Préambule
Olympe de Gouges constate que malgré la Révolution, les femmes sont toujours méprisées et dédaignées.
Elle évoque le rôle décisif des femmes dans l’Histoire.
Mais une fois leur capital de jeunesse et de beauté disparu, ces dernières perdent leur influence dans la société.
C’est pourquoi Olympe de Gouges propose de sécuriser leur situation juridique par le « partage des fortunes entre les hommes et les femmes, et de l’administration publique ».
Olympe de Gouges s’insurge également contre l’institution du mariage, « tombeau de la confiance et de l’amour ».
Elle souhaite préparer l’émancipation de la femme par l’éducation et les « conventions conjugales » qui transformeraient les relations conjugales en relations contractuelles.
17 ARTICLES
Les droits suivants y sont proclamés :
L’égalité des droits de l’homme et de la femme (art 1)
La liberté, la propriété, la sûreté et la résistance à l’oppression pour les deux sexes (art.2)
La souveraineté qui est la réunion de l’homme et de la femme dans le corps politique (art.3)
La protection des droits de la femme par les lois de la nature et de la raison (art. 4 et 5)
Le droit pour la femme et l’homme de participer à l’élaboration des lois et de prétendre aux dignités selon leur mérite. (art. 6)
L’égalité devant la loi pour les deux sexes, y compris pour les devoirs et les châtiments (art. 7, 8, 9 et 10)
La liberté d’expression pour la femme (art. 10 et 11)
La liberté d’expression pour la femme (art. 10 et 11).
La garantie des droits de la femme (art. 12)
La contribution de la femme à l’impôt et le droit de participer à la distribution des places, des emplois, des dignités et de l’industrie. (art. 13 et 14).
Le droit pour la femme de demander à tout agent public des comptes sur son administration (art 15).
La participation des femmes à la rédaction de la Constitution (art.16).
Le droit à la propriété, « inviolable et sacré » pour les deux sexes (art. 17).
Préambule
Olympe de Gouges constate que malgré la Révolution, les femmes sont toujours méprisées et dédaignées.
Elle évoque le rôle décisif des femmes dans l’Histoire.
Mais une fois leur capital de jeunesse et de beauté disparu, ces dernières perdent leur influence dans la société.
C’est pourquoi Olympe de Gouges propose de sécuriser leur situation juridique par le « partage des fortunes entre les hommes et les femmes, et de l’administration publique ».
Olympe de Gouges s’insurge également contre l’institution du mariage, « tombeau de la confiance et de l’amour ».
Elle souhaite préparer l’émancipation de la femme par l’éducation et les « conventions conjugales » qui transformeraient les relations conjugales en relations contractuelles.
17 ARTICLES
Les droits suivants y sont proclamés :
L’égalité des droits de l’homme et de la femme (art 1)
La liberté, la propriété, la sûreté et la résistance à l’oppression pour les deux sexes (art.2)
La souveraineté qui est la réunion de l’homme et de la femme dans le corps politique (art.3)
La protection des droits de la femme par les lois de la nature et de la raison (art. 4 et 5)
Le droit pour la femme et l’homme de participer à l’élaboration des lois et de prétendre aux dignités selon leur mérite. (art. 6)
L’égalité devant la loi pour les deux sexes, y compris pour les devoirs et les châtiments (art. 7, 8, 9 et 10)
La liberté d’expression pour la femme (art. 10 et 11)
La liberté d’expression pour la femme (art. 10 et 11).
La garantie des droits de la femme (art. 12)
La contribution de la femme à l’impôt et le droit de participer à la distribution des places, des emplois, des dignités et de l’industrie. (art. 13 et 14).
Le droit pour la femme de demander à tout agent public des comptes sur son administration (art 15).
La participation des femmes à la rédaction de la Constitution (art.16).
Le droit à la propriété, « inviolable et sacré » pour les deux sexes (art. 17).