Les aléas naturels d'origine climatiques (cyclones, inondations, sécheresses, tempêtes) ou tectoniques (éruptions volcaniques, séismes) ne sont pas en augmentation, mais ils menacent des populations toujours plus nombreuses, ce qui fait que le risque augmente. Par exemple les populations se concentrent de plus en plus sur les littoraux, ce qui accroit les risques liés aux cyclones, tempêtes et tsunamis. Les aléas technologiques (accidents industriels, marées noires, ruptures de barrages...) sont liés au développement des activités humaines et des transports.
Les sociétés sont inégalement vulnérables face aux risques. Si le coût des catastrophes est beaucoup plus élevé dans les pays développés, les victimes sont beaucoup plus nombreuses dans les pays en voie de développement. On peut considérer que la pauvreté accroit la vulnérabilité mais que les catastrophes engendrent de la pauvreté et peuvent donner naissance à de nouveaux risques en fragilisant les sociétés.
Les aléas naturels d'origine climatiques (cyclones, inondations, sécheresses, tempêtes) ou tectoniques (éruptions volcaniques, séismes) ne sont pas en augmentation, mais ils menacent des populations toujours plus nombreuses, ce qui fait que le risque augmente. Par exemple les populations se concentrent de plus en plus sur les littoraux, ce qui accroit les risques liés aux cyclones, tempêtes et tsunamis. Les aléas technologiques (accidents industriels, marées noires, ruptures de barrages...) sont liés au développement des activités humaines et des transports.
Les sociétés sont inégalement vulnérables face aux risques. Si le coût des catastrophes est beaucoup plus élevé dans les pays développés, les victimes sont beaucoup plus nombreuses dans les pays en voie de développement. On peut considérer que la pauvreté accroit la vulnérabilité mais que les catastrophes engendrent de la pauvreté et peuvent donner naissance à de nouveaux risques en fragilisant les sociétés.