Malléole fibulaire (latérale) :
- Palpation jusqu’à la tête de la fibula.
- Attention : la diaphyse fibulaire devient difficile à palper à cause du triceps sural.
Tubérosité tibiale antérieure :
- Deux travers de doigts au-dessus et en avant.
- Refaire le même mouvement côté médial pour la crête tibiale, plus facile car pas d’insertion musculaire.
Bord antérieur du pilon tibial :
- Légère flexion dorsale pour sentir la dépression interligne entre la pince tibio-fibulaire et le talus.
- La pince s’ouvre plus facilement en flexion dorsale.
Position patient : décubitus dorsal, genou fléchi à 90°, pied à plat.
Technique :
- Prise « gâchette » sur la malléole fibulaire.
- Mobiliser antérieur/postérieur.
- Mouvements fins, bien fixer la prise et la contre-prise :
- Prise : tibia.
- Contre-prise : malléole (confère photo 1).
- Ajuster la hauteur de la table pour protéger le tendon.
Glissement postérieur du tibia par rapport au talus :
- Commissure pouce-index glisse le long de la crête tibiale jusqu’au talus.
- Genou fléchi pour détendre les gastrocnémiens.
- Contre-prise ferme sur la table.
Glissement postérieur du talus par rapport au tibia :
- Même technique mais inversion des prises.
Notions clés :
- Prise et contre-prise prépondérantes.
- Interligne articulaire représenté par commissure des mains (confère photos 7 et 8).