'on met en scène les gens du peuple) avec la notion de fatalité (un enchaînement d'événements tragique/idée du destin). -> Dans le récit de d'Homer : la déesse Diane s'oppose au départ des Grecs (déesse de la chasse, jalouse d’Agamemnon et décide de bloquer sa flotte, pour l’apaisé il lui offre sa fille). -> Dans notre texte : reprise abrégée d’une histoire racontée par Homer, sacrifice à Jupiter qui provoque un présage d’un prêtre qui voit un serpent qui dévore des oiseaux (signe que les Grecs vainqueront et d’une longue guerre de 10 ans) puis à Diane (sacrifice d’Iphigénie). Le récit d’Iphigénie est cour mais suit l’idée du sacrifice des hommes pour les dieux pour apaisée la mer, son sacrifice s’inscrit dans une forme de gradation. Il y a un jeu d’allusion à plusieurs dieux, l’essentiels est liée à l’intervention inattendu de Diane lors du sacrifice qui sauve Iphigénie et la remplace par une biche (un cout de théâtre/une péripétie). On a affaire à une tragédie qui finit bien, Ovide désamorce la mécanique tragique avec l’intervention d’une déesse. Dans le théâtre ancien les dieux interviennent souvent sur scène (deus ex machina). Une histoire inspirée de la tragédie d’Euripide, dans les deux cas Iphigénie n’est pas sacrifiée. L’intervention de Diane en colère pour sauver Iphigénie ? elle reconnait en Iphigénie une femme qui lui ressemble (une jeune fille pure). Ce qui caractérise cette histoire : une tragédie désamorcer, une histoire qui montre une héroïne (Iphigénie qui accepte son destin, la volonté de dieu/peuple/père). Elle a une foi pour son peuple et pour les dieux, un héroïsme démesurer. En opposition à Agamemnon qui pour aller en guerre et plaire aux dieux et prêt à sacrifier sa vie, Hubris d’Agamemnon est l’orgueil et la vanité. Le schéma quinaire du récit d’Iphigénie : - État initial : enlèvement d’Hélène et la déclaration de guerre - Complication : Les Grecs empêchés de prendre la mer - Dynamique : le sacrifice d’Iphigénie - Résolution : intervention de diane et le sacrifice de la biche - État final : l’apaisement des dieux et le début de la guerre. * Peinture : on remarque qu’Iphigénie est calme, prête à mourir. Autour d’elle il y a du mouvement. On y reconnait Agamemnon qui présenta sa fille au dieu, la mère d’Iphigénie, l’armée et la flotte prêt à prendre la mer. Un résumé de l’histoire. On voit Diane stopper le prêtre et offre la biche. Iphigénie est en blanc (symbole de pureté comme Diane, elle ressort grâce au jeu de lumière tandis que les autres sont sombres.
La genèse : l’histoire d’Abraham et d’Isaa
On y retrouve Noé et Abraham (père fondateur du peuple d’Israël et de la religion juive, on le retrouve aussi dans les deux autres religions). Abraham est un patriarche dont la vie est racontée dans la Genèse (prend une grande partie). Il a fait un pacte avec dieu, dieu dit à Abraham de quitter sa terre pour fonder une nouvelle patrie. Dans cette histoire, l’épisode le plus connu : le sacrifice d’un de ces fils (Isaac). Il est le fruit d’une bénédiction de dieu pour marquer son attachement à Abraham. La naissance d’Isaac est donc miraculeuse mais qui va conduire à une tragédie inattendue : dieu lui demande de sacrifié son fils pour lui afin d’éprouver la foi d’Abraham. Comparable à l’histoire d’Iphigénie, mais Abraham ne sert pas ses propres intérêts mais le fait par amour pour son dieu. Coup de théâtre : un ange intervient pour stopper le sacrifice. Quelque chose de choquant pour la religion juive : offrande d’animaux ou nourriture mais pas humains. Un épisode qui s’inscrit dans une autre culture et qui a quelque chose de choquant. On a affaire à un homme de foi mais qui est prêt à tuer pour dieu : représentation d’un homme à la foi démesurer. Une foi surnaturelle qui nous renvoie à une dimension mythique (lien bible/mythe). Le terme « unique » car Isaac est le seul fils de sa femme car l’autre vient de la servante. Isaac est donc héritier d’Abraham, le sacrifié serait sacrifié sa ligner. Un paradoxe : il reprend en quelque sorte son cadeau, son but est simplement d’éprouvé la foi d’Abraham par le biais d’une mise à l’épreuve. Abraham accepte le commandement de dieu. L’attitude d’Isaac : il est dans la confusion car son père lui cache la vérité (un quiproquo tragique). Contraste tragique entre contexte religieux et attitude d’Abraham à cause du mensonge. Un enfant soumis par son père et entièrement placé sous le joue de son père (une victime). Un extrait violent qui conduit à un cout de théâtres avec l’intervention d’un ange qui empêche Abraham d’allait au bout de son geste. Une vision étonnante du dieu biblique, une vision violente. Son but été de voir la profondeur de la fois d’Abraham. Un schéma proche de celui d’Iphigénie. Le schéma quinaire de cette histoire : - État initial : situation d’Abraham élue de dieu - Complication : demande du sacrifice - Dynamique : stratagème d’Abraham pour le sacrifice sans prévenir son fils - Résolution : intervention de l’ange - État final : bénédiction de dieu

Le sacrifice : pour Iphigénie le sacrifice fait partie de la dynamique (conséquence) tandis que Abraham le sacrifice s’inscrit dans la complication (point de départ/cause, donne de l’importance).

*Racine, Iphigénie, 1674 :

-       Une tragédie de « l’âge classique »

-       Le théâtre classique : un goût pour la mythologie

Il s’inspire de plusieurs hypotextes, de là il créer une version personnel/original du texte. A la fin de la tragédie le sacrifice d’Iphigénie n’aura pas lieu, elle est en effet remplacée par une autre femme (du nom de Eriphile) qui s’avère être un enfant caché d’Hélène dont on apprendre l’identité après). Cette histoire nous est expliquée par Racine dans sa préface. Diane n’intervient pas. Racine fait ce choix par soucis de réalisme. Ce que revendique Racine est un coté réaliste de la pièce, il rejette le merveilleux. L’autre jeune fille est la fille de Hélène qui est à l’origine de la guerre de Troie, il enlève donc une victime innocente pour mettre une coupable (aussi jalouse d’Iphigénie). Un dénouement lié à la justice. Notion de transposition : il prend une pièce et la modernise. Une révélation divine : les dieux demandent une autre Iphigénie. Racine jour avec plusieurs hypotextes : vision d’Ovide remplacé, motif du sacrifice… 

La fin de la pièce : Iphigénie est sauvée et remplacée, sa remplaçante se révolte contre les dieux/sa destiné et décide de se suicider. Les dieux vont finalement s’apaiser. 

Racine évoque aussi Diane qu’un soldat aurait vue (exemple de mélange des versions). Un jeu d’intertextualité avec plusieurs sources identifiés et reprises afin de créer un texte nouveau. Une forme de liberté typique du théâtre classique (attachement au texte fondateur et capacité à faire du neuf avec du vieux).

*Peinture : Isaac est totalement soumis/tenu violement par son père. Une violence visible. Pureté de la peau blanche d’Isaac en opposition entre les autres persos (procédé du claire obscure). La barbe d’Abraham est mise en valeur, c’est un symbole de la sagesse. Une synthèse de tout le chapitre


Post-Bac
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Deux représentations du sacrifice dans la littérature ancienne (livre 12 des Métamorphoses et passage de la Bible sur la sacrifice d'Isaac

Lettres

Définition

Légende de la guerre de Troie (et sacrifice d'Iphigénie
La ville de Troie se situe dans l'actuelle Turquie sur les bords de la mer Égée. Cette guerre a opposé Grecs (ensemble de cités) et Troyens et aurait existé dans l'antiquité. Cette guerre est causé pour un motif amoureux. Une reine tombe amoureuses d'un Troyens, son homme grec alors trahis déclare la guerre pour récupérer sa femme et conquérir d'autres cités. Cette guerre dure 10 ans, elle nous est racontée par plusieurs auteurs chez les grecs et chez les romains. L'Iliade d'Homer est le texte le plus anciens qui compté ce récit. D'autres auteurs adpatent aussi cette histoires au théâtre (Euripide...). Cette guerre implique d'autres grands héros de la mythologie : Ulysse et Achille pour les grecs et Hélène de Sparte, Priam, Hector ... pour les troyens. Les grecs gagnent la guerre avec le cheval de Troie. Conséquences de ce conflit : des victimes collatérales dont Iphigénie fille du roi Agamemnon sacrifié par son père pour les dieux. A la suite de la guerre quand les grecs détruisent trois et rentrent chez eux, Agamemnon connais aussi une fin tragique. Il est assassiné par sa femme et son amant, elle veut se venger de son marie qui a sacrifié sa fille. * La tragédie grecque : histoires avec des grandes familles (en opposition à la comédie où l'on met en scène les gens du peuple) avec la notion de fatalité (un enchaînement d'événements tragique/idée du destin). -> Dans le récit de d'Homer : la déesse Diane s'oppose au départ des Grecs (déesse de la chasse, jalouse d’Agamemnon et décide de bloquer sa flotte, pour l’apaisé il lui offre sa fille). -> Dans notre texte : reprise abrégée d’une histoire racontée par Homer, sacrifice à Jupiter qui provoque un présage d’un prêtre qui voit un serpent qui dévore des oiseaux (signe que les Grecs vainqueront et d’une longue guerre de 10 ans) puis à Diane (sacrifice d’Iphigénie). Le récit d’Iphigénie est cour mais suit l’idée du sacrifice des hommes pour les dieux pour apaisée la mer, son sacrifice s’inscrit dans une forme de gradation. Il y a un jeu d’allusion à plusieurs dieux, l’essentiels est liée à l’intervention inattendu de Diane lors du sacrifice qui sauve Iphigénie et la remplace par une biche (un cout de théâtre/une péripétie). On a affaire à une tragédie qui finit bien, Ovide désamorce la mécanique tragique avec l’intervention d’une déesse. Dans le théâtre ancien les dieux interviennent souvent sur scène (deus ex machina). Une histoire inspirée de la tragédie d’Euripide, dans les deux cas Iphigénie n’est pas sacrifiée. L’intervention de Diane en colère pour sauver Iphigénie ? elle reconnait en Iphigénie une femme qui lui ressemble (une jeune fille pure). Ce qui caractérise cette histoire : une tragédie désamorcer, une histoire qui montre une héroïne (Iphigénie qui accepte son destin, la volonté de dieu/peuple/père). Elle a une foi pour son peuple et pour les dieux, un héroïsme démesurer. En opposition à Agamemnon qui pour aller en guerre et plaire aux dieux et prêt à sacrifier sa vie, Hubris d’Agamemnon est l’orgueil et la vanité. Le schéma quinaire du récit d’Iphigénie : - État initial : enlèvement d’Hélène et la déclaration de guerre - Complication : Les Grecs empêchés de prendre la mer - Dynamique : le sacrifice d’Iphigénie - Résolution : intervention de diane et le sacrifice de la biche - État final : l’apaisement des dieux et le début de la guerre. * Peinture : on remarque qu’Iphigénie est calme, prête à mourir. Autour d’elle il y a du mouvement. On y reconnait Agamemnon qui présenta sa fille au dieu, la mère d’Iphigénie, l’armée et la flotte prêt à prendre la mer. Un résumé de l’histoire. On voit Diane stopper le prêtre et offre la biche. Iphigénie est en blanc (symbole de pureté comme Diane, elle ressort grâce au jeu de lumière tandis que les autres sont sombres.
La genèse : l’histoire d’Abraham et d’Isaa
On y retrouve Noé et Abraham (père fondateur du peuple d’Israël et de la religion juive, on le retrouve aussi dans les deux autres religions). Abraham est un patriarche dont la vie est racontée dans la Genèse (prend une grande partie). Il a fait un pacte avec dieu, dieu dit à Abraham de quitter sa terre pour fonder une nouvelle patrie. Dans cette histoire, l’épisode le plus connu : le sacrifice d’un de ces fils (Isaac). Il est le fruit d’une bénédiction de dieu pour marquer son attachement à Abraham. La naissance d’Isaac est donc miraculeuse mais qui va conduire à une tragédie inattendue : dieu lui demande de sacrifié son fils pour lui afin d’éprouver la foi d’Abraham. Comparable à l’histoire d’Iphigénie, mais Abraham ne sert pas ses propres intérêts mais le fait par amour pour son dieu. Coup de théâtre : un ange intervient pour stopper le sacrifice. Quelque chose de choquant pour la religion juive : offrande d’animaux ou nourriture mais pas humains. Un épisode qui s’inscrit dans une autre culture et qui a quelque chose de choquant. On a affaire à un homme de foi mais qui est prêt à tuer pour dieu : représentation d’un homme à la foi démesurer. Une foi surnaturelle qui nous renvoie à une dimension mythique (lien bible/mythe). Le terme « unique » car Isaac est le seul fils de sa femme car l’autre vient de la servante. Isaac est donc héritier d’Abraham, le sacrifié serait sacrifié sa ligner. Un paradoxe : il reprend en quelque sorte son cadeau, son but est simplement d’éprouvé la foi d’Abraham par le biais d’une mise à l’épreuve. Abraham accepte le commandement de dieu. L’attitude d’Isaac : il est dans la confusion car son père lui cache la vérité (un quiproquo tragique). Contraste tragique entre contexte religieux et attitude d’Abraham à cause du mensonge. Un enfant soumis par son père et entièrement placé sous le joue de son père (une victime). Un extrait violent qui conduit à un cout de théâtres avec l’intervention d’un ange qui empêche Abraham d’allait au bout de son geste. Une vision étonnante du dieu biblique, une vision violente. Son but été de voir la profondeur de la fois d’Abraham. Un schéma proche de celui d’Iphigénie. Le schéma quinaire de cette histoire : - État initial : situation d’Abraham élue de dieu - Complication : demande du sacrifice - Dynamique : stratagème d’Abraham pour le sacrifice sans prévenir son fils - Résolution : intervention de l’ange - État final : bénédiction de dieu

Le sacrifice : pour Iphigénie le sacrifice fait partie de la dynamique (conséquence) tandis que Abraham le sacrifice s’inscrit dans la complication (point de départ/cause, donne de l’importance).

*Racine, Iphigénie, 1674 :

-       Une tragédie de « l’âge classique »

-       Le théâtre classique : un goût pour la mythologie

Il s’inspire de plusieurs hypotextes, de là il créer une version personnel/original du texte. A la fin de la tragédie le sacrifice d’Iphigénie n’aura pas lieu, elle est en effet remplacée par une autre femme (du nom de Eriphile) qui s’avère être un enfant caché d’Hélène dont on apprendre l’identité après). Cette histoire nous est expliquée par Racine dans sa préface. Diane n’intervient pas. Racine fait ce choix par soucis de réalisme. Ce que revendique Racine est un coté réaliste de la pièce, il rejette le merveilleux. L’autre jeune fille est la fille de Hélène qui est à l’origine de la guerre de Troie, il enlève donc une victime innocente pour mettre une coupable (aussi jalouse d’Iphigénie). Un dénouement lié à la justice. Notion de transposition : il prend une pièce et la modernise. Une révélation divine : les dieux demandent une autre Iphigénie. Racine jour avec plusieurs hypotextes : vision d’Ovide remplacé, motif du sacrifice… 

La fin de la pièce : Iphigénie est sauvée et remplacée, sa remplaçante se révolte contre les dieux/sa destiné et décide de se suicider. Les dieux vont finalement s’apaiser. 

Racine évoque aussi Diane qu’un soldat aurait vue (exemple de mélange des versions). Un jeu d’intertextualité avec plusieurs sources identifiés et reprises afin de créer un texte nouveau. Une forme de liberté typique du théâtre classique (attachement au texte fondateur et capacité à faire du neuf avec du vieux).

*Peinture : Isaac est totalement soumis/tenu violement par son père. Une violence visible. Pureté de la peau blanche d’Isaac en opposition entre les autres persos (procédé du claire obscure). La barbe d’Abraham est mise en valeur, c’est un symbole de la sagesse. Une synthèse de tout le chapitre