- Liberté, adaptations et innovation locale : décentralisation inviter les enseignants à créer des projets et choisir localement les activités qu’ils allaient enseigner : baccalauréat (CC, épreuves différentes). Ce qui avant était national c’est-à-dire les mêmes sports au BAC pour tout le monde (décret du 4mai 1983)(on distingue alors l'eps à l'école et le sport dans les clubs). Là c’est de l’autonomie pour les équipes. - Souplesse des programmes (plus souple que les instructions officielles) : avant c’était des pavés, maintenant le curriculum formel est beaucoup moins formel. Les choix sont issus de communication au sein de l’établissement et les programmes disent jusqu’où on peut aller sans donner d’image précise sur « ce qui doit être fait » - Apparition d’activités nouvelles ( 1996: apsa et non plus aps cela donne une légitimité à une nouvelle catégorie qui sont les activités artistique)- Dimension scolaire accrue (évaluations) - Dimension citoyenne : pratiquant éclairé, éduqué au niveau de la morale (lucide et critique).

• L'eps des années 2000: de nouvelles pratiques scolaires de référence:

La pratique des sports traditionnels disparaît peu à peu des programmes d'eps pour laisse la place à des pratiques nouvelles, reflets de la société (Cela révèle un stratégie de l'institution de proposer des protocoles assez simple pour inciter les élèves à les choisir et les enseignants a les proposer. On a des activités qui restent associer au stéréotype de genre. Les activités nouvelles ont tendances à être gratifiantes pour les élèves, cela garantie des bonnes notes aux élèves.)