La parole en débat
Au 13e la parole est en débat. On commence à voir à peu près vers les années 1230 des écrits qui vont s’intéresser et disséquer le pouvoir des mots.
Prêter serment : promettre en attestant du divin. L’idée même de serment est remise en question et il faut en prendre garde.
Robert le diable centre dans ses interrogations et dans ses débats faisant de la parole le point crucial = thème de la parole omniprésent
La parole est partout et intervient différemment.
La conception de la parole dans le livre est dangereuse. On témoigne la parole blasphématoire de la duchesse.
Mais la parole peut avoir des effets vertueux quand elle se tourne vers le ciel : Robert qui fait un premier pas dans son acte rédempteur. Cette perception de la parole comme ambivalence entre vertu et blasphème, entre bien et mal retranscrit la bipartition du texte, elle se fait le relais du duel que se livre Dieu et Satan pour l’âme du personnage.
= Idée d’évolution dans la parole.
La parole en débat
Au 13e la parole est en débat. On commence à voir à peu près vers les années 1230 des écrits qui vont s’intéresser et disséquer le pouvoir des mots.
Prêter serment : promettre en attestant du divin. L’idée même de serment est remise en question et il faut en prendre garde.
Robert le diable centre dans ses interrogations et dans ses débats faisant de la parole le point crucial = thème de la parole omniprésent
La parole est partout et intervient différemment.
La conception de la parole dans le livre est dangereuse. On témoigne la parole blasphématoire de la duchesse.
Mais la parole peut avoir des effets vertueux quand elle se tourne vers le ciel : Robert qui fait un premier pas dans son acte rédempteur. Cette perception de la parole comme ambivalence entre vertu et blasphème, entre bien et mal retranscrit la bipartition du texte, elle se fait le relais du duel que se livre Dieu et Satan pour l’âme du personnage.
= Idée d’évolution dans la parole.