La théorie de la concurrence parfaite repose sur plusieurs hypothèses qui, dans la réalité, ne sont que rarement vérifiées. Ces hypothèses incluent :

• la transparence de l'information,
• l'atomicité du marché,
• l'homogénéité des produits,
• la mobilité parfaite des facteurs de production,
• l'absence de barrières à l'entrée ou à la sortie du marché.

Il a une bonne approximation et permet de prédire ce qui va se passer.

Il est simple.

Il permet une analyse des interactions des marchés et démontre l'existence d'un équilibre.

Il fait un lien entre équilibre et justice sociale (= optimum de Pareto, qui est le fait qu'il est impossible d'augmenter la satisfaction d'un acheteur sans diminuer celle d'un autre).

En concurrence parfaite, l'équilibre de marché est atteint lorsque l'offre égale la demande. Cela signifie que toutes les unités produites sont vendues et que tous les consommateurs qui souhaitent acheter au prix du marché peuvent le faire. À cet équilibre, le marché fonctionne de façon optimale, avec un prix unique déterminé par l'intersection des courbes d'offre et de demande.

On a, RM = Rm = p = Cm = CM





• TH1: Walras -> Pareto. Tout équilibre général en concurrence parfaite correspond à un optimum de Pareto.
• TH2: Pareto -> Walras. La réciproque. il y a pleins d’optimums de Pareto. Comment on choisit un optimum ? Quand on a un optimum de Pareto, il faut savoir si on peut faire des redistributions forfaitaires alors là on peut avoir un équilibre général.

• Le surplus consommateur (SC) -> différence entre le prix qu'un consommateur est prêt à payer et ce qu'il va payer réellement.
• Maximisation du bien-être : Bien être (BE) = Surplus consommateur (SC) + Surplus producteur (SP)
• Le triangle vide en concurrence imparfaite se traduit par une perte sèche de bien être.

• Toutes les violations d’au moins l’une des 5 hypothèses de la concurrence parfaite correspondent à une situation de concurrence imparfaite.