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Post-Bac
1

Chapitre 11 : Les religions du monde romain

Histoire culturelle

 - Modèle opposé (aucun texte sacré, le rite et le geste priment) au notre (bible, coran). Les campagnes romaines restaient attachées à la religion traditionnelle, tandis que les classes supérieures affichaient souvent l'incrédulité et le scepticisme. Toutefois, l'adhésion à des philosophie très répandues comme l'épicurisme et le stoïcisme n'empêchait pas la poursuite d'une carrière publique et le respect officiel de la religion d'Etat, deux traits qui témoignaient de la solidité du patriotisme romain.



I. Principes et structures de la religion romaine traditionnelle :

A. Les grandes principes de la religion romaines


  • 3 grands principes sont présents à Rome :


La religion romaine est une religion ritualiste. Elle est définie sans dogme, sans orthodoxie. Mais, il est impératif d'exécuter correctement des rites prescrits « orthorexie ». Il y a une transmission du rite de génération en génération. Pourtant, des nouveaux dieux sont arrivés, car il n'y a pas de dogme. C'est-à-dire qu'ils sont libres de penser en leur religion. La nature des dieux signifie une certaine philosophie. La connaissance des dieux ne relèvent pas de leur capacité . Par exemple, ils n’ont pas la capacité à connaître les dieux, mais la croyance explicite et pratique religieuse.


La religion romaine est une religion communautaire. Il n'y a ni enseignement et initiation. Un romain ne peut devenir un adepte de la religion romaine. La religion sociale est liée à une communauté et non à un individu. Il y a autant de religions que de groupes sociaux et de cités ; de légions ; d’unité d’une légion ; quartiers,; familles ont leurs propres cultes. Ils ne recherchent pas le salut de l’individu mais le bien terrestre de la communauté. Chaque action communautaire comporte un aspect religieux. Les rites sont destinés à marquer l’harmonie entre les hommes et les dieux. Il y a des membres urbains et divins. Le Pax deorum : paix des dieux. C’est un contrat qui est effectué par des hommes afin d’assurer leur victoire. Si un rite est oublié, enfin le moindre oublie est vu comme une faute auprès des dieux. Ce qui causerait un malheur après de la cité.


Religion polythéiste :

- Ils croient à une multitude de puissances divines. Chaque communauté à son son propre panthéon, il y a donc des divinités différentes. Chaque divinité a une fonction bien défini : A Rome (Jupiter Optimus Maximus, Jupiter Custos, Jupiter latial, Jupiter férétrien, Jupiter Tonans : foudre ). Les adjectifs qui poursuivent le nom de Dieu précisent son utilité.Ces dieux forment une communauté hiérarchisée : il y a d'abord des divinités telles Mars, puis des Demi-Dieu telles que Hercule, puis des empereurs divinisés. Dea tia est un dieu honoré le jour de Dea Tia. Il y a le dieu honoré soit Dieu soit déesse : puissance divine dont ils ne connaissent pas le nom ni le sexe. Il y a « Devant brûlé », « devant débiter » : action du défrichage du bois sacré.



B) Les différents niveaux de la pratique religieuse


- Une quantité infinie de Dieux qui sont présents dans la vie quotidienne

- Les Cultes domestiques : Sous le Pater, Lares et pénates (activité économique de la maison) et Mânes (lié aux morts et anniversaire des défunts)

- Des associations (collèges) : les bouchés ont leur propre culte, des religions liées aux activités militaire et le culte public = religion officielle. La pratique des romains n’est pas très active dans le cadre publique. Les sacrifices publics doivent réunir toute la population mais impossible. Le culte est pratiqué par les élites et notables au nom des citoyens. Les citoyens participent au culte public seulement par le biais de distribution de viande ou des jeux.

- A rome, la consommation de viande est une consommation de viande sacrifié



II. Les mutations religieuses de la fin de la république et des débuts du principat

A. La crise de la religion romaine et le restauration Augustéenne.


- Une guerre civile est deux camps qui s’affrontent. Ce qui perturbe le culte de le religion. Les guerres civiles ont mené une crise religieuse et ont développé l’athéisme. Le malheur des temps et la pauvreté spirituelle de la religion ancestrale avaient provoqué une prolifération des superstitions et un essor de l'astrologie. Des crises entre deux cités qui s’affrontent pompéiens et césariens sont à l'origine de deux religions différentes. La cité des pompéiens prône Vénus Vénétrix et Césariens prône Venus Génétrix. D'après Auguste, il faut reformer la communauté religieuse. Car, il faut restaurer la tradition de l’époque de Romulus : Lupercales (célébration de la jeunesse de Romulus qui a été éduquée par une Louve. Le but étant de fouetter les femmes avec du sang de mouton près du Capitole). La mise en scène est archaïste. Ils viennent chercher les sources de la pratique religieuse. La remise en ordre Augustéenne ne pouvait cependant pas ignorer la religion d'Etat et bon nombre d'esprits liaient les désordres à la négligence dont en l'entourait. Il y a eut donc résurrection de dieux et de rites oubliés, les temples furent restaurés et les anciens sacerdoces mieux pourvus, parfois au prix de certains compromis : Les filles d'affranchis purent devenir vestales et le flaminat de Jupiter, vacant de 60 ans, fut pourvu moyennant la suppression de certaines obligations. Les motifs étaient donc patriotiques, les cultes égyptiens furent bannis et le druidisme était surveillé en Gaule. Auguste honora Mars Vengeur (pour la victoire de Philippes) et Apollon pour celle d'Actium. Lui-même se laissa honorer à l'égal d'un Dieu en Occident comme en Orient. Ce culte devient fédéral et provincial réunissant les délégués de toutes les cités (maison carré à Nîmes). Les cultes varient d'une région à une autre.


B- Naissance du « culte impériale » :


- Par définition, des cultes impériaux sont un ensemble d’honneur rendu à la famille impériale divinisée. Mais aussi, un hommage à la famille d’Auguste. Le prince est associé aux Dieux. Ils sacralisent l’empereur et est défini tel l’élu des Dieux. L’empereur peut devenir un Divus mais pas un Dieus (Ne devient pas un dieu mais un divin).

  • Le Consecratio : divinisation de l’empereur par le sénat.
  • Numen Augusti  est le fait d'accomplir des choses extraordinaires qui s’incarnent dans la puissance de l’empereur
  • Genius Augusti est le génie d’Auguste, une personnalité d’incarnation divine dès la naissance
  • Le culte impérial est un moyen utilisait par les anciens pour définir et exposer la nature du prince, un intermédiaire entre l’homme et les Dieux


III. La diversité religieuse du monde romain


Un principe de tolérance religieuse explique une autonomie politique et une autonomie religieuse. A condition que cela respecte l’ordre publique (menace politique pour le christianisme). Il y a un grand contacte grandissant et un échange culturelle.

  • Par exemple, une stèle à la Staturno Auguste. C'est une divinité voilée portant à la main une faucille. Il représente le lion (une divinité orientale de Ba’ale Hammon d’origine carthaginoise. Le voile sur la tête vient de Saturne honoré qui préside au récolte. La faucille rappelle Chronos, le dieu grec et le dieu du temps). Chronos a émasculé son père Uranos. De fait, Gaia en a assez car ils font plein d’enfants. Chronos utilise la faucille pour émasculé son père ce qui mène la voie lactée
  • Contact de l’image religieuse.


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Chapitre 11 : Les religions du monde romain

Histoire culturelle

 - Modèle opposé (aucun texte sacré, le rite et le geste priment) au notre (bible, coran). Les campagnes romaines restaient attachées à la religion traditionnelle, tandis que les classes supérieures affichaient souvent l'incrédulité et le scepticisme. Toutefois, l'adhésion à des philosophie très répandues comme l'épicurisme et le stoïcisme n'empêchait pas la poursuite d'une carrière publique et le respect officiel de la religion d'Etat, deux traits qui témoignaient de la solidité du patriotisme romain.



I. Principes et structures de la religion romaine traditionnelle :

A. Les grandes principes de la religion romaines


  • 3 grands principes sont présents à Rome :


La religion romaine est une religion ritualiste. Elle est définie sans dogme, sans orthodoxie. Mais, il est impératif d'exécuter correctement des rites prescrits « orthorexie ». Il y a une transmission du rite de génération en génération. Pourtant, des nouveaux dieux sont arrivés, car il n'y a pas de dogme. C'est-à-dire qu'ils sont libres de penser en leur religion. La nature des dieux signifie une certaine philosophie. La connaissance des dieux ne relèvent pas de leur capacité . Par exemple, ils n’ont pas la capacité à connaître les dieux, mais la croyance explicite et pratique religieuse.


La religion romaine est une religion communautaire. Il n'y a ni enseignement et initiation. Un romain ne peut devenir un adepte de la religion romaine. La religion sociale est liée à une communauté et non à un individu. Il y a autant de religions que de groupes sociaux et de cités ; de légions ; d’unité d’une légion ; quartiers,; familles ont leurs propres cultes. Ils ne recherchent pas le salut de l’individu mais le bien terrestre de la communauté. Chaque action communautaire comporte un aspect religieux. Les rites sont destinés à marquer l’harmonie entre les hommes et les dieux. Il y a des membres urbains et divins. Le Pax deorum : paix des dieux. C’est un contrat qui est effectué par des hommes afin d’assurer leur victoire. Si un rite est oublié, enfin le moindre oublie est vu comme une faute auprès des dieux. Ce qui causerait un malheur après de la cité.


Religion polythéiste :

- Ils croient à une multitude de puissances divines. Chaque communauté à son son propre panthéon, il y a donc des divinités différentes. Chaque divinité a une fonction bien défini : A Rome (Jupiter Optimus Maximus, Jupiter Custos, Jupiter latial, Jupiter férétrien, Jupiter Tonans : foudre ). Les adjectifs qui poursuivent le nom de Dieu précisent son utilité.Ces dieux forment une communauté hiérarchisée : il y a d'abord des divinités telles Mars, puis des Demi-Dieu telles que Hercule, puis des empereurs divinisés. Dea tia est un dieu honoré le jour de Dea Tia. Il y a le dieu honoré soit Dieu soit déesse : puissance divine dont ils ne connaissent pas le nom ni le sexe. Il y a « Devant brûlé », « devant débiter » : action du défrichage du bois sacré.



B) Les différents niveaux de la pratique religieuse


- Une quantité infinie de Dieux qui sont présents dans la vie quotidienne

- Les Cultes domestiques : Sous le Pater, Lares et pénates (activité économique de la maison) et Mânes (lié aux morts et anniversaire des défunts)

- Des associations (collèges) : les bouchés ont leur propre culte, des religions liées aux activités militaire et le culte public = religion officielle. La pratique des romains n’est pas très active dans le cadre publique. Les sacrifices publics doivent réunir toute la population mais impossible. Le culte est pratiqué par les élites et notables au nom des citoyens. Les citoyens participent au culte public seulement par le biais de distribution de viande ou des jeux.

- A rome, la consommation de viande est une consommation de viande sacrifié



II. Les mutations religieuses de la fin de la république et des débuts du principat

A. La crise de la religion romaine et le restauration Augustéenne.


- Une guerre civile est deux camps qui s’affrontent. Ce qui perturbe le culte de le religion. Les guerres civiles ont mené une crise religieuse et ont développé l’athéisme. Le malheur des temps et la pauvreté spirituelle de la religion ancestrale avaient provoqué une prolifération des superstitions et un essor de l'astrologie. Des crises entre deux cités qui s’affrontent pompéiens et césariens sont à l'origine de deux religions différentes. La cité des pompéiens prône Vénus Vénétrix et Césariens prône Venus Génétrix. D'après Auguste, il faut reformer la communauté religieuse. Car, il faut restaurer la tradition de l’époque de Romulus : Lupercales (célébration de la jeunesse de Romulus qui a été éduquée par une Louve. Le but étant de fouetter les femmes avec du sang de mouton près du Capitole). La mise en scène est archaïste. Ils viennent chercher les sources de la pratique religieuse. La remise en ordre Augustéenne ne pouvait cependant pas ignorer la religion d'Etat et bon nombre d'esprits liaient les désordres à la négligence dont en l'entourait. Il y a eut donc résurrection de dieux et de rites oubliés, les temples furent restaurés et les anciens sacerdoces mieux pourvus, parfois au prix de certains compromis : Les filles d'affranchis purent devenir vestales et le flaminat de Jupiter, vacant de 60 ans, fut pourvu moyennant la suppression de certaines obligations. Les motifs étaient donc patriotiques, les cultes égyptiens furent bannis et le druidisme était surveillé en Gaule. Auguste honora Mars Vengeur (pour la victoire de Philippes) et Apollon pour celle d'Actium. Lui-même se laissa honorer à l'égal d'un Dieu en Occident comme en Orient. Ce culte devient fédéral et provincial réunissant les délégués de toutes les cités (maison carré à Nîmes). Les cultes varient d'une région à une autre.


B- Naissance du « culte impériale » :


- Par définition, des cultes impériaux sont un ensemble d’honneur rendu à la famille impériale divinisée. Mais aussi, un hommage à la famille d’Auguste. Le prince est associé aux Dieux. Ils sacralisent l’empereur et est défini tel l’élu des Dieux. L’empereur peut devenir un Divus mais pas un Dieus (Ne devient pas un dieu mais un divin).

  • Le Consecratio : divinisation de l’empereur par le sénat.
  • Numen Augusti  est le fait d'accomplir des choses extraordinaires qui s’incarnent dans la puissance de l’empereur
  • Genius Augusti est le génie d’Auguste, une personnalité d’incarnation divine dès la naissance
  • Le culte impérial est un moyen utilisait par les anciens pour définir et exposer la nature du prince, un intermédiaire entre l’homme et les Dieux


III. La diversité religieuse du monde romain


Un principe de tolérance religieuse explique une autonomie politique et une autonomie religieuse. A condition que cela respecte l’ordre publique (menace politique pour le christianisme). Il y a un grand contacte grandissant et un échange culturelle.

  • Par exemple, une stèle à la Staturno Auguste. C'est une divinité voilée portant à la main une faucille. Il représente le lion (une divinité orientale de Ba’ale Hammon d’origine carthaginoise. Le voile sur la tête vient de Saturne honoré qui préside au récolte. La faucille rappelle Chronos, le dieu grec et le dieu du temps). Chronos a émasculé son père Uranos. De fait, Gaia en a assez car ils font plein d’enfants. Chronos utilise la faucille pour émasculé son père ce qui mène la voie lactée
  • Contact de l’image religieuse.


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