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Le dormeur du val :

Introduction : 

     1) Arthur Rimbaud, figure emblématique, 19e siècle

     2)  Les cahiers de Douai: recueil de 22 poèmes, riches en images poétiques, différents thèmes innovateurs

  1. Le dormeur du val : sonnet en alexandrins, en 1870, extrait des cahiers de Douai, mise en avant d’un jeune soldat endormi dans la nature révélant au dernier vers qu’il est mort 
  2. Problématique : En quoi Rimbaud met-il les codes de la tradition bucolique au service d’un véritable réquisitoire ? 
  3. 1) Un cadre bucolique et idyllique,

2) Un portrait d’un jeune soldat,

3) Un sommeil étrange,

          4) La chute pathétique.

Mouvement 1: 

  • Description d’une scène paisible brossant le portrait d’une nature paisible et vivante ( champs lexical de la nature, personnification “où chante une rivière”, verbes d’actions “accrochant”, assonance en [a]) 
  • Cadre spatio naturel protecteur et intime “ c’était un trou de verdure”(périphrase “trou de verdure” qui est la tombe du soldat)
  • Une nature merveilleuse et rayonnante ( métaphore “des haillons d’argents”, champs lexical du soleil “luit”, “soleil”) 

Le poème s’introduit par une description positive d’une nature vivante, paisible et lumineuse, inscrivant ce quatrain dans la tradition bucolique poétique 


Mouvement 2 : 


  • Harmonie entre le soldat et la nature qui semble le bercer  (champs lexical de la nature, antithèse “lumière pleut” démontre une lumière cassée)
  • Introduction  et description du dormeur du val” (description de son corps avec des enjambements, opposition entre le calme de la nature et la guerre)
  • Un jeune soldat endormi paisiblement (rejet en début de vers créant une rupture rythmique, adjectif de description, euphémisme donnant un indice sur l’état du soldat) 

La seconde strophe nous présente un soldat endormi paisiblement dans une nature clairvoyante, à l’abri des dangers, cependant certains éléments trouble cette tranquillité. 


Mouvement 3: 


  • Rappel de la tranquillité de la nature (champs lexical de la nature) 
  • Un profond sommeil étrange (champs lexical du sommeil) 
  • La jeunesse du poète face à la guerre (   comparaison du soldat à un enfant = opposition de l'âge à la guerre,  champs lexical de la maladie, antithèse “chaudement#froid”)
  • Une mère protectrice “la nature” ( apostrophe invoquant une divinité, personnification : joue un rôle maternel )

Le poète démontre une fragilité chez le jeune homme baignant toujours dans un cadre bucolique agréable 




Mouvement 4 : 


  • Insensibilité du soldat face à l’activité de la nature ( la synesthésie ou champs lexical des sens, tournure active, rejet = renouvellement des effets rythmiques, répétition = insistance ) 
  • Un soldat inconscient  révélant la mort du soldats ( description progressive, champs lexical du corps ) 
  • Une chute  tragique et brutale du sonnet ( reprise lexical du mot “trou” “trou de verdure”, “deux trous rouges”, chiasme et allitération en [r]) 

Le dormeur du val est en réalité un jeune soldat mort trop jeune victime des combats démontrant les horreurs de la guerre 


Conclusion : 

  • Reprise d’un cadre bucolique et idyllique se rapprochant au lyrisme 
  • Présentation d’une nature paisible gardant un jeune soldat mort 
  • Beauté d’une nature fanée par la violence d’un guerre 
  • Réquisitoire critiquant la guerre du second Empire 

Ouverture :  Dénonciation des horreurs de la guerre dans les Cahiers de Douai mais plus précisément dans  “les Châtiments”




Le dormeur du val :

Introduction : 

     1) Arthur Rimbaud, figure emblématique, 19e siècle

     2)  Les cahiers de Douai: recueil de 22 poèmes, riches en images poétiques, différents thèmes innovateurs

  1. Le dormeur du val : sonnet en alexandrins, en 1870, extrait des cahiers de Douai, mise en avant d’un jeune soldat endormi dans la nature révélant au dernier vers qu’il est mort 
  2. Problématique : En quoi Rimbaud met-il les codes de la tradition bucolique au service d’un véritable réquisitoire ? 
  3. 1) Un cadre bucolique et idyllique,

2) Un portrait d’un jeune soldat,

3) Un sommeil étrange,

          4) La chute pathétique.

Mouvement 1: 

  • Description d’une scène paisible brossant le portrait d’une nature paisible et vivante ( champs lexical de la nature, personnification “où chante une rivière”, verbes d’actions “accrochant”, assonance en [a]) 
  • Cadre spatio naturel protecteur et intime “ c’était un trou de verdure”(périphrase “trou de verdure” qui est la tombe du soldat)
  • Une nature merveilleuse et rayonnante ( métaphore “des haillons d’argents”, champs lexical du soleil “luit”, “soleil”) 

Le poème s’introduit par une description positive d’une nature vivante, paisible et lumineuse, inscrivant ce quatrain dans la tradition bucolique poétique 


Mouvement 2 : 


  • Harmonie entre le soldat et la nature qui semble le bercer  (champs lexical de la nature, antithèse “lumière pleut” démontre une lumière cassée)
  • Introduction  et description du dormeur du val” (description de son corps avec des enjambements, opposition entre le calme de la nature et la guerre)
  • Un jeune soldat endormi paisiblement (rejet en début de vers créant une rupture rythmique, adjectif de description, euphémisme donnant un indice sur l’état du soldat) 

La seconde strophe nous présente un soldat endormi paisiblement dans une nature clairvoyante, à l’abri des dangers, cependant certains éléments trouble cette tranquillité. 


Mouvement 3: 


  • Rappel de la tranquillité de la nature (champs lexical de la nature) 
  • Un profond sommeil étrange (champs lexical du sommeil) 
  • La jeunesse du poète face à la guerre (   comparaison du soldat à un enfant = opposition de l'âge à la guerre,  champs lexical de la maladie, antithèse “chaudement#froid”)
  • Une mère protectrice “la nature” ( apostrophe invoquant une divinité, personnification : joue un rôle maternel )

Le poète démontre une fragilité chez le jeune homme baignant toujours dans un cadre bucolique agréable 




Mouvement 4 : 


  • Insensibilité du soldat face à l’activité de la nature ( la synesthésie ou champs lexical des sens, tournure active, rejet = renouvellement des effets rythmiques, répétition = insistance ) 
  • Un soldat inconscient  révélant la mort du soldats ( description progressive, champs lexical du corps ) 
  • Une chute  tragique et brutale du sonnet ( reprise lexical du mot “trou” “trou de verdure”, “deux trous rouges”, chiasme et allitération en [r]) 

Le dormeur du val est en réalité un jeune soldat mort trop jeune victime des combats démontrant les horreurs de la guerre 


Conclusion : 

  • Reprise d’un cadre bucolique et idyllique se rapprochant au lyrisme 
  • Présentation d’une nature paisible gardant un jeune soldat mort 
  • Beauté d’une nature fanée par la violence d’un guerre 
  • Réquisitoire critiquant la guerre du second Empire 

Ouverture :  Dénonciation des horreurs de la guerre dans les Cahiers de Douai mais plus précisément dans  “les Châtiments”



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