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Post-Bac
2

Démographie et perspective échologique planétaire

Population dynamique et enjeux

A retenir :

Les projections de la croissance mondiale et leurs enjeux  

Les hypothèses de croissance et leurs révisions 

Beaucoup hypothèses de croissance s’appuient sur la variable de fécondité. Selon que la population mondiale enregistrera une fécondité haute, moyenne ou basse, on aura trois courbes. Ce qui fait avancer la transition démographique sont les variables de mortalité et de fécondité. La fécondité est le nombre moyen d’enfants par femme. La fécondité est une variable clé.  La croissance mondiale a beaucoup baissée et qu’en 2050, on se trouvera à plus de 0,5 %. On a un pic en 65-70, où le taux de croissance est de plus de 2 %. Le taux de croissance va commencer à baisser. Prévision pour 2100, on devrait être à 10 millions. Cependant, on a un taux de variation qui baisse. Le taux de variation baisse par le fait que le taux de croissance annuel mondial recule par la baisse du taux de fécondité mais à cela s’ajoute le vieillissement de la population mondiale.  

L’évolution du rapport démographique entre grandes régions du monde 

Croissance démographique est très contrastée entre les pays développés par rapport aux pays en voie de développement. Ce qui fait augmenter la population mondiale sont les pays en voie de développement mais dans ceux-ci, on a des régions contrastées. Toutes les régions du pays du Sud vont augmenter leur effectif d’ici 2050. On s’intéresse à trois régions : Asie du Sud Est, l’Afrique du Sud et l’Afrique du Subsaharienne. Dans l’Asie du Sud, on a une grande croissance démographique, au contraire de l’Asie de l’Est. L’Afrique subsaharienne est là où l’on a la plus forte croissance.  

Dans l’ensemble, la population de l’Union européenne ne va pas bouger. L’Europe vieillit et n’avance pas sur le plan démographique. On a 20 États qui ont avoir une décroissance naturelle mais il y a l’immigration. Malgré cela, ils vont perdre de la population. Les pays européens vont vieillir le plus. 7 États auraient une croissance positive. Cependant, ces pays vont aussi vieillir. Les seniors sont l’avenir de l’Europe. 

Les Chinois sont devant les Indiens. Les Américains sont au troisième rang. L’Indonésie est après les États-Unis mais avant les autres. D’ici 2050, on a une évolution importante, l’Inde passe devant la Chine et a une transition démographique plus lente que la Chine. Le Nigeria va passer de la 7e place à la 3e place devant les Etats-Unis. Dans le top 10, on a l’Éthiopie et le Congo, donc montée de l’Afrique subsaharienne. Ils ont une charge démographique junior élevée. On constate la disparition de la Russie et du Mexique. Les États-Unis reculent un petit peu. De plus, on observe des écarts avec les scénarios courts, longs et moyens. L’évolution du taux de croissance, on a des perspectives éloignées mais le taux de croissance de la population mondiale continuerait. Un taux de croissance nul équivaut à la fin de la croissance démographiques. Les populations depuis 2015 se tassent un peu pour l’université de Washington, dans son étude pour 2064 : pic à en dessous de 10 milliards puis la population baisserait. Il y souvent des révisions de ses projections.

Les projections jusqu’en 2050 sont crédibles car la population de 2050 est déjà née aujourd’hui car prévision de mortalité facile à dégagée mais l’essentiel de la population en 2100 n’est pas encore né donc c’est plus difficile de prévoir. = prévision de moins en moins élevé au fil du temps.  

La démographie et ses controverses : le débat entre néo et anti-malthusiens 

Malthusianisme et réfutation historique des thèses malthusiennes :

Malthus, économiste et pasteur du XIXe, anglais qui a fait un essai sur le principe de la population. Pour lui la croissance va augmenter géométriquement et de plus en plus vite grâce à la révolution industrielle, avec peu de mortalité, augmentation de fécondité et croissance de l’alimentation. Ce qui mène à une surcroissance donc pour lui il faut limiter la croissance démographique surtout celle des plus pauvres. Idée contredite par des faits historiques en confrontant les années 1913 à 1920 augmentation des populations n’a pas mener à une pénurie donc croissance démographique qui n’a pas empêcher la vie et la pénurie alimentaire ou mortalité : car ne pense pas a la transition démographique dc s’est trompé. Selon Verhulst, cela est à rapprocher avec une forte croissance, à un moment donné la croissance mondiale sera forte puisqu’elle va plafonner.  

Malthus met en parallèle la démographie et l’économie. La population mondiale a fortement augmenté, surtout à l’époque de Malthus. Mais lorsque l’on regarde le revenu moyen de la population, est bien meilleur aujourd’hui. La richesse a beaucoup plus augmenté avec la croissance démographique. Dc c’est le contraire de ce que Malthus avait prévu. 

Le néo-malthusianisme et ses contours 

2 volets qui se complète : démographie et environnement. Cela apparait dans les années 60 avec le taux de croissance de 2.1%. Est-ce que cette croissance ne menace pas les ressources de la planète. Dumont qui était écologiste problématise le rapport de la croissance mondiale et des ressources comme avec le club de Rome ou les rapports Meadows.  

Augmentation de revenu moyen par tête évolue en même temps que la croissance de la population ce qui n’est pas bien.   

Il apparaît nettement que la population augmente plus vite que prévue. En 2009, on serait 1,9 millions pour 2050. Les derniers chiffres sont assez concordants. Pour l’année 2010, c’est la même chose. On a bien le retour d’une certaine conception des idées malthusiennes. L’espérance de vie a augmenté du fait qu’il y ait moins de morts, de ce fait il reste beaucoup de monde. De plus, la fécondité diminue mais de manière lente, beaucoup plus lentement que prévu. De ce fait, dans certains pays, la fécondité repart. La transition démographique avance lentement et certainement plus lentement que prévue. Selon les malthusiens, la démographie est un problème. 

Les pays qui ont la plus forte empreinte écologique sont la Chine, l’Inde et les États-Unis. Entre 1960 et 2005, on augmente notre empreinte écologique. Après 2005, les dépenses dépassent la capacité de la Terre. Cela veut dire que la Terre ne peut plus fournir car elle se dégrade. L’empreinte écologique est la double nature anthropique sur l’environnement. L’homme exerce une pression sur la terre et il exige des ressources. Mais on restitue à la terre, des déchets qui abîment la terre. On prélève de plus en plus de matières premières et la terre s’abîme car on envoie des déchets et de la pollution. Ainsi, la terre ne peut plus se régénérer : double nature.

Ceci peut être mis en équation selon Ehrlich avec I=PRT, I (=impact de l’homme sur son environnement) en fonction de la population P, mais aussi de R (effet multiplicateur par tête = plus on est riche plus on a besoin de ressource donc on a plus d’empreinte écologique), et aussi la fonction T (effet modérateur de la technologie, soit le fait que si cela s’aggrave l’homme peut inventer des choses pour améliorer). Ehrlich est plutôt néo-malthusiens qui veulent la baisse de la démographie et la non-pollution. Les antis néo-malthusiens veulent baisser la pollution des grands pays qui consomment beaucoup trop et pollue trop et que c’est plus important que la démographie.   

Le concept d’optimum, surpopulation, substitution créatrice de peuplement 

La surpopulation n’a pas de sens en elle-même, est critiquée, cela est relatif à la société et de la Terre et de ce qu’elle peut fournir. L’optimum, est un état d’équilibre de la population et du PIB par tête, dépend de la société (optimum peut augmenter avec l’augmentation de la population à condition qu’on améliore la technologie). La substitution créatrice et l’évolution de l’optimum (revoir). Le grand remplacement est de la démographie qui commande l’histoire/politique.

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Population dynamique et enjeux

A retenir :

Les projections de la croissance mondiale et leurs enjeux  

Les hypothèses de croissance et leurs révisions 

Beaucoup hypothèses de croissance s’appuient sur la variable de fécondité. Selon que la population mondiale enregistrera une fécondité haute, moyenne ou basse, on aura trois courbes. Ce qui fait avancer la transition démographique sont les variables de mortalité et de fécondité. La fécondité est le nombre moyen d’enfants par femme. La fécondité est une variable clé.  La croissance mondiale a beaucoup baissée et qu’en 2050, on se trouvera à plus de 0,5 %. On a un pic en 65-70, où le taux de croissance est de plus de 2 %. Le taux de croissance va commencer à baisser. Prévision pour 2100, on devrait être à 10 millions. Cependant, on a un taux de variation qui baisse. Le taux de variation baisse par le fait que le taux de croissance annuel mondial recule par la baisse du taux de fécondité mais à cela s’ajoute le vieillissement de la population mondiale.  

L’évolution du rapport démographique entre grandes régions du monde 

Croissance démographique est très contrastée entre les pays développés par rapport aux pays en voie de développement. Ce qui fait augmenter la population mondiale sont les pays en voie de développement mais dans ceux-ci, on a des régions contrastées. Toutes les régions du pays du Sud vont augmenter leur effectif d’ici 2050. On s’intéresse à trois régions : Asie du Sud Est, l’Afrique du Sud et l’Afrique du Subsaharienne. Dans l’Asie du Sud, on a une grande croissance démographique, au contraire de l’Asie de l’Est. L’Afrique subsaharienne est là où l’on a la plus forte croissance.  

Dans l’ensemble, la population de l’Union européenne ne va pas bouger. L’Europe vieillit et n’avance pas sur le plan démographique. On a 20 États qui ont avoir une décroissance naturelle mais il y a l’immigration. Malgré cela, ils vont perdre de la population. Les pays européens vont vieillir le plus. 7 États auraient une croissance positive. Cependant, ces pays vont aussi vieillir. Les seniors sont l’avenir de l’Europe. 

Les Chinois sont devant les Indiens. Les Américains sont au troisième rang. L’Indonésie est après les États-Unis mais avant les autres. D’ici 2050, on a une évolution importante, l’Inde passe devant la Chine et a une transition démographique plus lente que la Chine. Le Nigeria va passer de la 7e place à la 3e place devant les Etats-Unis. Dans le top 10, on a l’Éthiopie et le Congo, donc montée de l’Afrique subsaharienne. Ils ont une charge démographique junior élevée. On constate la disparition de la Russie et du Mexique. Les États-Unis reculent un petit peu. De plus, on observe des écarts avec les scénarios courts, longs et moyens. L’évolution du taux de croissance, on a des perspectives éloignées mais le taux de croissance de la population mondiale continuerait. Un taux de croissance nul équivaut à la fin de la croissance démographiques. Les populations depuis 2015 se tassent un peu pour l’université de Washington, dans son étude pour 2064 : pic à en dessous de 10 milliards puis la population baisserait. Il y souvent des révisions de ses projections.

Les projections jusqu’en 2050 sont crédibles car la population de 2050 est déjà née aujourd’hui car prévision de mortalité facile à dégagée mais l’essentiel de la population en 2100 n’est pas encore né donc c’est plus difficile de prévoir. = prévision de moins en moins élevé au fil du temps.  

La démographie et ses controverses : le débat entre néo et anti-malthusiens 

Malthusianisme et réfutation historique des thèses malthusiennes :

Malthus, économiste et pasteur du XIXe, anglais qui a fait un essai sur le principe de la population. Pour lui la croissance va augmenter géométriquement et de plus en plus vite grâce à la révolution industrielle, avec peu de mortalité, augmentation de fécondité et croissance de l’alimentation. Ce qui mène à une surcroissance donc pour lui il faut limiter la croissance démographique surtout celle des plus pauvres. Idée contredite par des faits historiques en confrontant les années 1913 à 1920 augmentation des populations n’a pas mener à une pénurie donc croissance démographique qui n’a pas empêcher la vie et la pénurie alimentaire ou mortalité : car ne pense pas a la transition démographique dc s’est trompé. Selon Verhulst, cela est à rapprocher avec une forte croissance, à un moment donné la croissance mondiale sera forte puisqu’elle va plafonner.  

Malthus met en parallèle la démographie et l’économie. La population mondiale a fortement augmenté, surtout à l’époque de Malthus. Mais lorsque l’on regarde le revenu moyen de la population, est bien meilleur aujourd’hui. La richesse a beaucoup plus augmenté avec la croissance démographique. Dc c’est le contraire de ce que Malthus avait prévu. 

Le néo-malthusianisme et ses contours 

2 volets qui se complète : démographie et environnement. Cela apparait dans les années 60 avec le taux de croissance de 2.1%. Est-ce que cette croissance ne menace pas les ressources de la planète. Dumont qui était écologiste problématise le rapport de la croissance mondiale et des ressources comme avec le club de Rome ou les rapports Meadows.  

Augmentation de revenu moyen par tête évolue en même temps que la croissance de la population ce qui n’est pas bien.   

Il apparaît nettement que la population augmente plus vite que prévue. En 2009, on serait 1,9 millions pour 2050. Les derniers chiffres sont assez concordants. Pour l’année 2010, c’est la même chose. On a bien le retour d’une certaine conception des idées malthusiennes. L’espérance de vie a augmenté du fait qu’il y ait moins de morts, de ce fait il reste beaucoup de monde. De plus, la fécondité diminue mais de manière lente, beaucoup plus lentement que prévu. De ce fait, dans certains pays, la fécondité repart. La transition démographique avance lentement et certainement plus lentement que prévue. Selon les malthusiens, la démographie est un problème. 

Les pays qui ont la plus forte empreinte écologique sont la Chine, l’Inde et les États-Unis. Entre 1960 et 2005, on augmente notre empreinte écologique. Après 2005, les dépenses dépassent la capacité de la Terre. Cela veut dire que la Terre ne peut plus fournir car elle se dégrade. L’empreinte écologique est la double nature anthropique sur l’environnement. L’homme exerce une pression sur la terre et il exige des ressources. Mais on restitue à la terre, des déchets qui abîment la terre. On prélève de plus en plus de matières premières et la terre s’abîme car on envoie des déchets et de la pollution. Ainsi, la terre ne peut plus se régénérer : double nature.

Ceci peut être mis en équation selon Ehrlich avec I=PRT, I (=impact de l’homme sur son environnement) en fonction de la population P, mais aussi de R (effet multiplicateur par tête = plus on est riche plus on a besoin de ressource donc on a plus d’empreinte écologique), et aussi la fonction T (effet modérateur de la technologie, soit le fait que si cela s’aggrave l’homme peut inventer des choses pour améliorer). Ehrlich est plutôt néo-malthusiens qui veulent la baisse de la démographie et la non-pollution. Les antis néo-malthusiens veulent baisser la pollution des grands pays qui consomment beaucoup trop et pollue trop et que c’est plus important que la démographie.   

Le concept d’optimum, surpopulation, substitution créatrice de peuplement 

La surpopulation n’a pas de sens en elle-même, est critiquée, cela est relatif à la société et de la Terre et de ce qu’elle peut fournir. L’optimum, est un état d’équilibre de la population et du PIB par tête, dépend de la société (optimum peut augmenter avec l’augmentation de la population à condition qu’on améliore la technologie). La substitution créatrice et l’évolution de l’optimum (revoir). Le grand remplacement est de la démographie qui commande l’histoire/politique.