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Lycée

Lecture linéaire 1 : Robert Desnos, Ce cœur qui haïssait la guerre, 1943


Parcours : Émancipations créatrices

Introduction

Dans ce poème écrit pendant l’Occupation, Robert Desnos, engagé dans la Résistance, montre comment un poète pacifiste se voit poussé à la révolte face à la barbarie nazie. Ce cœur qui haïssait la guerre, écrit en vers libres, exprime un cri du cœur et un appel collectif à la lutte.

Problématique : Comment le poète exprime-t-il son engagement et sa révolte face à l’Occupation ?


Mouvement 1 : Strophe 1 – La prise de conscience individuelle

  • Anaphore "ce cœur qui..." → insiste sur le cœur comme symbole de sentiments et d'engagement.
  • Le poète, d'abord pacifiste, ressent aujourd’hui une nécessité de se battre.
  • Contraste entre le passé paisible (nature, saisons) et le présent violent (combat, sang).
  • Métaphores fortes : le sang devient un appel, une alarme qui résonne comme une cloche.
  • Utilisation du présent, de verbes d’action → intensité, urgence de l’engagement.
  • La fin de la strophe passe du "je" au "vous" : le poète appelle les autres à écouter cette révolte intérieure.

Le poème commence comme un cri intime, qui devient peu à peu un appel général.


Mouvement 2 : Strophe 2 – L’engagement collectif

  • Reprise du motif du cœur : cette fois, ce sont "des millions d'autres cœurs" → naissance d’un collectif.
  • Insistance sur l’unité du peuple français : même rythme, même but, même mot d’ordre.
  • Répétitions + futur ("l’aube leur imposera") → espoir, vision d’un avenir libéré.
  • La "Liberté" devient un moteur de la révolte, capable de réveiller même les pacifistes.
  • La fin évoque une "armée des ombres", solidaire et prête à se battre pour la liberté.

Le poème passe de l’individuel au collectif, du cœur isolé à la fraternité résistante.


Conclusion

Desnos montre comment la poésie peut être une arme de combat. Le cœur devient ici un symbole de réveil et d’espoir. Ce poème illustre le parcours "Émancipations créatrices" : par la force des mots, le poète engage les consciences, libère les esprits et appelle à l’action. Il exprime une résistance à la barbarie, une union des forces, et une foi en un avenir libre.

Lycée

Lecture linéaire 1 : Robert Desnos, Ce cœur qui haïssait la guerre, 1943


Parcours : Émancipations créatrices

Introduction

Dans ce poème écrit pendant l’Occupation, Robert Desnos, engagé dans la Résistance, montre comment un poète pacifiste se voit poussé à la révolte face à la barbarie nazie. Ce cœur qui haïssait la guerre, écrit en vers libres, exprime un cri du cœur et un appel collectif à la lutte.

Problématique : Comment le poète exprime-t-il son engagement et sa révolte face à l’Occupation ?


Mouvement 1 : Strophe 1 – La prise de conscience individuelle

  • Anaphore "ce cœur qui..." → insiste sur le cœur comme symbole de sentiments et d'engagement.
  • Le poète, d'abord pacifiste, ressent aujourd’hui une nécessité de se battre.
  • Contraste entre le passé paisible (nature, saisons) et le présent violent (combat, sang).
  • Métaphores fortes : le sang devient un appel, une alarme qui résonne comme une cloche.
  • Utilisation du présent, de verbes d’action → intensité, urgence de l’engagement.
  • La fin de la strophe passe du "je" au "vous" : le poète appelle les autres à écouter cette révolte intérieure.

Le poème commence comme un cri intime, qui devient peu à peu un appel général.


Mouvement 2 : Strophe 2 – L’engagement collectif

  • Reprise du motif du cœur : cette fois, ce sont "des millions d'autres cœurs" → naissance d’un collectif.
  • Insistance sur l’unité du peuple français : même rythme, même but, même mot d’ordre.
  • Répétitions + futur ("l’aube leur imposera") → espoir, vision d’un avenir libéré.
  • La "Liberté" devient un moteur de la révolte, capable de réveiller même les pacifistes.
  • La fin évoque une "armée des ombres", solidaire et prête à se battre pour la liberté.

Le poème passe de l’individuel au collectif, du cœur isolé à la fraternité résistante.


Conclusion

Desnos montre comment la poésie peut être une arme de combat. Le cœur devient ici un symbole de réveil et d’espoir. Ce poème illustre le parcours "Émancipations créatrices" : par la force des mots, le poète engage les consciences, libère les esprits et appelle à l’action. Il exprime une résistance à la barbarie, une union des forces, et une foi en un avenir libre.

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