-Siffler de l’ARI quand il n’y a plus d’air siffle à partir de 50 bars
-l’ARI n’est pas utilisé avec un pression inférieur à 270 bars
-quand le sifflet de l’ARI siffle il fait sortir du feu le plus vite possible
-la première chose à faire quand je mets un ARI est de vérifier son état général et la pression de la bouteille
-Avant le capelage de mon ARI
Je dois :
•Vérifier la pression
•Que la balise comporte sa plaque de contrôle
•vérifier que le matériel d’exploration (lampe portative, ligne guide , liaison personnelle, système sonore de détresse , dispositif de dérivation
Avant de capeler il faut effectuer le :
R obinet
A justement du harnais
P ression
A rmement du système sonore
C ode de communication
E tanchéité du masque
Des missions de sauvetage (De victimes ; De sapeur(s)-pompier(s) en difficulté) Des missions de soutien : Aide à la sortie de victime ; Assistance au binôme engagé
Le contrôleur pour enregistrer jusqu’à 4 binôme sans compter le binôme de sécurité
L’espace mort est le volume d’air contenu dans les voies aériennes entre les cavités nasales et la jonction entre bronchioles et alvéoles
Le tableau de control permet le regroupement des plaquettes de contrôle et la surveillance du temps d'engagement des porteurs A.R.I., ainsi que le nombre de pompiers engagés dans la zone à risque.
Loi de Mariotte : T = (P x V) / Q ▪ T = temps en minutes. P = pression relevée sur le manomètre en bars. V = volume en litres d'eau de la bouteille. Q = consommation d'air du porteur en litre/min.
Après l’engagement, les porteurs de L’ARI doivent :
-Remettre en service L’ARI et le matériel
-procéder au contrôle visuel des masques
-vérifier la pression des bouteilles et sur les bouteilles opérationnelles les plomber ou remettre les bouchons
-remettre les masques dans les housses de protection
-ranger le matériel à son emplacement d’origine
-signaler toute anomalie sur le fonctionnement de L’ARI
Définition :
Un amarrage est une technique qui consiste à fixer une corde à un point d’ancrage de manière sûre et stable. Cette opération est essentielle pour garantir la sécurité lors d’interventions telles que les descentes, les remontées, les évacuations ou le levage de charges.
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Description :
L’amarrage permet de transférer les efforts mécaniques à une structure capable de les supporter. Il peut être réalisé à l’aide de cordes, de mousquetons, de sangles et de nœuds spécifiques. Plusieurs types d’amarrages existent :
• Amarrage naturel : utilise un élément présent sur le terrain (arbre, roche, etc.).
• Amarrage artificiel : s’effectue sur une structure installée ou intégrée (véhicule, mur, ancrage métallique, etc.).
• Amarrage renforcé ou redondant : utilise plusieurs points d’ancrage interconnectés pour renforcer la sécurité.
Règles d’un bon amarrage :
1. Choisir un point d’ancrage fiable : solide, stable, et bien positionné.
2. Répartir les charges : éviter de concentrer toute la force sur un seul point.
3. Prévoir une redondance : doubler le système en cas de défaillance d’un point.
4. Utiliser des nœuds appropriés : maîtriser les nœuds de s écurité (huit, cabestan, etc.).
5. Éviter les frottements : protéger les cordes des arêtes vives ou abrasives.
6. Contrôler visuellement : chaque amarrage doit être vérifié avant usage.
Règles avant l’engagement :
1. Vérification du matériel
• Contrôler l’état des cordes, sangles, mousquetons, harnais, etc.
• S’assurer que tout le matériel est homologué, en bon état, et adapté à la mission.
2. Évaluation du point d’ancrage
• Choisir un point solide, stable, non endommagé (ex : arbre sain, poutre métallique…).
• Tester la résistance mécanique si doute (minimum 10 kN recommandé en général).
3. Contrôle des amarrages
• Utiliser un nœud sécurisé adapté à l’usage.
• Vérifier l’absence de frottement ou de cisaillement sur la corde.
• S’assurer de la répartition correcte des charges si plusieurs points.
4. Communication claire
• Mise en place d’un chef d’équipe ou chef de manœuvre.
• Vérification que tous les intervenants connaissent leur rôle.
Règles pendant l’engagement :
1. Surveillance continue
• Le chef d’équipe doit garder un œil sur toute l’intervention.
• Contrôle visuel régulier des amarrages, cordes, nœuds et points d’ancrage.
2. Communication claire et constante
• Utiliser des codes verbaux ou gestes normalisés pour les consignes.
• Aucune action sans validation du chef d’équipe.
3. Progression maîtrisée
• Toujours une seule personne à la fois sur un système de descente ou montée.
• Limiter les à-coups sur la corde (descente fluide, pas de sauts ni secousses).
4. Sécurité individuelle en permanence
• Tous les intervenants doivent rester longés ou attachés à un point sécurisé.
• Port des EPI maintenu tout au long de l’opération.
5. Gestion du stress et du rythme
• Prendre le temps : pas de précipitation, chaque geste doit être contrôlé.
• Veiller à l’état physique et mental des intervenants (fatigue, vertige, etc.).
6. Respect des consignes de secours
• Système de secours prêt à intervenir à tout moment (corde de secours, équipe en alerte).
• Si incident : interrompre l’opération immédiatement et appliquer les procédures de secours.
7. Adaptation en temps réel
• Si un changement survient (météo, instabilité, obstacle…), réévaluer la situation et adapter la manœuvre.
Règles après l’engagement :
1. Sécurisation de la zone
• Vérifier que tout le monde est hors de danger.
• Retirer ou neutraliser les systèmes d’amarrage si plus nécessaires.
• Signaler les zones à risque (sol glissant, matériel encore en place…).
2. Déconditionnement du matériel
• Démonter les amarrages avec soin (cordes, sangles, mousquetons…).
• Ne rien laisser sur place, sauf si consigne contraire (ex : balisage temporaire).
3. Contrôle et nettoyage
• Inspecter chaque équipement utilisé : vérifier l’usure, les frottements, les déformations.
• Nettoyer le matériel (eau claire pour les cordes, séchage à l’air libre).
• Mettre de côté tout matériel douteux ou endommagé pour inspection approfondie.
4. Rangement
• Ranger méthodiquement le matériel dans les sacs, caisses ou véhicules.
• Respecter l’ordre de rangement pour gagner du temps à la prochaine intervention.
5. Retour d’expérience (REX)
• Debriefing rapide avec l’équipe : ce qui a bien fonctionné, ce qui peut être amélioré.
• Noter les observations importantes (anomalies, idées d’amélioration…).
6. Vérification de l’effectif
• Faire l’appel ou un contrôle visuel pour s’assurer que tout le monde est là et en bonne santé.
• Prise en compte des éventuelles blessures, malaises ou fatigue.
7. Reconditionnement
• Préparer immédiatement le matériel pour la prochaine intervention (remettre les cordes en sac, refaire les nœuds de base si besoin).
Échelle à crochets
Sert à passser d’étages en étages par l’extérieur
Elle doit être utilisée suspendue par ses crochets
Son pois est de 8kg et sa longueur de 4,22 m
Elle est réservée au sauvetage
Établissement de lance
• Réseau ramifié : en forme d’arbre, un seul chemin entre la source et chaque point. Moins cher mais fragile : si une branche casse, plus rien ne passe.
• Réseau maillé : plusieurs chemins interconnectés. Plus fiable et résilient : si un chemin tombe, un autre prend le relais. Mais plus complexe et coûteux.
Pour l’aspiration, les tuyaux est semi-rigide pour éviter son écrasement lors des interventions d’aspiration
Voici 3 exemples de points d’eau naturels aménagés :
1. Étang aménagé : avec accès pour les engins, parfois une prise d’aspiration installée.
2. Rivière ou cours d’eau aménagé : avec rampe d’accès, zone de pompage stabilisée.
3. Lac ou retenue collinaire : équipé de panneaux signalétiques, accès carrossable et aire de manœuvre.
Le débit d’un poteau de 100mm et de 1000 litres/min
Lors de l’alimentation du fourgon sur une bouche d’incendie on doit mettre une retenue ou un coude d’alimentation à la bouche
Avant d’alimenter sur une bouche d’incendie il est nécessaire d’assurer la chasse ou purge , cents à dire d’ouvrir et de faire couler l’eau pendant quelques secondes afin d’évacuer les impuretés qui pourraient détériorer la pompe
Pour ouvrir
Poteau d’incendie de 100mm=13 tours
B.i de 100mm=13 tours
P.i de 150mm=17 tours
Couleur poteau d’incendie 2*100 est rouge et jaune
Les poteau d’incendie servent à fournir l’eau nécessaire à la pompe
Les tuyaux d’aspiration servent à amener l’eau de la nappe d’eau à l’engin pile
Comme prise d’eau il peut y avoir
Un fleuve
Un étang
Une piscine
les caractéristiques d’un P.I ou d’une B.I sont
Visibles
Incongelable
1 bars minimum
17 litres /sec minimum
Les besoins en eau pour une intervention de 2h est de 120 mètres cube
La purge sert à rendre les sources d’eau incongelables
Ce qui différencie ces deux types de colonnes c'est l'alimentation en eau : La colonne humide est remplie d'eau et alimentée en permanence à un réseau existant.La colonne sèche, elle, est maintenue vide en permanence. Elle ne se remplira qu'en cas d'incendie après raccordement à une source d'eau extérieure.
Matériel d’opération diverses
Citez du matériel d’épuisement
Pompes thermiques :MPE, MPR , moto-pompe flottante
Pompes hydraulique :hydro-ejecteur , turbo pompe
Pompe électrique
MPE : moto-pompe d’épuisement
3 types de pompes permettant de réaliser un épuisement :
Pompe thermiques
Pompe électrique
Pompe hydraulique
Les mission des SP en matière d’épuisement sont :
De parer à l’urgence en supprimant la cause
Une MPE est :
Un matériel comportant une pompe , un dispositif d’amorçage et un moteur thermique
Pour effectuer un épuisement dans un local fermé, je peux utiliser :
Un tubo-pompe
Une pompe électrique
Précaution d’emploi pour pompe électrique :
-Ne pas utiliser la pompe dans locaux à atmosphère explosive
-amarrer la pompe à l’aide d’une commande avant de l’immerger
-surélever la pompe à l’aide d’un objet par rapport au sol, avant d’éviter qu’elle s’obstrue par les déchets ou les boues
-brancher la pompe sur une prise de terre
-ne jamais manipuler la pompe alors qu’elle est branchée
-si la pompe cavite ,nettoyer la crépine
-ne transporter la pompe qu’au moyen de sa poignée
Les précautions d’emploi des pompes thermiques sont :
-la MPE thermique doit être posée sur un terrain plat
-la MPE thermique doit être disposé à l’extérieur des locaux inondées
(Risque d’intoxication par gaz d’échappement)
-faire le plein de carburant, moteur à l’arrêt
-éviter autant que possible l’aspiration en sol de cygne
Les actions que le chef d’agrès doit entreprendre lors de la reconnaissance pour une inondation sont:
-trouver la cause de inondations
-le nombre de locaux inondées
-couper le courant électrique