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Analyse linéaire texte 2: Extrait de Les caractères ou les moeurs de ce siècle, Livre VIII: De la Cour, remarque 74.

Introduction :


A l’époque de Louis XIV au XVIIème siècle, le mouvement du classicisme met en avant un idéal esthétique et humain et possède ainsi une longue période de moralité. Les Fables de La Fontaine, Les Maximes de La Rochefoucauld illustrent cette période mais également Les Caractères de La Bruyère qui font également partie de cette période argumentative et instructive.

Les Caractères de La Bruyère, moraliste et naturaliste , publiés en 1688, se composent principalement de maximes, et de portraits qui visent à dénoncer les mœurs et les vices de la société notamment ceux des courtisans et de la Cour. Le texte étudié se situe dans le livre VIII nommé «De la Cour» et présente la cour du XVIIème siècle comme un pays étrange et lointain. C’est un texte à valeur hyperbolique.

Comment Jean de La Bruyère utilise-t-il la satire pour dénoncer la dégradation des mœurs et la superficialité des comportements à la cour ?

Le texte est composé de trois mouvements distincts. Le premier mouvement (l.1 à l.6) dévoile une jeunesse décadente. Puis, le second (l.6 à l.12) dévoile le goût des artifices. Enfin, le dernier mouvement (l.13 à la fin) dévoile l’idolâtrie à la Cour.


Développement :


I- Une jeunesse décadente


Dès les premiers mots, l’auteur situe sa description dans un endroit inconnu « L’on parle d’une région » : le pronom relatif indéterminé « L’on » est renforcée par l’emploi de l’article indéfini « une » et place le lecteur ainsi que l’auteur en dehors de la scène. La phrase se poursuit autour d’un parallélisme de construction entre les « vieillards » et les « jeunes », en effet la gradation ternaire : « les vieillards sont galants, polis et civils » et l’énumération de défauts : « les jeunes gens au contraire, durs, féroces, sans mœurs ni politesse » montrent une opposition entre la galanterie des personnes âgées et la férocité de la jeunesse. La parataxe « : » permet de détailler la manière dont se comporte cette jeunesse décadente et de décrire leurs mœurs. L’allitération sifflante en « s » crée un effet d’insistance sur la théâtralisation des courtisans. De plus, la dureté des jeunes hommes ainsi que leur manque de civilité s’explique par leur absence de sentiments amoureux : « affranchis de la passion des femmes », « amours ridicules », ils n’ont pas de romantisme et leur préférence va à des « repas, de viandes » qui montre la consommation excessive et débauchée des femmes au même titre que l’alimentation (péché de Chair) avec également l’observation du champ lexical de la consommation « repas », « viandes», «vin », « goût », « eaux-de-vie », « liqueurs », « eau-forte ». La Bruyère nous décrit une jeunesse barbare, loin du modèle à son époque de gentilhomme par l’absence définitive de passion sentimentale avec le remplacement de l’ivrognerie et l’enivrement : « sobre et modéré », le moins pire ne boit que du vin, la jeunesse est corrompue. La gradation  vin », « eaux-de-vie », « liqueurs les plus violentes », « eau forte » montre que l’alcool devient excessif et qu’il ne cesse d’augmenter. L’emploi du terme de « débauche » et de la personnification « liqueur violente » accentue ce côté excessif.



II- Le goût des artifices


Après avoir brièvement décrit de vulnérables vieillards et de jeunes débauchés, La Bruyère s’intéresse plus particulièrement aux femmes « Les femmes du pays ». L’auteur débute son analyse critique des femmes centré ici sur le paraître : « précipitent le déclin de leur beauté par des artifices qu’elles croient servir à les rendre belles ». Le terme « artifices » se réfère aux apparences et le caractère hyperbolique « précipitent le déclin » montre l’aggravation de leur beauté en faisant les mauvais choix qui précipitent leur laideur, la parataxte « : » introduit l’explication concrète du constat établi. En effet la présence du champ lexical de l’apparence « belle », « peindre », « étale », « beauté », « plaire » montre que ces femmes sont dans une forme d’exhibition de leur corps et dans une forme d’ostentation dont le but est de plaire, elles sont dans une forme de croyance et non de réalité.

De plus, le champ lexical du corps « lèvres », « joue », « sourcil », « épaule », « gorge », « bras », « oreilles » accentue un corps dévoilé et mis en avant par les femmes. On remarque également la présence d’un troisième champ lexical celui de l’étranger « pays », « coutumes », « région », « contrée » qui montre que l’auteur affiche encore plus de se placer dans une contrée exotique, étrangère. C’est une métaphore filée qui traverse tout le texte. La subordonnée hypothétique « comme si elles craignaient de cacher l’endroit où elles pourraient plaire » montre que l’auteur juge une mode où la femme expose des parties de son corps. La litote « de ne pas se montrer assez » indique un caractère d’insistance sur la vulgarité et les comportements outranciers des femmes. Si la débauche des hommes se matérialise avant tout par les excès de boisson, celle des femmes se voit dans la parure.

L’auteur poursuit sa description en se concentrant désormais sur la mode masculine. L’emploi de la périphrase « ceux qui habitent cette contrée » vient enrichir la métaphore filée du lointain et de l’ailleurs. L’emploi du nom « physionomie » souligne la figure scientifique de l’auteur. La bruyère poursuit sa description précise avec la périphrase qui désigne les perruques : « dans une épaisseur de cheveux étrangers,[…], et empêche qu’on ne connaisse les hommes à leurs visages » qui montre qu’ils sont réduits à leur perruque et a pour but de dissimuler leur identité, cela les désindividualise et montre leur superficialité. Le maquillage des femmes et les perruques des hommes les déguisent, les transforment finalement en comédiens du théâtre de la Cour.


III – L’idolâtrie de la Cour


Ce troisième mouvement débute par « Ces peuples d’ailleurs » qui rappelle le caractère étranger du pays. L’auteur adopte un regard étranger « ont leur Dieu et leur roi ». La périphrase « les grands de la nation » désigne les nobles et évoque les personnes dont il vient de montrer le ridicule. Leur comportement paraît automatique et quotidien « tous les jours, à une certaine heure » Le recul de La Bruyère se lit encore quand il écrit « dans un temple qu’ils nomment église » comme si son environnement quotidien pouvait sembler très étrange. Le champ lexical de la religion est omniprésent « autel consacré à leur Dieu », « église », « prêtre », « saints ». L’étonnement du regard étranger se lit dans l’observation des rites religieux : la célébration des mystères « saints, sacrés et redoutables », la formation d’« un vaste cercle au pied de cet autel », la position physique des Grands, à genoux « le dos tourné directement au prêtre » et « les faces relevées vers leur roi ». Les protocoles apparaissent figés et ridicules. Après s’être concentrés sur le prêtre et sa cérémonie, ils se tournent et fixent leur attention sur leur souverain : « les faces élevées vers leur roi ; que l’on voit à genoux sur une tribune, et à qui ils semblent avoir tout l’esprit et tout le coeur appliqués » Le verbe « semblent » dévoile le caractère des courtisans dont on ne peut connaître les véritables intentions. La proposition conjonctive « à qui ils semblent avoir tout l’esprit et tout le coeur appliqués » illustre le dévouement et la fidélité des Grands à leur roi. Le roi tient une position centrale. La chaîne logique énoncée dans la phrase suivante « ce peuple paraît adorer le prince, et le prince adorer Dieur » rappelle le rôle d’intermédiaire du roi entre ses sujets et Dieu. Cette position lui procure sa supériorité énoncé par l’auteur : « On ne laisse pas de voir dans cet usage une espèce de subordination » . Ici, le caricaturiste se fait le peintre de la monarchie absolue du temps de Louis XIV qui s’appuie sur l’Église et qui possède un pouvoir incontestable et incontesté sur la noblesse. Le texte termine par un dernier rappel de l’incertitude de la région évoquée « Les gens du pays le nomment*** ». Aucune date, nom de lieu, ni de roi, ni de Dieu ne permet de situer le pays. L’auteur emploie ce procédé pour à la fois rendre sa critique efficace et ironique, mais aussi pour se jouer de la censure. Enfin, les coordonnées géographiques « quarante-huit degrés d’élévation du pôle, et à plus d’onze cents lieues de mer des Iroquois et des Hurons »situent avec malice la France. La Bruyère semble donc se placer du point de vue des Iroquois et des Hurons, des Indiens d’Amérique qui ne peuvent que trouver étranges les mœurs de la cour française au XVIIème siècle.


Conclusion :

La Bruyère dresse un portrait sans concession de la cour à son époque. Afin d’avoir la liberté de pouvoir employer son ironie, il place la cour dans un pays étranger, indéterminé et inconnu. Il adopte un point de vue externe, le point de vue d’un Indien d’Amérique.

La Bruyère utilise le contraste entre les générations pour souligner l’érosion des valeurs et l'oubli de l'honnêteté et de la simplicité au profit des apparences. Les vieillards, galants mais vieillissants, et les jeunes, obsédés par la débauche et le luxe, illustrent cette rupture qui conduit à une société marquée par l’hypocrisie et le paraître. En dénonçant l’orgueil, les artifices et la recherche incessante du pouvoir, l’auteur invite à une réflexion sur les travers de la société de son temps, tout en dressant un tableau lucide de ses faiblesses et de ses contradictions. À travers cette analyse, il offre un regard critique sur la cour, et par extension, sur la société aristocratique dans son ensemble, qui se laisse guider par la vanité et l’illusion de grandeur.

Cette critique de la cour et de ses mœurs trouve encore écho dans nos sociétés contemporaines, où l’apparence et le statut social continuent souvent de primer sur la sincérité et les véritables valeurs humaines.









Analyse linéaire texte 2: Extrait de Les caractères ou les moeurs de ce siècle, Livre VIII: De la Cour, remarque 74.

Introduction :


A l’époque de Louis XIV au XVIIème siècle, le mouvement du classicisme met en avant un idéal esthétique et humain et possède ainsi une longue période de moralité. Les Fables de La Fontaine, Les Maximes de La Rochefoucauld illustrent cette période mais également Les Caractères de La Bruyère qui font également partie de cette période argumentative et instructive.

Les Caractères de La Bruyère, moraliste et naturaliste , publiés en 1688, se composent principalement de maximes, et de portraits qui visent à dénoncer les mœurs et les vices de la société notamment ceux des courtisans et de la Cour. Le texte étudié se situe dans le livre VIII nommé «De la Cour» et présente la cour du XVIIème siècle comme un pays étrange et lointain. C’est un texte à valeur hyperbolique.

Comment Jean de La Bruyère utilise-t-il la satire pour dénoncer la dégradation des mœurs et la superficialité des comportements à la cour ?

Le texte est composé de trois mouvements distincts. Le premier mouvement (l.1 à l.6) dévoile une jeunesse décadente. Puis, le second (l.6 à l.12) dévoile le goût des artifices. Enfin, le dernier mouvement (l.13 à la fin) dévoile l’idolâtrie à la Cour.


Développement :


I- Une jeunesse décadente


Dès les premiers mots, l’auteur situe sa description dans un endroit inconnu « L’on parle d’une région » : le pronom relatif indéterminé « L’on » est renforcée par l’emploi de l’article indéfini « une » et place le lecteur ainsi que l’auteur en dehors de la scène. La phrase se poursuit autour d’un parallélisme de construction entre les « vieillards » et les « jeunes », en effet la gradation ternaire : « les vieillards sont galants, polis et civils » et l’énumération de défauts : « les jeunes gens au contraire, durs, féroces, sans mœurs ni politesse » montrent une opposition entre la galanterie des personnes âgées et la férocité de la jeunesse. La parataxe « : » permet de détailler la manière dont se comporte cette jeunesse décadente et de décrire leurs mœurs. L’allitération sifflante en « s » crée un effet d’insistance sur la théâtralisation des courtisans. De plus, la dureté des jeunes hommes ainsi que leur manque de civilité s’explique par leur absence de sentiments amoureux : « affranchis de la passion des femmes », « amours ridicules », ils n’ont pas de romantisme et leur préférence va à des « repas, de viandes » qui montre la consommation excessive et débauchée des femmes au même titre que l’alimentation (péché de Chair) avec également l’observation du champ lexical de la consommation « repas », « viandes», «vin », « goût », « eaux-de-vie », « liqueurs », « eau-forte ». La Bruyère nous décrit une jeunesse barbare, loin du modèle à son époque de gentilhomme par l’absence définitive de passion sentimentale avec le remplacement de l’ivrognerie et l’enivrement : « sobre et modéré », le moins pire ne boit que du vin, la jeunesse est corrompue. La gradation  vin », « eaux-de-vie », « liqueurs les plus violentes », « eau forte » montre que l’alcool devient excessif et qu’il ne cesse d’augmenter. L’emploi du terme de « débauche » et de la personnification « liqueur violente » accentue ce côté excessif.



II- Le goût des artifices


Après avoir brièvement décrit de vulnérables vieillards et de jeunes débauchés, La Bruyère s’intéresse plus particulièrement aux femmes « Les femmes du pays ». L’auteur débute son analyse critique des femmes centré ici sur le paraître : « précipitent le déclin de leur beauté par des artifices qu’elles croient servir à les rendre belles ». Le terme « artifices » se réfère aux apparences et le caractère hyperbolique « précipitent le déclin » montre l’aggravation de leur beauté en faisant les mauvais choix qui précipitent leur laideur, la parataxte « : » introduit l’explication concrète du constat établi. En effet la présence du champ lexical de l’apparence « belle », « peindre », « étale », « beauté », « plaire » montre que ces femmes sont dans une forme d’exhibition de leur corps et dans une forme d’ostentation dont le but est de plaire, elles sont dans une forme de croyance et non de réalité.

De plus, le champ lexical du corps « lèvres », « joue », « sourcil », « épaule », « gorge », « bras », « oreilles » accentue un corps dévoilé et mis en avant par les femmes. On remarque également la présence d’un troisième champ lexical celui de l’étranger « pays », « coutumes », « région », « contrée » qui montre que l’auteur affiche encore plus de se placer dans une contrée exotique, étrangère. C’est une métaphore filée qui traverse tout le texte. La subordonnée hypothétique « comme si elles craignaient de cacher l’endroit où elles pourraient plaire » montre que l’auteur juge une mode où la femme expose des parties de son corps. La litote « de ne pas se montrer assez » indique un caractère d’insistance sur la vulgarité et les comportements outranciers des femmes. Si la débauche des hommes se matérialise avant tout par les excès de boisson, celle des femmes se voit dans la parure.

L’auteur poursuit sa description en se concentrant désormais sur la mode masculine. L’emploi de la périphrase « ceux qui habitent cette contrée » vient enrichir la métaphore filée du lointain et de l’ailleurs. L’emploi du nom « physionomie » souligne la figure scientifique de l’auteur. La bruyère poursuit sa description précise avec la périphrase qui désigne les perruques : « dans une épaisseur de cheveux étrangers,[…], et empêche qu’on ne connaisse les hommes à leurs visages » qui montre qu’ils sont réduits à leur perruque et a pour but de dissimuler leur identité, cela les désindividualise et montre leur superficialité. Le maquillage des femmes et les perruques des hommes les déguisent, les transforment finalement en comédiens du théâtre de la Cour.


III – L’idolâtrie de la Cour


Ce troisième mouvement débute par « Ces peuples d’ailleurs » qui rappelle le caractère étranger du pays. L’auteur adopte un regard étranger « ont leur Dieu et leur roi ». La périphrase « les grands de la nation » désigne les nobles et évoque les personnes dont il vient de montrer le ridicule. Leur comportement paraît automatique et quotidien « tous les jours, à une certaine heure » Le recul de La Bruyère se lit encore quand il écrit « dans un temple qu’ils nomment église » comme si son environnement quotidien pouvait sembler très étrange. Le champ lexical de la religion est omniprésent « autel consacré à leur Dieu », « église », « prêtre », « saints ». L’étonnement du regard étranger se lit dans l’observation des rites religieux : la célébration des mystères « saints, sacrés et redoutables », la formation d’« un vaste cercle au pied de cet autel », la position physique des Grands, à genoux « le dos tourné directement au prêtre » et « les faces relevées vers leur roi ». Les protocoles apparaissent figés et ridicules. Après s’être concentrés sur le prêtre et sa cérémonie, ils se tournent et fixent leur attention sur leur souverain : « les faces élevées vers leur roi ; que l’on voit à genoux sur une tribune, et à qui ils semblent avoir tout l’esprit et tout le coeur appliqués » Le verbe « semblent » dévoile le caractère des courtisans dont on ne peut connaître les véritables intentions. La proposition conjonctive « à qui ils semblent avoir tout l’esprit et tout le coeur appliqués » illustre le dévouement et la fidélité des Grands à leur roi. Le roi tient une position centrale. La chaîne logique énoncée dans la phrase suivante « ce peuple paraît adorer le prince, et le prince adorer Dieur » rappelle le rôle d’intermédiaire du roi entre ses sujets et Dieu. Cette position lui procure sa supériorité énoncé par l’auteur : « On ne laisse pas de voir dans cet usage une espèce de subordination » . Ici, le caricaturiste se fait le peintre de la monarchie absolue du temps de Louis XIV qui s’appuie sur l’Église et qui possède un pouvoir incontestable et incontesté sur la noblesse. Le texte termine par un dernier rappel de l’incertitude de la région évoquée « Les gens du pays le nomment*** ». Aucune date, nom de lieu, ni de roi, ni de Dieu ne permet de situer le pays. L’auteur emploie ce procédé pour à la fois rendre sa critique efficace et ironique, mais aussi pour se jouer de la censure. Enfin, les coordonnées géographiques « quarante-huit degrés d’élévation du pôle, et à plus d’onze cents lieues de mer des Iroquois et des Hurons »situent avec malice la France. La Bruyère semble donc se placer du point de vue des Iroquois et des Hurons, des Indiens d’Amérique qui ne peuvent que trouver étranges les mœurs de la cour française au XVIIème siècle.


Conclusion :

La Bruyère dresse un portrait sans concession de la cour à son époque. Afin d’avoir la liberté de pouvoir employer son ironie, il place la cour dans un pays étranger, indéterminé et inconnu. Il adopte un point de vue externe, le point de vue d’un Indien d’Amérique.

La Bruyère utilise le contraste entre les générations pour souligner l’érosion des valeurs et l'oubli de l'honnêteté et de la simplicité au profit des apparences. Les vieillards, galants mais vieillissants, et les jeunes, obsédés par la débauche et le luxe, illustrent cette rupture qui conduit à une société marquée par l’hypocrisie et le paraître. En dénonçant l’orgueil, les artifices et la recherche incessante du pouvoir, l’auteur invite à une réflexion sur les travers de la société de son temps, tout en dressant un tableau lucide de ses faiblesses et de ses contradictions. À travers cette analyse, il offre un regard critique sur la cour, et par extension, sur la société aristocratique dans son ensemble, qui se laisse guider par la vanité et l’illusion de grandeur.

Cette critique de la cour et de ses mœurs trouve encore écho dans nos sociétés contemporaines, où l’apparence et le statut social continuent souvent de primer sur la sincérité et les véritables valeurs humaines.








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